Il semblerait que les magistrats de la Cour de Justice européenne n'ont aucune connaissance du droit international et du droit musulman sur la notion de la Beyaa, acte d'allégeance.
Ils ont bafoué ces deux droits, en rendant leur verdict sur la suspension de l'accord agricole avec le Royaume du Maroc pour la simple raison qu'ils s'appliquaient aux Provinces Sahariennes marocaines.
Ces magistrats, venus de je ne sais où, devraient consulter les archives militaires historiques de leur pays respectif avant de rendre un arrêt qui insulte le peuple marocain, porte atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale.
Face à cette insulte le Maroc a décidé de suspendre tous ses contacts avec l'Union Européenne pour motif légitime qu'il revêt un caractère hautement politique, contraire au droit international et à l'Histoire mais aussi en total contradiction avec les résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU.
Un comportement hypocrite de certaines autorités européennes qui risquent de remettre en cause l'esprit de partenariat qui impose écoute, partage, solidarité et respect mutuel.
Que les responsables européens sachent que le Maroc ne pourrait tolérer qu'il soit réduit en un objet d'une procédure judiciaire, ni être balloté entre les divers départements des institutions européennes.
Par cette réaction ferme, Rabat exige à ce que les institutions européennes travaillent avec un minimum de transparence avec les autorités marocaines.
Il serait urgent pour l'Union Européenne de reprendre langue avec les autorités marocaines car elle a un besoin indiscutable du Maroc dans la lutte contre le terrorisme, l'immigration, la sécurité et la nourriture de sa population.
Il est inconcevable que l'Union Européenne sacrifie des liens de longue date avec le Maroc en s'immisçant sur le dossier des Provinces Sahariennes marocaines car il constitue une question existentielle et non négociable pour ce pays ; n'en déplaise aux européens pro-polisariens, manipulés par des responsables algériens. Qu'ils sachent que le prix du pétrole a fortement chuté et que certaines valisettes de pétro-dollars seront vides.
Non ! Le Maroc n'amputera jamais son territoire national, qui part de Tanger jusqu'à Lagouira, pour des fruits, légumes et poissons. D'autres pays, notamment la Russie, le Japon, la Chine et d'autres pays asiatiques et africains en sont demandeurs. Les espagnols, les portugais, les ressortissants de l'Europe du Nord et les français n'auront plus de poissons sur leur table et encore moins dans les bistrots ni de ces délicieux fruits et légumes; tout particulièrement en cette période de crise agricole en Europe.
Ils ont bafoué ces deux droits, en rendant leur verdict sur la suspension de l'accord agricole avec le Royaume du Maroc pour la simple raison qu'ils s'appliquaient aux Provinces Sahariennes marocaines.
Ces magistrats, venus de je ne sais où, devraient consulter les archives militaires historiques de leur pays respectif avant de rendre un arrêt qui insulte le peuple marocain, porte atteinte à son intégrité territoriale et à sa souveraineté nationale.
Face à cette insulte le Maroc a décidé de suspendre tous ses contacts avec l'Union Européenne pour motif légitime qu'il revêt un caractère hautement politique, contraire au droit international et à l'Histoire mais aussi en total contradiction avec les résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU.
Un comportement hypocrite de certaines autorités européennes qui risquent de remettre en cause l'esprit de partenariat qui impose écoute, partage, solidarité et respect mutuel.
Que les responsables européens sachent que le Maroc ne pourrait tolérer qu'il soit réduit en un objet d'une procédure judiciaire, ni être balloté entre les divers départements des institutions européennes.
Par cette réaction ferme, Rabat exige à ce que les institutions européennes travaillent avec un minimum de transparence avec les autorités marocaines.
Il serait urgent pour l'Union Européenne de reprendre langue avec les autorités marocaines car elle a un besoin indiscutable du Maroc dans la lutte contre le terrorisme, l'immigration, la sécurité et la nourriture de sa population.
Il est inconcevable que l'Union Européenne sacrifie des liens de longue date avec le Maroc en s'immisçant sur le dossier des Provinces Sahariennes marocaines car il constitue une question existentielle et non négociable pour ce pays ; n'en déplaise aux européens pro-polisariens, manipulés par des responsables algériens. Qu'ils sachent que le prix du pétrole a fortement chuté et que certaines valisettes de pétro-dollars seront vides.
Non ! Le Maroc n'amputera jamais son territoire national, qui part de Tanger jusqu'à Lagouira, pour des fruits, légumes et poissons. D'autres pays, notamment la Russie, le Japon, la Chine et d'autres pays asiatiques et africains en sont demandeurs. Les espagnols, les portugais, les ressortissants de l'Europe du Nord et les français n'auront plus de poissons sur leur table et encore moins dans les bistrots ni de ces délicieux fruits et légumes; tout particulièrement en cette période de crise agricole en Europe.