Le colonel Louboungou, représentant l’Organisation du Sport militaire en Afrique (OSMA), l’a confirmé lors de la conférence de presse le 15 août dernier remettant le trophée CAMAFOOT qui vient du Burkina- Faso au ministre tchadien de la culture, de la jeunesse et des sports, Abdoulaye Ngardignan.
Le Tchad a désormais la lourde responsabilité d’œuvrer pour la réussite de ce tournoi qui réunira comme d’habitude, 16 pays. Abdoulaye Ngardignan qui a emboîté le pas du colonel, aurait tenu un discours fleuve en affirmant que toutes les dispositions sont prises pour la réussite de la compétition, reporte notre confrère Dounia Tao Mayam de Abba Garde.
Ce faisant, les infrastructures sportives au niveau de la capitale semblent insuffisantes, la construction du stade de diguel qui est sur la liste des stades prévues pour la compétition est inachevée. Cela crée de doute en beaucoup de supporteurs qui se demandent si le choix de l’organisation est vraiment réfléchi.
Le comité d’organisation a du mal à être au point, des moyens financiers manquent pour la préparation des Sao version militaire. Faute de championnat digne de ce nom, les joueurs habituels sont sollicités pour relever le défi. Ainsi, le Tchad risque d’écoper d’une lourde sanction, car ces joueurs sélectionnés sont bien connus de la FIFA et de la CAF. Les préparatifs posent problème et les entraînements ne seraient pas réguliers relate notre confrère.
Le Tchad est notoirement à la traîne contrairement à Burkina Faso champion en titre, l’Egypte, le Cameroun, l’Algérie et la Cote d’ivoire qui sont bien enjambées.
La question des primes entraînements ou de récupération se pose avec énergie, le staff technique se lamente du manque d’argent .visiblement, toutes les conditions sont réunies pour que les Sao militaires figurent dans la liste des vrais outsiders du tournoi devant leur public. A quand le réveil ? conclut-il.
Rolel Gloria
Le Tchad a désormais la lourde responsabilité d’œuvrer pour la réussite de ce tournoi qui réunira comme d’habitude, 16 pays. Abdoulaye Ngardignan qui a emboîté le pas du colonel, aurait tenu un discours fleuve en affirmant que toutes les dispositions sont prises pour la réussite de la compétition, reporte notre confrère Dounia Tao Mayam de Abba Garde.
Ce faisant, les infrastructures sportives au niveau de la capitale semblent insuffisantes, la construction du stade de diguel qui est sur la liste des stades prévues pour la compétition est inachevée. Cela crée de doute en beaucoup de supporteurs qui se demandent si le choix de l’organisation est vraiment réfléchi.
Le comité d’organisation a du mal à être au point, des moyens financiers manquent pour la préparation des Sao version militaire. Faute de championnat digne de ce nom, les joueurs habituels sont sollicités pour relever le défi. Ainsi, le Tchad risque d’écoper d’une lourde sanction, car ces joueurs sélectionnés sont bien connus de la FIFA et de la CAF. Les préparatifs posent problème et les entraînements ne seraient pas réguliers relate notre confrère.
Le Tchad est notoirement à la traîne contrairement à Burkina Faso champion en titre, l’Egypte, le Cameroun, l’Algérie et la Cote d’ivoire qui sont bien enjambées.
La question des primes entraînements ou de récupération se pose avec énergie, le staff technique se lamente du manque d’argent .visiblement, toutes les conditions sont réunies pour que les Sao militaires figurent dans la liste des vrais outsiders du tournoi devant leur public. A quand le réveil ? conclut-il.
Rolel Gloria