Par un communiqué de presse rendu public, le 08 mars 2022, l'Union des Syndicats des Professionnels de la Presse d'Afrique Centrale (USYPAC), dont est membre l'Union des Journalistes Tchadiens (UJT), s'insurge conjointement, contre l'agression perpétrée contre le journaliste présentateur de la télévision nationale tchadienne, Adoum Abdelkader, à son domicile, le samedi 05 mars 2022, par trois inconnus.
L'USYPAC et l'UJT condamnent avec vigueur, cet acte criminel et lâche, le qualifient d'une tentative d'assassinat, et qui ne pourrait rester impuni dans un Etat de droit. Les deux organisations exigent du gouvernement, l'application immédiate des recommandations de la journée de réflexion sur la sécurité et la protection des journalistes, ainsi que la ratification de la convention internationale pour la sécurité et l'indépendance des journalistes et des autres professionnels des médias, élaborée par la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ).
Par ailleurs, l’UJT et l'USYPAC se disposent le droit de se joindre au ministère de la Communication et à l'ONAMA, qui entendent se constituer partie civile, pour demander justice pour le journaliste Adoum Abdelkader. Les organisations rappellent que le rôle de l'Etat, c'est d'appliquer toutes les mesures pratiques pour prévenir les menaces, la violence et les attaques contre la vie et l'intégrité physique des journalistes et autres professionnels des médias, conclut le communiqué de presse.
Le communiqué porte les signatures de : Djime Wiche, secrétaire général adjoint de l'UJT et André Kodmadjingar, secrétaire général de USYPAC.
L'USYPAC et l'UJT condamnent avec vigueur, cet acte criminel et lâche, le qualifient d'une tentative d'assassinat, et qui ne pourrait rester impuni dans un Etat de droit. Les deux organisations exigent du gouvernement, l'application immédiate des recommandations de la journée de réflexion sur la sécurité et la protection des journalistes, ainsi que la ratification de la convention internationale pour la sécurité et l'indépendance des journalistes et des autres professionnels des médias, élaborée par la Fédération Internationale des Journalistes (FIJ).
Par ailleurs, l’UJT et l'USYPAC se disposent le droit de se joindre au ministère de la Communication et à l'ONAMA, qui entendent se constituer partie civile, pour demander justice pour le journaliste Adoum Abdelkader. Les organisations rappellent que le rôle de l'Etat, c'est d'appliquer toutes les mesures pratiques pour prévenir les menaces, la violence et les attaques contre la vie et l'intégrité physique des journalistes et autres professionnels des médias, conclut le communiqué de presse.
Le communiqué porte les signatures de : Djime Wiche, secrétaire général adjoint de l'UJT et André Kodmadjingar, secrétaire général de USYPAC.