Eloïne Barry, directrice générale d'AMA
NEW YORK, États-Unis, 20 septembre 2016,-/African Media Agency (AMA)/- À l'occasion du second forum d'affaires États-Unis-Afrique, AMA a annoncé le lancement d'un nouveau canal de distribution des communiqués de presse qui permettra aux entreprises et gouvernements africains de communiquer de manière efficace et effective avec les médias américains tout en offrant aux journalistes américains un accès aux médias les plus influents du continent.
Le Forum d'affaires États-Unis-Afrique se tient lors de la 71e session de l'Assemblée Générale des Nations Unies à New-York. Il rassemble des chefs d'état et des dirigeants d'entreprises américaines et africaines et vise à renforcer les liens commerciaux et financiers entre les deux continents. Le Forum met l'accent sur l'engagement du secteur privé américain en Afrique dans des secteurs tels que la finance et le placement de capital, les infrastructures, l'énergie et l'électricité, l'agriculture, les biens de consommation, la santé et les technologies de l'information et de la communication.
Afin de valoriser et de pérenniser le dialogue initié dans ces forums, il doit être enrichi quotidiennement. Le nouveau service d'AMA favorisera un environnement pérennisant l'intérêt mutuel entre les partenaires américains et africains.
« Le fossé le plus important à combler aujourd'hui entre les entreprises américaines et l'Afrique n'est en aucun cas un fossé géographique », déclare Eloine Barry, directrice générale d'AMA. « Aujourd'hui marque la prochaine étape de notre parcours en tant que leader de la distribution des communiqués de presse en Afrique. Cette étape vise à combler le fossé de l'information entre l'Afrique et son partenaire d'affaires potentiel principal : les États-Unis. Les entreprises ont besoin d'une source fiable de collecte et de dissémination de l'information. C'est exactement ce que nous proposons.
Comme l'a souligné le Président Obama en Éthiopie l'été dernier, « le progrès de l'Afrique dépendra de la libération de sa croissance économique, pas seulement pour les rares privilégiés, mais pour le plus grand nombre, car la dignité consiste essentiellement à pouvoir vivre une vie décente. Et cela commence par un emploi. Et pour cela, le commerce et les investissements sont nécessaires. »
Le secteur privé américain est toujours désireux d'accroître sa connexion commerciale avec les économies africaines alors que l'objectif est toujours de transformer la relation basée sur les aides en une relation basée sur le commerce. Pendant ce temps, alors que la carte des investissements mondiaux reste pour le moins très instable en ce qui concerne les placements américains, les marchés africains disposent pour les entreprises et les investisseurs américains de nombreuses opportunités inexploitées.
Alors que de nombreuses organisations officielles et non officielles se créent pour promouvoir les affaires et les investissements entre les États-Unis et le continent africain, le canal États-Unis/Afrique de distribution pour les entreprises fait office d'intermédiaire neutre et de confiance permettant de mettre en relation les leaders d'opinion des deux côtés du continent.
Eloïne Barry ajoute : « Le message de la communauté d'affaires américaine est clair : L'Afrique est un territoire dont la croissance est rapide et qui présente des opportunités intéressantes en matière d'investissement et de commerce. Le canal États-Unis-Afrique de distribution pour les entreprises fournira aux sociétés un moyen de promouvoir le commerce et les investissements en Afrique et d'augmenter l'engagement commercial entre l'Afrique et les États-Unis, en plus de permettre la dissémination de l'information. »
Comme preuve de l'importance croissante des relations américano-africaines, le Département du commerce américain a récemment annoncé avoir doublé sa présence en Afrique subsaharienne au cours de l'année dernière, en ouvrant de nouveaux bureaux en Angola, Tanzanie, Éthiopie et au Mozambique, tout en développant ses opérations au Ghana et en renouvelant sa présence au sein de la Banque africaine de développement. Il a également soutenu 16 marchés du secteur privé en Afrique, d'une valeur d'environ 7 milliards de dollars, dont 4,1 milliards de dollars d'exports américains.
Depuis le Sommet États-Unis-Afrique de 2014, les centres régionaux d'information sur le commerce de l'Agence américaine pour le développement international ont favorisé presque 220 millions de dollars d'exports africains et 75 millions de dollars d'investissements locaux par l'intermédiaire de Trade Africa. Et cela, tout en travaillant avec les gouvernements locaux et les communautés économiques régionales afin de respecter les engagements de l'OMC, établir le cadre des portails nationaux d'interface unique et d'information commerciale, et moderniser les procédures de douane. Au cours des cinq prochaines années, les plateformes financières et d'investissement d'Afrique de l'Est et de l'Ouest devraient générer plus de 200 millions de dollars de nouveaux investissements et favoriser la création de 37 000 emplois.
Le Forum d'affaires États-Unis-Afrique se tient lors de la 71e session de l'Assemblée Générale des Nations Unies à New-York. Il rassemble des chefs d'état et des dirigeants d'entreprises américaines et africaines et vise à renforcer les liens commerciaux et financiers entre les deux continents. Le Forum met l'accent sur l'engagement du secteur privé américain en Afrique dans des secteurs tels que la finance et le placement de capital, les infrastructures, l'énergie et l'électricité, l'agriculture, les biens de consommation, la santé et les technologies de l'information et de la communication.
Afin de valoriser et de pérenniser le dialogue initié dans ces forums, il doit être enrichi quotidiennement. Le nouveau service d'AMA favorisera un environnement pérennisant l'intérêt mutuel entre les partenaires américains et africains.
« Le fossé le plus important à combler aujourd'hui entre les entreprises américaines et l'Afrique n'est en aucun cas un fossé géographique », déclare Eloine Barry, directrice générale d'AMA. « Aujourd'hui marque la prochaine étape de notre parcours en tant que leader de la distribution des communiqués de presse en Afrique. Cette étape vise à combler le fossé de l'information entre l'Afrique et son partenaire d'affaires potentiel principal : les États-Unis. Les entreprises ont besoin d'une source fiable de collecte et de dissémination de l'information. C'est exactement ce que nous proposons.
Comme l'a souligné le Président Obama en Éthiopie l'été dernier, « le progrès de l'Afrique dépendra de la libération de sa croissance économique, pas seulement pour les rares privilégiés, mais pour le plus grand nombre, car la dignité consiste essentiellement à pouvoir vivre une vie décente. Et cela commence par un emploi. Et pour cela, le commerce et les investissements sont nécessaires. »
Le secteur privé américain est toujours désireux d'accroître sa connexion commerciale avec les économies africaines alors que l'objectif est toujours de transformer la relation basée sur les aides en une relation basée sur le commerce. Pendant ce temps, alors que la carte des investissements mondiaux reste pour le moins très instable en ce qui concerne les placements américains, les marchés africains disposent pour les entreprises et les investisseurs américains de nombreuses opportunités inexploitées.
Alors que de nombreuses organisations officielles et non officielles se créent pour promouvoir les affaires et les investissements entre les États-Unis et le continent africain, le canal États-Unis/Afrique de distribution pour les entreprises fait office d'intermédiaire neutre et de confiance permettant de mettre en relation les leaders d'opinion des deux côtés du continent.
Eloïne Barry ajoute : « Le message de la communauté d'affaires américaine est clair : L'Afrique est un territoire dont la croissance est rapide et qui présente des opportunités intéressantes en matière d'investissement et de commerce. Le canal États-Unis-Afrique de distribution pour les entreprises fournira aux sociétés un moyen de promouvoir le commerce et les investissements en Afrique et d'augmenter l'engagement commercial entre l'Afrique et les États-Unis, en plus de permettre la dissémination de l'information. »
Comme preuve de l'importance croissante des relations américano-africaines, le Département du commerce américain a récemment annoncé avoir doublé sa présence en Afrique subsaharienne au cours de l'année dernière, en ouvrant de nouveaux bureaux en Angola, Tanzanie, Éthiopie et au Mozambique, tout en développant ses opérations au Ghana et en renouvelant sa présence au sein de la Banque africaine de développement. Il a également soutenu 16 marchés du secteur privé en Afrique, d'une valeur d'environ 7 milliards de dollars, dont 4,1 milliards de dollars d'exports américains.
Depuis le Sommet États-Unis-Afrique de 2014, les centres régionaux d'information sur le commerce de l'Agence américaine pour le développement international ont favorisé presque 220 millions de dollars d'exports africains et 75 millions de dollars d'investissements locaux par l'intermédiaire de Trade Africa. Et cela, tout en travaillant avec les gouvernements locaux et les communautés économiques régionales afin de respecter les engagements de l'OMC, établir le cadre des portails nationaux d'interface unique et d'information commerciale, et moderniser les procédures de douane. Au cours des cinq prochaines années, les plateformes financières et d'investissement d'Afrique de l'Est et de l'Ouest devraient générer plus de 200 millions de dollars de nouveaux investissements et favoriser la création de 37 000 emplois.