À N’Djamena, la vente des glaces en barre est visible un peu partout dans les rues en cette période de Ramadan et de chaleur où le thermomètre atteint les 44°C. Leur utilisation est multiple : rafraichir de l’eau et des boissons ou encore refroidir et conserver des aliments. Cependant, la hausse de prix n’est pas du goût des ménages qui n’ont toutefois pas beaucoup d’alternatives de réfrigération face aux coupures d’électricité.
Amassés aux bords des routes devant des tables de fortune en bois, les vendeurs sont généralement jeunes. En fin de journée, la clientèle ne tarit pas.
D’un jour à l’autre, les prix varient. Pour une glace en barre entière, il faut débourser en moyenne 2500 Fcfa. À raison d’un demi barre de glace par jour, une grande famille peut débourser jusqu’à 37.500 Fcfa sur un mois. Ce qui représente un coût non négligeable pour le portefeuille.
Amassés aux bords des routes devant des tables de fortune en bois, les vendeurs sont généralement jeunes. En fin de journée, la clientèle ne tarit pas.
D’un jour à l’autre, les prix varient. Pour une glace en barre entière, il faut débourser en moyenne 2500 Fcfa. À raison d’un demi barre de glace par jour, une grande famille peut débourser jusqu’à 37.500 Fcfa sur un mois. Ce qui représente un coût non négligeable pour le portefeuille.
De l’avis de Brahim, un consommateur, « les vendeurs doivent penser aux démunis en ce mois béni de Ramadan. L'augmentation de prix jusqu'à 2500 Fcfa, c'est beaucoup pour nous ».
Interrogé, un vendeur impute la hausse de prix aux grossistes. « On me livre la barre à 2250 FCFA. Je ne trouve que 250 FCFA de bénéfice. Ce n’est pas de ma faute », se défend-t-il.
Dans les marchés de N’Djamena, la hausse des prix concerne également des denrées alimentaires de première nécessité. Pour anticiper cette situation, la Chambre de commerce a renouvelé son opération « Juste prix » qui vise à faire adhérer les commerçants à une politique de non spéculation au profit des ménages.
Interrogé, un vendeur impute la hausse de prix aux grossistes. « On me livre la barre à 2250 FCFA. Je ne trouve que 250 FCFA de bénéfice. Ce n’est pas de ma faute », se défend-t-il.
Dans les marchés de N’Djamena, la hausse des prix concerne également des denrées alimentaires de première nécessité. Pour anticiper cette situation, la Chambre de commerce a renouvelé son opération « Juste prix » qui vise à faire adhérer les commerçants à une politique de non spéculation au profit des ménages.