Un éléphant massacré dans la région du Logone oriental au sud du Tchad en 2011.Crédits photos : Sources
TIKEM (Tchad) - La chasse aux éléphants fait encore du bruit sous l’œil passif des autorités qui tentent tant bien que mal à en découdre avec ce phénomène devenu trop répétitif. Cette fois-ci, c'est la sous-préfecture de Tikem, dans la région du Mayo-Kebbi Est qui est prise pour cible.
En quelques heures d'opération, le nombre d'éléphants massacrés est porté à 88. D'après les premiers éléments, les braconniers sont biens organisés, armés et nombreux.
Depuis hier, le préfet du Mont-Illi, Abdoulaye Abdallah Nassour a actionner le bouton d'alarme en improvisant un "commando" d'une centaine de policiers, 54 motos et quelques véhicules tout-terrains.
Pour le moment, les autorités se penchent sur d'éventuelles complicités entre les forces de l'ordre et les malfrats.
En quelques heures d'opération, le nombre d'éléphants massacrés est porté à 88. D'après les premiers éléments, les braconniers sont biens organisés, armés et nombreux.
Depuis hier, le préfet du Mont-Illi, Abdoulaye Abdallah Nassour a actionner le bouton d'alarme en improvisant un "commando" d'une centaine de policiers, 54 motos et quelques véhicules tout-terrains.
Pour le moment, les autorités se penchent sur d'éventuelles complicités entre les forces de l'ordre et les malfrats.