La Chancelière allemande, Angela Merkel, est arrivée en Algérie, le 17 septembre 2017, pour une visite éclair au cours de laquelle des questions diverses ont été traitées avec le Premier Ministre algérien, Ahmed Ouyahia, dont la plus importante est celle des immigrés clandestins algériens, appelés harragas en Algérie, se chiffrant au nombre d'environ 50 000.
Aussi, face au ton incisif de la Chancelière allemande, Ahmed Ouyahia n'avait d'autres choix que de signer l'accord d'expulsion de migrants algériens illégaux établis en Allemagne.
Confirmation en a été faite lors d'une conférence presse conjointe le jour même au cours de laquelle Madame Merkel a confirmé que l'Algérie s'engage à récupérer tous ses harragas en situation illégale, tout en respectant un certain nombre de règles.
Tel est le seul point gagnant de la Chancelière allemande lors de sa visite ultra-rapide en Algérie ; quant au reste du léger programme de sa visite extrêmement courte, il n'y eu aucun résultat concret et n'ont débouchés, comme à l'accoutumée, que sur très peu d’investissements productifs et créateurs de richesses.
Il fallait s'y attendre en raison de l'incertitude et du climat politique interne n'offrant aucune visibilité aux futurs investisseurs étrangers, notamment l'élection présidentielle de 2019, la fumeuse règle 51/49, instituée en 2009, les tracasseries bureaucratiques toujours présentes, le transfert des dividendes relevant d'un véritable parcours du combattant et l’obtention du visa d’entrée en Algérie demeurant un exercice ardu poussent les capitaux étrangers à se rendre vers d’autres destinations plus attractives et surtout plus honnêtes.
En conclusion, la visite empressée de la Chancelière allemande, Madame Merkel, n'est en fait qu'une simple visite de prestige, sans plus, qui a fait plier les responsables algériens sur le dossier des harragas algériens en Allemagne. Ni plus, ni moins !
Les responsables algériens viennent de comprendre que les intérêts de l'Allemagne priment avant toute autre considération et ils viennent d'en faire la triste expérience !
D'ailleurs, sur ce chapitre, et ne l'oublions pas, les médias algériens et pro-algériens se sont hypocritement inscrits aux abonnés absents pour éviter tout dérapage envers l'Allemagne, un poids lourds européen, tout comme de nombreux pays africains, notamment maghrébins, qui ne se laissent pas insulter.
Aussi, face au ton incisif de la Chancelière allemande, Ahmed Ouyahia n'avait d'autres choix que de signer l'accord d'expulsion de migrants algériens illégaux établis en Allemagne.
Confirmation en a été faite lors d'une conférence presse conjointe le jour même au cours de laquelle Madame Merkel a confirmé que l'Algérie s'engage à récupérer tous ses harragas en situation illégale, tout en respectant un certain nombre de règles.
Tel est le seul point gagnant de la Chancelière allemande lors de sa visite ultra-rapide en Algérie ; quant au reste du léger programme de sa visite extrêmement courte, il n'y eu aucun résultat concret et n'ont débouchés, comme à l'accoutumée, que sur très peu d’investissements productifs et créateurs de richesses.
Il fallait s'y attendre en raison de l'incertitude et du climat politique interne n'offrant aucune visibilité aux futurs investisseurs étrangers, notamment l'élection présidentielle de 2019, la fumeuse règle 51/49, instituée en 2009, les tracasseries bureaucratiques toujours présentes, le transfert des dividendes relevant d'un véritable parcours du combattant et l’obtention du visa d’entrée en Algérie demeurant un exercice ardu poussent les capitaux étrangers à se rendre vers d’autres destinations plus attractives et surtout plus honnêtes.
En conclusion, la visite empressée de la Chancelière allemande, Madame Merkel, n'est en fait qu'une simple visite de prestige, sans plus, qui a fait plier les responsables algériens sur le dossier des harragas algériens en Allemagne. Ni plus, ni moins !
Les responsables algériens viennent de comprendre que les intérêts de l'Allemagne priment avant toute autre considération et ils viennent d'en faire la triste expérience !
D'ailleurs, sur ce chapitre, et ne l'oublions pas, les médias algériens et pro-algériens se sont hypocritement inscrits aux abonnés absents pour éviter tout dérapage envers l'Allemagne, un poids lourds européen, tout comme de nombreux pays africains, notamment maghrébins, qui ne se laissent pas insulter.