AA/N'Djamena/Mahamat Ramadane
Le ministre tchadien de l'Administration du territoire et de la sécurité publique, Adérahim Brémé, a affirmé, jeudi, que les attaques qui ont visé, lundi, deux établissements sécuritaires de la capitale, N'Djamena, sont "bien l'oeuvre de Boko Haram".
S'exprimant sur les ondes de la radio nationale tcahdienne, le ministre a précisé : "Selon les informations dont nous disposons, les attentats du 15 juin 2015, sont bien l'oeuvre des adeptes de Boko haram. Il y a eu beaucoup de spéculations autour de ces événements macabres mais nous rassurons la population tchadienne que les complices de ces terroristes seront très bientôt appréhendés et punis. des témoins nous ont fourni de nouveaux éléments".
Pour ce qui est de l'état d'avancement de l'enquête, il a noté que "la justice dispose de suffisamment d'éléments pour faire son travail.
"Au niveau du commissariat central, c'est un seul kamikase qui s'est fait explosé, nous avons déjà pu recueillir plusieurs informations sur son compte", a ajouté le responsable tchadien notant qu'il n'était pas possible, à ce stade, de révéler plus de détails sur l'enquête.
Le ministre s'est, en outre, adressé au peuple tchadien qu'il a félicité pour son calme face aux attaques qui ont frappé la capitale affirmant que les terroristes seront traqués là où ils se trouveront.
La capitale tchadienne N'Djamena a été le théâtre, lundi, de deux attentats suicide qui ont visé le commissariat central et l’école de police.
Brémé a déclaré que le nombre de morts s'élève du lundi, selon le dernier bilan, à 34 dont une majorité parmi les élèves de l'école de police et celui des blessés à 105.
Une source sécuritaire, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, avait, précisé à Anadolu que "les attaques ont été perpétrée par au moins trois kamikazes appartenant à la secte Boko Haram", contre laquelle le Tchad est engagé militairement avec d'autres pays du Bassin du Lac Tchad, depuis janvier dernier.
Cependant les deux attaques n'ont toujours pas été revendiquées.
S'exprimant sur les ondes de la radio nationale tcahdienne, le ministre a précisé : "Selon les informations dont nous disposons, les attentats du 15 juin 2015, sont bien l'oeuvre des adeptes de Boko haram. Il y a eu beaucoup de spéculations autour de ces événements macabres mais nous rassurons la population tchadienne que les complices de ces terroristes seront très bientôt appréhendés et punis. des témoins nous ont fourni de nouveaux éléments".
Pour ce qui est de l'état d'avancement de l'enquête, il a noté que "la justice dispose de suffisamment d'éléments pour faire son travail.
"Au niveau du commissariat central, c'est un seul kamikase qui s'est fait explosé, nous avons déjà pu recueillir plusieurs informations sur son compte", a ajouté le responsable tchadien notant qu'il n'était pas possible, à ce stade, de révéler plus de détails sur l'enquête.
Le ministre s'est, en outre, adressé au peuple tchadien qu'il a félicité pour son calme face aux attaques qui ont frappé la capitale affirmant que les terroristes seront traqués là où ils se trouveront.
La capitale tchadienne N'Djamena a été le théâtre, lundi, de deux attentats suicide qui ont visé le commissariat central et l’école de police.
Brémé a déclaré que le nombre de morts s'élève du lundi, selon le dernier bilan, à 34 dont une majorité parmi les élèves de l'école de police et celui des blessés à 105.
Une source sécuritaire, s'exprimant sous couvert de l'anonymat, avait, précisé à Anadolu que "les attaques ont été perpétrée par au moins trois kamikazes appartenant à la secte Boko Haram", contre laquelle le Tchad est engagé militairement avec d'autres pays du Bassin du Lac Tchad, depuis janvier dernier.
Cependant les deux attaques n'ont toujours pas été revendiquées.