Le ministre de la Sécurité publique a signé un arrêté le 10 décembre 2021 interdisant le port d'arme à feu. Cette décision a été prise au lendemain d'une rencontre au palais présidentiel, sur la situation sécuritaire.
Le port d'arme est exceptionnellement autorisé pendant les heures de service, pour les gardes du corps du président du Conseil militaire de transition (CMT) et de certains officiels, ainsi que pour les forces de défense et de sécurité en mission commandée.
On constate que, ces dernières années, les civils détiennent des armes de tout calibre, malgré les multiples fouilles effectuées dans tout le territoire, et dans tous les quartiers de la ville de N'Djamena. On remarque souvent, en soirée, que les militaires prennent d'assaut les grandes artères de la capitale pour effectuer des fouilles.
Comment ces derniers parviennent-ils à passer à travers les mailles des policiers et des militaires qui effectuent régulièrement ces contrôles ? La détention d'armes à feu par des civils représente un danger permanent, et personne n'est à l'abri. Cela contribue à l’insécurité du pays : les braquages, les civils abattus en pleine journée et les phénomènes de coupure de route sont tous dus à la détention d'armes à feu par des civils.
Le pays a besoin d'investisseurs pour se développer et créer des emplois pour la jeunesse. Mais, vu l'insécurité grandissante que traverse le pays, aucun investisseur ne viendra investir dans un pays où règne l'insécurité. Le Tchad détient un record du nombre de généraux, mais le pays fait face à une insécurité persistante. À quoi bon avoir autant de généraux si le pays traverse une insécurité ?
Le gouvernement doit cesser de distribuer des étoiles et se concentrer sur la sécurité pour protéger la population et ses biens. Pour résoudre ces problèmes, le gouvernement doit renforcer le contrôle aux frontières avec les pays en guerre, comme la Libye et le Soudan, et mener des contrôles musclés dans toutes les provinces du Tchad (villes, villages, quartiers, maison par maison).
Le port d'arme est exceptionnellement autorisé pendant les heures de service, pour les gardes du corps du président du Conseil militaire de transition (CMT) et de certains officiels, ainsi que pour les forces de défense et de sécurité en mission commandée.
On constate que, ces dernières années, les civils détiennent des armes de tout calibre, malgré les multiples fouilles effectuées dans tout le territoire, et dans tous les quartiers de la ville de N'Djamena. On remarque souvent, en soirée, que les militaires prennent d'assaut les grandes artères de la capitale pour effectuer des fouilles.
Comment ces derniers parviennent-ils à passer à travers les mailles des policiers et des militaires qui effectuent régulièrement ces contrôles ? La détention d'armes à feu par des civils représente un danger permanent, et personne n'est à l'abri. Cela contribue à l’insécurité du pays : les braquages, les civils abattus en pleine journée et les phénomènes de coupure de route sont tous dus à la détention d'armes à feu par des civils.
Le pays a besoin d'investisseurs pour se développer et créer des emplois pour la jeunesse. Mais, vu l'insécurité grandissante que traverse le pays, aucun investisseur ne viendra investir dans un pays où règne l'insécurité. Le Tchad détient un record du nombre de généraux, mais le pays fait face à une insécurité persistante. À quoi bon avoir autant de généraux si le pays traverse une insécurité ?
Le gouvernement doit cesser de distribuer des étoiles et se concentrer sur la sécurité pour protéger la population et ses biens. Pour résoudre ces problèmes, le gouvernement doit renforcer le contrôle aux frontières avec les pays en guerre, comme la Libye et le Soudan, et mener des contrôles musclés dans toutes les provinces du Tchad (villes, villages, quartiers, maison par maison).