Illustration. © DR
Un atelier de validation du plan national de mise en oeuvre de la convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants au Tchad, 2ème édition, s'est tenu du 12 au 13 mars à N'Djamena. Les travaux ont été ouverts par la directrice général adjoint du ministère de l'Eau et de la Pêche, Sadia Ousman Daba.
Le rapport de 149 pages a été soumis à l'appréciation des techniciens venus de différents pays membres. Ils ont examiné et validé le rapport provisoire.
L'objectif est de lutter contre la dégradation de l'environnement liés aux facteurs tels que la dégradation de l'environnement, l'accroissement de la population, l'avancement de la technologie, des modes de consommation et de production non durables des substances chimiques utilisés dans plusieurs secteurs d'activités.
La directrice générale adjointe du ministère de l'Environnement, Sadia Ousman Daba, a relevé l'existence de risques environnementaux et sanitaires engendrés par une gestion peu rationnelle de l'écosystème. "Afin de relever les défis dans ce domaine, le Tchad s'est doté d'un cadre institutionnel et réglementaire approprié", a-t-elle précisé.
Un expert de l'Organisation internationale des Nations Unies pour le développement industriel a pris part à l'atelier. Il a expliqué que ce cadre "permettra au Tchad de développer une stratégie appropriée pour la gestion des risques chimiques."
La convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants est un accord international visant à interdire certains produits polluants. La convention a été signée le 22 mai 2001 dans la ville éponyme. Elle est entrée en vigueur le 17 mai 2004. Elle compte 180 membres et 152 pays ont signé.
Le rapport de 149 pages a été soumis à l'appréciation des techniciens venus de différents pays membres. Ils ont examiné et validé le rapport provisoire.
L'objectif est de lutter contre la dégradation de l'environnement liés aux facteurs tels que la dégradation de l'environnement, l'accroissement de la population, l'avancement de la technologie, des modes de consommation et de production non durables des substances chimiques utilisés dans plusieurs secteurs d'activités.
La directrice générale adjointe du ministère de l'Environnement, Sadia Ousman Daba, a relevé l'existence de risques environnementaux et sanitaires engendrés par une gestion peu rationnelle de l'écosystème. "Afin de relever les défis dans ce domaine, le Tchad s'est doté d'un cadre institutionnel et réglementaire approprié", a-t-elle précisé.
Un expert de l'Organisation internationale des Nations Unies pour le développement industriel a pris part à l'atelier. Il a expliqué que ce cadre "permettra au Tchad de développer une stratégie appropriée pour la gestion des risques chimiques."
La convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants est un accord international visant à interdire certains produits polluants. La convention a été signée le 22 mai 2001 dans la ville éponyme. Elle est entrée en vigueur le 17 mai 2004. Elle compte 180 membres et 152 pays ont signé.