Lomé - Inauguré depuis le mois d'avril dernier par le chef de l’Etat, le nouveau port de pêche de Gbétsogbé (situé dans la banlieue sud-est de Lomé) était jusqu’alors inoccupé.
Et pour cause, les pêcheurs avaient exigé de la part des autorités que des travaux d’aménagement soient réalisés sur le site avant qu’ils ne prennent possession des lieux. Maintenant que ces travaux sont terminés, le nouveau port de pêche est désormais opérationnel et les activités dans ce centre d’affaires ont officiellement démarré, le jeudi 21 novembre 2019.
L'ouvrage a mobilisé un financement sous forme de don de 14,4 milliards de FCFA de l’Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA). L’Etat togolais, pour sa part, a contribué au coût de sa réalisation à hauteur d’environ 6 milliards de FCFA.
Il dispose de deux machines de production de glace d'une capacité de 5000 tonnes par jour, dont se servent les pêcheurs pour conserver leurs produits. La nouvelle infrastructure dispose également de trois chambres froides de 390 caisses qui peuvent contenir plus de 400 pirogues. Des dispositifs efficaces pour éviter des pertes à cause des avaries.
Selon le Directeur des pêches et aquaculture, Ali DAMTANI, le but visé à travers la construction de ce port de pêche moderne est, « d’améliorer le quotidien des populations en termes de revenus », notamment par « l'amélioration de la qualité de poisson », et « la réduction des pertes post-capture ».
Globalement, les autorités ambitionnent de créer ou consolider environ 8 000 emplois, dont 3 500 transformatrices de poissons, 1 500 mareyeuses et 3 000 pêcheurs, à travers l'équipement. Plus précisément, quelques 5000 nouveaux emplois directs et indirects sont attendus (notamment dans le domaine de la réparation des moteurs hors bords et des filets, le traitement de produits halieutiques).
« Nous remercions le chef de l'État, Faure Essozimna Gnassingbé et son gouvernement pour nous avoir construit ce nouveau port de pêche. La différence est que l'ancien était trop petit et à chaque fois, nos pirogues se cassaient. Actuellement, nous sommes libres. Il y a de l'espace pour que les pirogues puissent se déplacer facilement », a déclaré, Soféda DJIGBODI, un pêcheur rencontré sur place. Notons que le sous-secteur de la pêche contribue à 4,5 % au PIB agricole, et 1,3% au PIB du Togo.
Et pour cause, les pêcheurs avaient exigé de la part des autorités que des travaux d’aménagement soient réalisés sur le site avant qu’ils ne prennent possession des lieux. Maintenant que ces travaux sont terminés, le nouveau port de pêche est désormais opérationnel et les activités dans ce centre d’affaires ont officiellement démarré, le jeudi 21 novembre 2019.
L'ouvrage a mobilisé un financement sous forme de don de 14,4 milliards de FCFA de l’Agence Japonaise de Coopération Internationale (JICA). L’Etat togolais, pour sa part, a contribué au coût de sa réalisation à hauteur d’environ 6 milliards de FCFA.
Il dispose de deux machines de production de glace d'une capacité de 5000 tonnes par jour, dont se servent les pêcheurs pour conserver leurs produits. La nouvelle infrastructure dispose également de trois chambres froides de 390 caisses qui peuvent contenir plus de 400 pirogues. Des dispositifs efficaces pour éviter des pertes à cause des avaries.
Selon le Directeur des pêches et aquaculture, Ali DAMTANI, le but visé à travers la construction de ce port de pêche moderne est, « d’améliorer le quotidien des populations en termes de revenus », notamment par « l'amélioration de la qualité de poisson », et « la réduction des pertes post-capture ».
Globalement, les autorités ambitionnent de créer ou consolider environ 8 000 emplois, dont 3 500 transformatrices de poissons, 1 500 mareyeuses et 3 000 pêcheurs, à travers l'équipement. Plus précisément, quelques 5000 nouveaux emplois directs et indirects sont attendus (notamment dans le domaine de la réparation des moteurs hors bords et des filets, le traitement de produits halieutiques).
« Nous remercions le chef de l'État, Faure Essozimna Gnassingbé et son gouvernement pour nous avoir construit ce nouveau port de pêche. La différence est que l'ancien était trop petit et à chaque fois, nos pirogues se cassaient. Actuellement, nous sommes libres. Il y a de l'espace pour que les pirogues puissent se déplacer facilement », a déclaré, Soféda DJIGBODI, un pêcheur rencontré sur place. Notons que le sous-secteur de la pêche contribue à 4,5 % au PIB agricole, et 1,3% au PIB du Togo.