Le sommet des trois bassins forestiers tropicaux s’est tenu, à Kintélé, en République du Congo, du 26 au 28 octobre 2023. Il a réuni, autour d’une question transversale, relative à la survie de la planète, les dirigeants de l’Amazonie, du Congo et du Bornéo-Mékong-Asie du Sud-est. De Brazzaville a émergé l’idée de la formation d’une coalition mondiale pour la préservation de la biodiversité et des forets tropicales.
L’importance de la tenue du 2ème sommet des trois bassins
Attaché aux sujets de développement durable, le député Brice Dimitri Bayendissa salue l’initiative de la tenue de ce sommet en terre congolaise. Puisque, soutient-il, l’objectif poursuivi, au travers de cette rencontre internationale, était d’assurer la gouvernance mondiale des politiques de conservation, de coopération et de financement du poumon écologique et climatique du monde.
Brice Dimitri Bayendissa se dit être émerveillé par l’engagement et la détermination du président Denis Sassou-N’Guesso sur les questions environnementales. En ce sens dès son accession à la tête de l’Etat congolais, Denis Sassou-N’Guesso s’est engagé en faveur de la lutte contre les effets néfastes du changement climatique.
A travers les différents programmes et initiatives de reboisement et d’afforestation, le dirigeant congolais est resté contant. En organisant le 2ème sommet des trois bassins forestiers tropicaux, le président s’inscrit dans la dynamique des Nations Unies de limiter le réchauffement de la planète.
Brice Dimitri Bayendissa a, à l’esprit, l’invite du président Denis Sassou-N’Guesso, qu’il cite en termes : « En ces temps critiques, nous devons agir de manière concertée et déterminée pour préserver les 350 millions d’hectares d’écosystèmes, représentant un investissement colossal de 1000 milliards de dollars selon les estimations des experts des Nations Unies. »
Dans la ligne droite l’accord de Paris, fixant comme objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C d’ici 2050, le député de Tié Tié 2, ayant recours aux propos de Denis Sassou-N’Guesso, précise qu’il est impératif de préserver et de restaurer les écosystèmes de biodiversité, ainsi que les forêts tropicales.
Les Trois Bassins, abritant 80% des forêts tropicales mondiales et les deux tiers de la biodiversité terrestre, jouent un rôle vital dans cette lutte. De surcroît, face à l’accélération du changement climatique et à ses conséquences de plus en plus néfastes pour les communautés humaines, les espèces animales et végétales, les Trois Bassins portent une responsabilité majeure en tant que poumons de la planète, régulateurs mondiaux de l’équilibre carbone et gardiens de la biodiversité.
Douze ans après le 1er sommet, en collaboration avec le Président de la République du Brésil et le Président de la République d’Indonésie, la décision prise par Denis Sassou-N’Guesso d’accueillir à Brazzaville le Sommet des Trois Bassins des Écosystèmes de Biodiversité et des Forêts Tropicales, merite d’etre louée. Non seulement le moment aura été fondamental pour cimenter la coopération Sud-Sud, mais aussi de mettre en place un cadre commun de coopération pour la préservation de la biodiversité.
Quid des trois bassins forestiers tropicaux
En rappel, le Bassin de l’Amazonie est la plus vaste forêt tropicale de la planète, traversée par le fleuve le plus important du monde en débit et le deuxième en longueur, l’Amazone. Il s’étend sur 9 pays d’Amérique du Sud, dont le Brésil, représentant à lui seul 60 % de la forêt amazonienne, le Pérou, l’Équateur, la Colombie, le Venezuela, la Bolivie, la Guyane française, le Suriname et la République du Guyana.
Par ailleurs, le Bassin du Congo représente la deuxième forêt tropicale du monde en termes de superficie, après celle du bassin de l’Amazonie. Cette immense forêt de 286 millions d’hectares s’étend sur six pays d’Afrique centrale : la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Gabon et la Guinée équatoriale, représentant 6% de la surface forestière planétaire. Il joue donc un rôle crucial dans la stabilité du climat mondial, avec un couvert forestier et des tourbières séquestrant l’équivalent de 10 années d’émissions mondiales de CO2.
Enfin, le Bassin Bornéo – Mékong – Asie du Sud-Est, troisième puits de carbone mondial, est composé de deux sous-régions, celle de l’île de Bornéo et celle du fleuve Mékong. Le Mékong est l’un des plus grands fleuves au monde, traversant 6 pays : la Chine, la Birmanie, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge et le Vietnam qui se partagent les ressources naturelles et les terres qui l’entourent. Bornéo, quatrième plus grande île du monde, est partagée entre le Brunei, la Malaisie et l’Indonésie.
L’importance de la tenue du 2ème sommet des trois bassins
Attaché aux sujets de développement durable, le député Brice Dimitri Bayendissa salue l’initiative de la tenue de ce sommet en terre congolaise. Puisque, soutient-il, l’objectif poursuivi, au travers de cette rencontre internationale, était d’assurer la gouvernance mondiale des politiques de conservation, de coopération et de financement du poumon écologique et climatique du monde.
Brice Dimitri Bayendissa se dit être émerveillé par l’engagement et la détermination du président Denis Sassou-N’Guesso sur les questions environnementales. En ce sens dès son accession à la tête de l’Etat congolais, Denis Sassou-N’Guesso s’est engagé en faveur de la lutte contre les effets néfastes du changement climatique.
A travers les différents programmes et initiatives de reboisement et d’afforestation, le dirigeant congolais est resté contant. En organisant le 2ème sommet des trois bassins forestiers tropicaux, le président s’inscrit dans la dynamique des Nations Unies de limiter le réchauffement de la planète.
Brice Dimitri Bayendissa a, à l’esprit, l’invite du président Denis Sassou-N’Guesso, qu’il cite en termes : « En ces temps critiques, nous devons agir de manière concertée et déterminée pour préserver les 350 millions d’hectares d’écosystèmes, représentant un investissement colossal de 1000 milliards de dollars selon les estimations des experts des Nations Unies. »
Dans la ligne droite l’accord de Paris, fixant comme objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C d’ici 2050, le député de Tié Tié 2, ayant recours aux propos de Denis Sassou-N’Guesso, précise qu’il est impératif de préserver et de restaurer les écosystèmes de biodiversité, ainsi que les forêts tropicales.
Les Trois Bassins, abritant 80% des forêts tropicales mondiales et les deux tiers de la biodiversité terrestre, jouent un rôle vital dans cette lutte. De surcroît, face à l’accélération du changement climatique et à ses conséquences de plus en plus néfastes pour les communautés humaines, les espèces animales et végétales, les Trois Bassins portent une responsabilité majeure en tant que poumons de la planète, régulateurs mondiaux de l’équilibre carbone et gardiens de la biodiversité.
Douze ans après le 1er sommet, en collaboration avec le Président de la République du Brésil et le Président de la République d’Indonésie, la décision prise par Denis Sassou-N’Guesso d’accueillir à Brazzaville le Sommet des Trois Bassins des Écosystèmes de Biodiversité et des Forêts Tropicales, merite d’etre louée. Non seulement le moment aura été fondamental pour cimenter la coopération Sud-Sud, mais aussi de mettre en place un cadre commun de coopération pour la préservation de la biodiversité.
Quid des trois bassins forestiers tropicaux
En rappel, le Bassin de l’Amazonie est la plus vaste forêt tropicale de la planète, traversée par le fleuve le plus important du monde en débit et le deuxième en longueur, l’Amazone. Il s’étend sur 9 pays d’Amérique du Sud, dont le Brésil, représentant à lui seul 60 % de la forêt amazonienne, le Pérou, l’Équateur, la Colombie, le Venezuela, la Bolivie, la Guyane française, le Suriname et la République du Guyana.
Par ailleurs, le Bassin du Congo représente la deuxième forêt tropicale du monde en termes de superficie, après celle du bassin de l’Amazonie. Cette immense forêt de 286 millions d’hectares s’étend sur six pays d’Afrique centrale : la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Cameroun, la République Centrafricaine, le Gabon et la Guinée équatoriale, représentant 6% de la surface forestière planétaire. Il joue donc un rôle crucial dans la stabilité du climat mondial, avec un couvert forestier et des tourbières séquestrant l’équivalent de 10 années d’émissions mondiales de CO2.
Enfin, le Bassin Bornéo – Mékong – Asie du Sud-Est, troisième puits de carbone mondial, est composé de deux sous-régions, celle de l’île de Bornéo et celle du fleuve Mékong. Le Mékong est l’un des plus grands fleuves au monde, traversant 6 pays : la Chine, la Birmanie, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge et le Vietnam qui se partagent les ressources naturelles et les terres qui l’entourent. Bornéo, quatrième plus grande île du monde, est partagée entre le Brunei, la Malaisie et l’Indonésie.