Le CODE, exige l’ouverture d’une enquête sur les circonstances exactes du drame d’Eséka, sur la qualité des voitures et locomotives de Camrail et sur le fond de péage destiné à l’entretien des routes.
Le train, bondé en raison de l'interruption du trafic routier entre les deux villes dû à l'effondrement d'un pont à Matomb, a déraillé un peu avant la ville d'Eseka (centre)
Cette tragédie qui s'est déroulée vendredi dernier à Eseka vient une fois de plus confirmer que le régime actuel au Cameroun est incapable de fournir le minimum de sécurité aux usagers de la route pourtant, des Camerounais paient des milliards de francs CFA en taxes routiers, péages, etc.
En 34 ans de pouvoir, Paul BIYA est incapable de construire ne serait ce qu’une autoroute pour relier la capitale politique et la capitale économique.
Les principales routes du pays sont dans un état piteux. Chaque jour qui passe, la dégradation avancée des routes ne fait que s’empirer, plongeant davantage les usagers dans un calvaire.
Les images qui reviennent en cours de route pour un pays qui s’apprête à organiser la Coupe d’Afrique des Nations de football féminine et masculine, sont entre autre des chauffeurs faisant descendre leurs passagers du véhicule lors de la traversée des zones à risque pour les reprendre quelques mètres plus loin, des véhicules en panne causant d’interminables embouteillages ainsi que des déviations sauvages, des ponts dont la plupart sont hérités de l’époque coloniale emportés par la crue en saison pluvieuse, des terribles accidents de circulation.
Il faut reconnaître que cette situation est le legs de décennies de mauvais choix, d’inaction et de gabegie du pouvoir en place. Et personne ne peut contester ces constats.
De manière générale, c’est à l’État qu’il revient de faciliter la circulation dans des conditions optimales des personnes et des biens dans le territoire sous son contrôle. Or depuis des décennies, l’État camerounais a failli à cette mission.
L’argent des péages qui est collecté quotidiennement n'est manifestement pas affecté à sa finalité officielle qui est d'assurer l'entretien des routes.
Face à cette situation dramatique, le Collectif des Organisations Démocratiques et Patriotiques des Camerounais de la Diaspora (CODE), toutes les cellules insurrectionnelles réunies, adresse ses condoléances les plus attristées aux familles éprouvées.
Le CODE, exige l’ouverture d’une enquête sur les circonstances exactes du drame d’Eséka, sur la qualité des voitures et locomotives de Camrail et sur le fond de péage destiné à l’entretien des routes.
Le CODE en appelle à la solidarité qui a toujours caractérisé la nation camerounaise, pour soulager les souffrances des compatriotes affectés. Il invite les populations, en général, ses adhérents et sympathisants, en particulier, à apporter une assistance multiforme aux victimes, notamment par le don du sang et divers.
Nous voulons, ce jour, avoir tous en mémoire ces hommes et ces femmes qui ont payé de leurs vies en date du 21 octobre dernier, alors qu’ils étaient entassés dans le train de la mort
Plus le Peuple Camerounais sera martyrisé, plus il s’affermira et sa renaissance sera plus grande, comme celle d’Israël la Nation Juive, qui a renaît de ses cendres après avoir subi le plus grand génocide de l’histoire : l’holocauste.
Paul Biya et ses adeptes sont en réalité un clan de carnassiers qui font l’apologie de la « négation de l’Homme » : tout sacrifice humain, tout ruisseau de sang est pratiqué à l’extrême au nom de la conservation lugubre du pouvoir.
La dernière preuve de la barbarie de ces individus réside dans les images atroces des accidentés d'Eseka, semblable aux juifs du camp d’extermination Nazi d’Auschwitz, avec les membres supérieures coupés, des pieds cassés etc.
C'est un exemple parmi des « milliers » d’anonymes mutilés dans les prisons ou les rues camerounaises attestant que Paul Biya et son clan sont des « Nazis Noirs ».
Chaque Camerounais, militaires, civils, hommes, femmes, jeunes, où que vous soyez. Nous devons prendre nos responsabilités pour mette fin à 33 ans de crimes et d’esclavage social, car l’existence même du Cameroun en tant que Nation et République est menacée par ceux qui veulent y installer une monarchie familiale et clanique.
Le CODE invite le parlement camerounais à se réunir en urgence pour constater l’absence de Paul Biya au Cameroun et la vacance de pouvoir et ensuite combler le vide institutionnel selon les dispositions afférentes de la constitution camerounaise
Le CODE met en garde Paul Biya quant au risque de guerre que Paul Biya fait peser sur le Cameroun et affirme qu’il sera le seul à en assumer les conséquences.
Le CODE sera aux cotés du Peuple Camerounais pour son ultime combat pour sa Liberté et sa dignité
Le temps de la libération est proche, libérons notre Pays le Cameroun ! Un autre Cameroun est possible, chacun de nous peut contribuer à le construire !
A toutes les familles si durement éprouvées, le CODE adresse ses sincères condoléances. Aux blessés, nous formulons nos vœux de prompt rétablissement
Fait à Bruxelles le 22 octobre 2016.
Contact : [email protected]
http://www.lecode.canalblog.com
Pour le CODE
Roufaou Oumarou
Cellule de la Communication du CODE
Cette tragédie qui s'est déroulée vendredi dernier à Eseka vient une fois de plus confirmer que le régime actuel au Cameroun est incapable de fournir le minimum de sécurité aux usagers de la route pourtant, des Camerounais paient des milliards de francs CFA en taxes routiers, péages, etc.
En 34 ans de pouvoir, Paul BIYA est incapable de construire ne serait ce qu’une autoroute pour relier la capitale politique et la capitale économique.
Les principales routes du pays sont dans un état piteux. Chaque jour qui passe, la dégradation avancée des routes ne fait que s’empirer, plongeant davantage les usagers dans un calvaire.
Les images qui reviennent en cours de route pour un pays qui s’apprête à organiser la Coupe d’Afrique des Nations de football féminine et masculine, sont entre autre des chauffeurs faisant descendre leurs passagers du véhicule lors de la traversée des zones à risque pour les reprendre quelques mètres plus loin, des véhicules en panne causant d’interminables embouteillages ainsi que des déviations sauvages, des ponts dont la plupart sont hérités de l’époque coloniale emportés par la crue en saison pluvieuse, des terribles accidents de circulation.
Il faut reconnaître que cette situation est le legs de décennies de mauvais choix, d’inaction et de gabegie du pouvoir en place. Et personne ne peut contester ces constats.
De manière générale, c’est à l’État qu’il revient de faciliter la circulation dans des conditions optimales des personnes et des biens dans le territoire sous son contrôle. Or depuis des décennies, l’État camerounais a failli à cette mission.
L’argent des péages qui est collecté quotidiennement n'est manifestement pas affecté à sa finalité officielle qui est d'assurer l'entretien des routes.
Face à cette situation dramatique, le Collectif des Organisations Démocratiques et Patriotiques des Camerounais de la Diaspora (CODE), toutes les cellules insurrectionnelles réunies, adresse ses condoléances les plus attristées aux familles éprouvées.
Le CODE, exige l’ouverture d’une enquête sur les circonstances exactes du drame d’Eséka, sur la qualité des voitures et locomotives de Camrail et sur le fond de péage destiné à l’entretien des routes.
Le CODE en appelle à la solidarité qui a toujours caractérisé la nation camerounaise, pour soulager les souffrances des compatriotes affectés. Il invite les populations, en général, ses adhérents et sympathisants, en particulier, à apporter une assistance multiforme aux victimes, notamment par le don du sang et divers.
Nous voulons, ce jour, avoir tous en mémoire ces hommes et ces femmes qui ont payé de leurs vies en date du 21 octobre dernier, alors qu’ils étaient entassés dans le train de la mort
Plus le Peuple Camerounais sera martyrisé, plus il s’affermira et sa renaissance sera plus grande, comme celle d’Israël la Nation Juive, qui a renaît de ses cendres après avoir subi le plus grand génocide de l’histoire : l’holocauste.
Paul Biya et ses adeptes sont en réalité un clan de carnassiers qui font l’apologie de la « négation de l’Homme » : tout sacrifice humain, tout ruisseau de sang est pratiqué à l’extrême au nom de la conservation lugubre du pouvoir.
La dernière preuve de la barbarie de ces individus réside dans les images atroces des accidentés d'Eseka, semblable aux juifs du camp d’extermination Nazi d’Auschwitz, avec les membres supérieures coupés, des pieds cassés etc.
C'est un exemple parmi des « milliers » d’anonymes mutilés dans les prisons ou les rues camerounaises attestant que Paul Biya et son clan sont des « Nazis Noirs ».
Chaque Camerounais, militaires, civils, hommes, femmes, jeunes, où que vous soyez. Nous devons prendre nos responsabilités pour mette fin à 33 ans de crimes et d’esclavage social, car l’existence même du Cameroun en tant que Nation et République est menacée par ceux qui veulent y installer une monarchie familiale et clanique.
Le CODE invite le parlement camerounais à se réunir en urgence pour constater l’absence de Paul Biya au Cameroun et la vacance de pouvoir et ensuite combler le vide institutionnel selon les dispositions afférentes de la constitution camerounaise
Le CODE met en garde Paul Biya quant au risque de guerre que Paul Biya fait peser sur le Cameroun et affirme qu’il sera le seul à en assumer les conséquences.
Le CODE sera aux cotés du Peuple Camerounais pour son ultime combat pour sa Liberté et sa dignité
Le temps de la libération est proche, libérons notre Pays le Cameroun ! Un autre Cameroun est possible, chacun de nous peut contribuer à le construire !
A toutes les familles si durement éprouvées, le CODE adresse ses sincères condoléances. Aux blessés, nous formulons nos vœux de prompt rétablissement
Fait à Bruxelles le 22 octobre 2016.
Contact : [email protected]
http://www.lecode.canalblog.com
Pour le CODE
Roufaou Oumarou
Cellule de la Communication du CODE