Non ce n'est pas vrai ! Ils persistent dans leur mensonge ! Ces deux journaleux que sont Eric Laurent et Catherine Graciet ont franchi le cap du délire pour tomber dans une folie délirante.
Est-il possible de nier ou de contester le contenu ou une partie des enregistrements sous le motif qu'ils ont été modifiés, comme le déclare Eric Laurent, alors qu'ils ont été expertisés par la police technique et scientifique française ; si tel était le cas la police française serait dans de beaux draps. Un scénario qui relève de l'imaginaire de deux personnages en totale perdition professionnelle et financière et qui tentent de sauver, par tous les moyens, le peu de meubles qui leur reste.
Au fait, ces deux journaleux peuvent-ils renier le papier qu'ils ont signé de plein gré et la dame Graciet peut-elle récuser son Post Scriptum qui figure sur ce même document qu'elle a rédigé de sa main ; du rêve !
Et les 40 000 euros retrouvés par la police française dans les poches de chacun de ces larrons, compères en extorsion, pourraient-ils les justifier ; une somme qui figure dans le document qu'ils ont signé pour ne pas publier un tissu de mensonges contre les autorités marocaines et ce, à la veille où le Maroc va asseoir sa démocratie, promouvoir sa régionalisation avancée incluant ses provinces sahariennes et lutte efficacement contre le terrorisme qui frappe également l'Europe.
Ces deux prédateurs ont souillé la profession de journaliste, discrédité fortement la presse et les journalistes français, ils leur est recommandé de se retourner vers leurs commanditaires pour leur assurer des lendemains sereins et pleins de pétrodollars.
De plus, il est inutile qu'ils s'étalent lamentablement face à une certaine presse pour tenter de sortir du bourbier dans lequel ils sont trempés jusqu'au cou ; il y a eu chantage et extorsion de fonds, les preuves sont irréfutables et parlantes.
Est-il possible de nier ou de contester le contenu ou une partie des enregistrements sous le motif qu'ils ont été modifiés, comme le déclare Eric Laurent, alors qu'ils ont été expertisés par la police technique et scientifique française ; si tel était le cas la police française serait dans de beaux draps. Un scénario qui relève de l'imaginaire de deux personnages en totale perdition professionnelle et financière et qui tentent de sauver, par tous les moyens, le peu de meubles qui leur reste.
Au fait, ces deux journaleux peuvent-ils renier le papier qu'ils ont signé de plein gré et la dame Graciet peut-elle récuser son Post Scriptum qui figure sur ce même document qu'elle a rédigé de sa main ; du rêve !
Et les 40 000 euros retrouvés par la police française dans les poches de chacun de ces larrons, compères en extorsion, pourraient-ils les justifier ; une somme qui figure dans le document qu'ils ont signé pour ne pas publier un tissu de mensonges contre les autorités marocaines et ce, à la veille où le Maroc va asseoir sa démocratie, promouvoir sa régionalisation avancée incluant ses provinces sahariennes et lutte efficacement contre le terrorisme qui frappe également l'Europe.
Ces deux prédateurs ont souillé la profession de journaliste, discrédité fortement la presse et les journalistes français, ils leur est recommandé de se retourner vers leurs commanditaires pour leur assurer des lendemains sereins et pleins de pétrodollars.
De plus, il est inutile qu'ils s'étalent lamentablement face à une certaine presse pour tenter de sortir du bourbier dans lequel ils sont trempés jusqu'au cou ; il y a eu chantage et extorsion de fonds, les preuves sont irréfutables et parlantes.