Abednego est un jeune tchadien, passionné de la musique depuis son jeune âge. Sachant que faire la musique demande à avoir une culture affutée, un art travaillé, il fait partie d'une des figures montantes du slam tchadien.
Membre du collectif Tchad slam, il représente la ville d’abéché au festival NSES et devient compétiteur à la qualification de la coupe d’Afrique de slam. Sur 22 postulants au plan national, il est retenu pour défendre les couleurs du Tchad à la coupe d’Afrique de slam. Un nouveau guerrier nait dans la lignée des Sao pour la fierté de sa terre.
Etant donné qu'il a un grand frère aussi musicien, du nom d'artiste Aim Zabb, Abednego, il s'est mis d'abord à essayer une aventure dans le monde du rap. Au collège, le jeune Abednego a débuté sa vision en observant les injustices de sa société et s'est dit qu’il ne devrait pas juste observer. Il fallait dénoncer par tous les moyens. C'est ainsi qu'embrouillé par ce style qu'il trouve brutal, il laisse passer quelques années, continuant à étudier. Il découvre le slam au travers des titres des grands slameurs tels que Grand corps malade, Croquemort où l’inspiration naquit. Abednego a aussitôt reconverti le rap en slam.
Mieux cultivé qu’avant et avec un frère ainé qui s’implique dans les écrits entre feuille et encre, la poésie s’installe. "Le slam est comme un moyen pour transmettre calmement son message et être compris", a soutenu le jeune slameur.
Avec deux concepts qu’il défend depuis le départ, son message tourne autour des situations sanitaires et aussi de sa religion. Explorer les dialectes tchadiens. Abednego est un slameur qui valorise les bonnes traditions tchadiennes. Celui-ci incarne dans ses œuvres les grands hommes tchadiens à l’exemple du Doud Mourah du Ouaddaï, le Mbang gaourang du Baguirmi ou encore Alifa Mao du Kanem.
Membre du collectif Tchad slam, il représente la ville d’abéché au festival NSES et devient compétiteur à la qualification de la coupe d’Afrique de slam. Sur 22 postulants au plan national, il est retenu pour défendre les couleurs du Tchad à la coupe d’Afrique de slam. Un nouveau guerrier nait dans la lignée des Sao pour la fierté de sa terre.
Etant donné qu'il a un grand frère aussi musicien, du nom d'artiste Aim Zabb, Abednego, il s'est mis d'abord à essayer une aventure dans le monde du rap. Au collège, le jeune Abednego a débuté sa vision en observant les injustices de sa société et s'est dit qu’il ne devrait pas juste observer. Il fallait dénoncer par tous les moyens. C'est ainsi qu'embrouillé par ce style qu'il trouve brutal, il laisse passer quelques années, continuant à étudier. Il découvre le slam au travers des titres des grands slameurs tels que Grand corps malade, Croquemort où l’inspiration naquit. Abednego a aussitôt reconverti le rap en slam.
Mieux cultivé qu’avant et avec un frère ainé qui s’implique dans les écrits entre feuille et encre, la poésie s’installe. "Le slam est comme un moyen pour transmettre calmement son message et être compris", a soutenu le jeune slameur.
Avec deux concepts qu’il défend depuis le départ, son message tourne autour des situations sanitaires et aussi de sa religion. Explorer les dialectes tchadiens. Abednego est un slameur qui valorise les bonnes traditions tchadiennes. Celui-ci incarne dans ses œuvres les grands hommes tchadiens à l’exemple du Doud Mourah du Ouaddaï, le Mbang gaourang du Baguirmi ou encore Alifa Mao du Kanem.