Dans le cadre de la lutte contre la pauvreté en milieu rural, une femme d’une trentaine d’années s’est lancée dans la culture maraîchère, exploitant ainsi de grands espaces.
C’est un espace de trois hectares qui est exploité par cette jeune dame. L’initiative de cette entrepreneure de Laï Djome est perçue comme une réponse efficace à la pauvreté en milieu rural, mais aussi au changement climatique.
Trois sites, chacun clos et muni d'une porte d'entrée, sont exploités de manière organisée : préparation des planches, arrosage, binage et récolte. L’on peut voir dans ce jardin les cultures telles que la carotte, l’aubergine, la tomate, le piment, les oignons, les choux, l'oseille, le gombo et les feuilles de haricots, approvisionnant ainsi la ville de Laï.
A cela s’ajoute l’élevage des petits ruminants et des volailles. Koumabeng Honorine, l’initiatrice, a expliqué que c’est la pauvreté qui l’a motivée à jardiner pour subvenir à ses besoins alimentaires, et assurer la scolarité de ses enfants.
Mme Koumabeng Honorine n’a pas aussi manqué de souligner les difficultés, tout en lançant un vibrant appel aux ONG et personnes de bonne volonté à voler à son secours. Cette initiative entrepreneuriale mérite une attention particulière des autorités de la place, des ONG et autres partenaires au développement.
C’est un espace de trois hectares qui est exploité par cette jeune dame. L’initiative de cette entrepreneure de Laï Djome est perçue comme une réponse efficace à la pauvreté en milieu rural, mais aussi au changement climatique.
Trois sites, chacun clos et muni d'une porte d'entrée, sont exploités de manière organisée : préparation des planches, arrosage, binage et récolte. L’on peut voir dans ce jardin les cultures telles que la carotte, l’aubergine, la tomate, le piment, les oignons, les choux, l'oseille, le gombo et les feuilles de haricots, approvisionnant ainsi la ville de Laï.
A cela s’ajoute l’élevage des petits ruminants et des volailles. Koumabeng Honorine, l’initiatrice, a expliqué que c’est la pauvreté qui l’a motivée à jardiner pour subvenir à ses besoins alimentaires, et assurer la scolarité de ses enfants.
Mme Koumabeng Honorine n’a pas aussi manqué de souligner les difficultés, tout en lançant un vibrant appel aux ONG et personnes de bonne volonté à voler à son secours. Cette initiative entrepreneuriale mérite une attention particulière des autorités de la place, des ONG et autres partenaires au développement.