L’objectif visé à travers cette formation est de promouvoir les droits de l’Homme qui restent une préoccupation même pendant le dialogue national inclusif à l’horizon. C’est aussi une occasion de renforcer les capacités des membres des organisations de la société civile qui prennent part à cet atelier afin de stimuler leur participation à la promotion et à la protection des droits de l’Homme.
L'atelier rentre dans le cadre des activités du projet d’appui à la transition institutionnelle et politique inclusive et apaisée au Tchad mis en œuvre par plusieurs partenaires dont le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme.
À cette occasion, la représentante du HCDH, Alvine Temfack, a fait comprendre qu’une bonne réalisation des droits humains offre des occasions aux citoyens de faire valoir leurs droits. Elle n’a pas manqué de souligner l’existence de la maladie à coronavirus au Tchad. « Cette formation intervient dans un contexte ou le Tchad comme tous les autres pays dans le monde, fait face à cette pandémie. Dieu merci l’ampleur dans notre pays n’est pas aussi grande qu’ailleurs », a-t-elle souligné.
Le secrétaire général de la province du Logone Occidental, Tchouzeubé Sedang Basile, a saisi l’opportunité pour vanter les mérites du gouvernement du Tchad en matière de ratification des instruments juridiques dans le souci de garantir les droits humains. Il a salué cette initiative à sa juste valeur et espère que cet atelier va transformer la société civile de sa province dans un avenir proche.
« Nous formulons ce vœu que cette formation n’améliore pas seulement la capacité des défenseurs des droits de lHomme, mais aussi qu’elle vienne faire d’eux des professionnels de protection des droits de l’Homme et des conseillers avertis des autorités locales car nos différents efforts doivent se convertir au profit de la population », a-t-il laissé entendre.
Durant quatre jours, les défenseurs des droits humains vont échanger sur plusieurs sous-thème parmi lesquels l'introduction aux droits, les enjeux des droits de l’Homme pendant la période de transition politique : la charte de transition, la feuille du gouvernement et le rôle de la société civile, le mécanisme de protection des droits de l’Homme, les principes de base du monitoring des droits de l’Homme, les techniques de recueil d’information et les techniques préparation, pour ne citer que ceux-là.
L'atelier rentre dans le cadre des activités du projet d’appui à la transition institutionnelle et politique inclusive et apaisée au Tchad mis en œuvre par plusieurs partenaires dont le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme.
À cette occasion, la représentante du HCDH, Alvine Temfack, a fait comprendre qu’une bonne réalisation des droits humains offre des occasions aux citoyens de faire valoir leurs droits. Elle n’a pas manqué de souligner l’existence de la maladie à coronavirus au Tchad. « Cette formation intervient dans un contexte ou le Tchad comme tous les autres pays dans le monde, fait face à cette pandémie. Dieu merci l’ampleur dans notre pays n’est pas aussi grande qu’ailleurs », a-t-elle souligné.
Le secrétaire général de la province du Logone Occidental, Tchouzeubé Sedang Basile, a saisi l’opportunité pour vanter les mérites du gouvernement du Tchad en matière de ratification des instruments juridiques dans le souci de garantir les droits humains. Il a salué cette initiative à sa juste valeur et espère que cet atelier va transformer la société civile de sa province dans un avenir proche.
« Nous formulons ce vœu que cette formation n’améliore pas seulement la capacité des défenseurs des droits de lHomme, mais aussi qu’elle vienne faire d’eux des professionnels de protection des droits de l’Homme et des conseillers avertis des autorités locales car nos différents efforts doivent se convertir au profit de la population », a-t-il laissé entendre.
Durant quatre jours, les défenseurs des droits humains vont échanger sur plusieurs sous-thème parmi lesquels l'introduction aux droits, les enjeux des droits de l’Homme pendant la période de transition politique : la charte de transition, la feuille du gouvernement et le rôle de la société civile, le mécanisme de protection des droits de l’Homme, les principes de base du monitoring des droits de l’Homme, les techniques de recueil d’information et les techniques préparation, pour ne citer que ceux-là.