L’islamiste algérien Mokhtar Belmokhtar a choisi le Niger pour faire son retour sur la scène terroriste. L’ancien chef d’une des deux katibas d’AQMI était considéré comme mort, depuis le mois de mars, au moins par le Tchad qui avait assuré avoir tué celui qu’on appelle « l’insaisissable ».
Le retour de Mokhtar Belmokhtar Pourtant, il semblerait que l’homme à l’origine de la prise d’otages sanglante d’In Amenas de janvier dernier soit bel et bien vivant.
Selon les premiers éléments de l’enquête qui doit déterminer les circonstances du double attentat qui a fait au moins 20 morts, jeudi 23 mai, au nord du Niger, c’est le djihadiste Mokhtar Belmokhtar qui serait à l’origine de l’attaque.
C’est d’abord le Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un des trois groupes qui sévissait au Nord-Mali avant que la France n’intervienne, qui a revendiqué cet attentat. Plus tard, les « Signataires dans le sang », groupe dirigé par Mokhtar Belmokhtar ont également revendiqué l’attaque des installations de l’entreprise française Areva, à Arlit, ainsi qu’une base militaire nigérienne.
Les Signataires dans le sang aux armes avec le Mujao « C’est Mokhtar Belmokhtar qui a supervisé lui-même les plans d’opération des attaques qui ont visé les forces d'élite françaises assurant la sécurité des installations de la firme nucléaire (Areva) et une base militaire nigérienne », a ainsi déclaré El-Hassen Ould Khlil, porte-parole de l’organisation.
Très tôt jeudi 23 mai, deux voitures piégées ont explosé, quasiment en même temps devant une caserne militaire d’Agadez ainsi que dans une mine d’uranium exploitée par des français de l’entreprise Areva.
Au moins 20 morts parmi les militaires nigériens Un commando djihadiste a également attaque la base militaire d’Agadez. Selon les informations du ministre nigérien de la Défense, le dernier membre de ce commando aurait été maîtrisé dans la soirée de jeudi.
Ce dernier a assuré qu’il n’y avait eu « aucune prise d’otages ». 20 soldats ont été tués au cours de cette attaque tandis qu’Areva a fait part de 13 blessés à Arlit.
Le retour de Mokhtar Belmokhtar Pourtant, il semblerait que l’homme à l’origine de la prise d’otages sanglante d’In Amenas de janvier dernier soit bel et bien vivant.
Selon les premiers éléments de l’enquête qui doit déterminer les circonstances du double attentat qui a fait au moins 20 morts, jeudi 23 mai, au nord du Niger, c’est le djihadiste Mokhtar Belmokhtar qui serait à l’origine de l’attaque.
C’est d’abord le Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), un des trois groupes qui sévissait au Nord-Mali avant que la France n’intervienne, qui a revendiqué cet attentat. Plus tard, les « Signataires dans le sang », groupe dirigé par Mokhtar Belmokhtar ont également revendiqué l’attaque des installations de l’entreprise française Areva, à Arlit, ainsi qu’une base militaire nigérienne.
Les Signataires dans le sang aux armes avec le Mujao « C’est Mokhtar Belmokhtar qui a supervisé lui-même les plans d’opération des attaques qui ont visé les forces d'élite françaises assurant la sécurité des installations de la firme nucléaire (Areva) et une base militaire nigérienne », a ainsi déclaré El-Hassen Ould Khlil, porte-parole de l’organisation.
Très tôt jeudi 23 mai, deux voitures piégées ont explosé, quasiment en même temps devant une caserne militaire d’Agadez ainsi que dans une mine d’uranium exploitée par des français de l’entreprise Areva.
Au moins 20 morts parmi les militaires nigériens Un commando djihadiste a également attaque la base militaire d’Agadez. Selon les informations du ministre nigérien de la Défense, le dernier membre de ce commando aurait été maîtrisé dans la soirée de jeudi.
Ce dernier a assuré qu’il n’y avait eu « aucune prise d’otages ». 20 soldats ont été tués au cours de cette attaque tandis qu’Areva a fait part de 13 blessés à Arlit.