Lors de cette cérémonie, Boubacar Sidiki Walbani, représentant de la Banque Africaine de Développement (BAD) au Tchad, a rappelé que, dans le cadre de la mise en œuvre du projet PRPSS, le soutien à la mise en place du système d’enregistrement des faits d’état civil (CRVS – Civil Registration and Vital Statistics) s’inscrit dans une logique de renforcement des services de santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile, des adolescents, ainsi que de la nutrition.
L’amélioration du processus de digitalisation du système CRVS au Tchad vise à mieux comprendre les défis actuels liés à l’enregistrement des naissances, des décès (et de leurs causes), ainsi que des mariages, et à mettre en place une stratégie permettant d’accélérer cette digitalisation.
L’enregistrement de tous les faits d’état civil et la garantie d’une identité juridique constituent à la fois un défi majeur et une priorité urgente. Cet engagement s’aligne sur la vision d’un enregistrement universel des naissances d’ici à 2030.
De son côté, le Directeur général de l’ANATS, Mahamat Oumar Kessou, a souligné les limites du système traditionnel de l’état civil, caractérisé par un faible taux d’enregistrement, une mauvaise tenue des archives et l’absence de données statistiques fiables. Il a également alerté sur les risques sécuritaires liés à la prolifération de faux documents d’identité, l’utilisation d’identités multiples et l’usurpation d’identité.
L’introduction de l’enregistrement digitalisé et l’impression sur papiers sécurisés représentent un tournant décisif pour rendre le système de l’état civil plus fiable, moderne et sécurisé.
Cette coopération multiforme s’exprime notamment à travers :
L’engagement des partenaires à accompagner le Tchad dans ses réformes administratives et institutionnelles est salué avec gratitude et reconnaissance.
L’amélioration du processus de digitalisation du système CRVS au Tchad vise à mieux comprendre les défis actuels liés à l’enregistrement des naissances, des décès (et de leurs causes), ainsi que des mariages, et à mettre en place une stratégie permettant d’accélérer cette digitalisation.
L’enregistrement de tous les faits d’état civil et la garantie d’une identité juridique constituent à la fois un défi majeur et une priorité urgente. Cet engagement s’aligne sur la vision d’un enregistrement universel des naissances d’ici à 2030.
De son côté, le Directeur général de l’ANATS, Mahamat Oumar Kessou, a souligné les limites du système traditionnel de l’état civil, caractérisé par un faible taux d’enregistrement, une mauvaise tenue des archives et l’absence de données statistiques fiables. Il a également alerté sur les risques sécuritaires liés à la prolifération de faux documents d’identité, l’utilisation d’identités multiples et l’usurpation d’identité.
L’introduction de l’enregistrement digitalisé et l’impression sur papiers sécurisés représentent un tournant décisif pour rendre le système de l’état civil plus fiable, moderne et sécurisé.
Cette coopération multiforme s’exprime notamment à travers :
- La formation du personnel de l’ANATS et des agents de l’état civil, pour favoriser l’interopérabilité avec le secteur de la santé via le PRPSS ;
- Le projet PRAFS 2, visant à améliorer l’accès des populations à leurs droits fondamentaux (actes d’état civil, enregistrement dans le registre social unifié, etc.) ;
- Le soutien du PATN pour accélérer la transformation numérique de l’ANATS.
L’engagement des partenaires à accompagner le Tchad dans ses réformes administratives et institutionnelles est salué avec gratitude et reconnaissance.