« C’est avec une vive émotion que j’ai appris l’odieux attentat perpétré contre le siège du journal Charlie Hebdo, attentat qui a occasionné plusieurs morts et blessés. » C’est par ces tristes mots que débutent la lettre envoyée par le président Sassou N’Guesso à son homologue français, François Hollande, le 8 janvier 2014, au lendemain de l’attentat terroriste.
Il n’y a pas plus tard que le 5 janvier dernier, alors qu’il répondait aux vœux de nouvel an que lui avait adressés le corps diplomatique, Denis Sassou N’Guesso, en appelait « au renforcement de la coopération internationale dans la lutte contre » le terrorisme dans le monde.
L’appel du chef de l’Etat congolais faisait suite au constat selon lequel, « la montée du terrorisme constitue une menace directe à la paix, à la sécurité individuelle et collective. Les actes de violence perpétrés par les groupes terroristes à travers le monde déstabilisent nos Etats et hypothèquent les efforts de développement ».
L’attentat qui vient se produire en France confirme, ainsi, le caractère international d’un fléau, dont les acteurs sont sourds aveugles devant la raison.
Ainsi, sensible à l’horreur et à la détresse que sèment ces lâches fanatiques, le président congolais exprime sa vive émotion pour cet attentat, qu’il qualifie d’« odieux » contre le siège du journal Charlie Hebdo.
Au nom du peuple congolais, Denis Sassou N’Guesso « condamne avec la plus grande fermeté cet acte terroriste horrible, lâche et ignoble qui n’est pas seulement une vile agression contre la France, mais une atteinte à la liberté d’expression, pilier majeur de la démocratie. »
S’inclinant devant la mémoire des victimes de cette barbarie, le président de la République du Congo a adressé à son homologue français, François Hollande et au peuple de ce pays, ses condoléances « les plus émues », ainsi que « l’expression de la solidarité du peuple congolais avec le peuple français ».
La lettre de Denis Sassou N’Guesso à François Hollande se termine par l’expression de sa compassion avec les familles éprouvées. Selon les médias français, cet attentat est le pire qu’est connu la France depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Il n’y a pas plus tard que le 5 janvier dernier, alors qu’il répondait aux vœux de nouvel an que lui avait adressés le corps diplomatique, Denis Sassou N’Guesso, en appelait « au renforcement de la coopération internationale dans la lutte contre » le terrorisme dans le monde.
L’appel du chef de l’Etat congolais faisait suite au constat selon lequel, « la montée du terrorisme constitue une menace directe à la paix, à la sécurité individuelle et collective. Les actes de violence perpétrés par les groupes terroristes à travers le monde déstabilisent nos Etats et hypothèquent les efforts de développement ».
L’attentat qui vient se produire en France confirme, ainsi, le caractère international d’un fléau, dont les acteurs sont sourds aveugles devant la raison.
Ainsi, sensible à l’horreur et à la détresse que sèment ces lâches fanatiques, le président congolais exprime sa vive émotion pour cet attentat, qu’il qualifie d’« odieux » contre le siège du journal Charlie Hebdo.
Au nom du peuple congolais, Denis Sassou N’Guesso « condamne avec la plus grande fermeté cet acte terroriste horrible, lâche et ignoble qui n’est pas seulement une vile agression contre la France, mais une atteinte à la liberté d’expression, pilier majeur de la démocratie. »
S’inclinant devant la mémoire des victimes de cette barbarie, le président de la République du Congo a adressé à son homologue français, François Hollande et au peuple de ce pays, ses condoléances « les plus émues », ainsi que « l’expression de la solidarité du peuple congolais avec le peuple français ».
La lettre de Denis Sassou N’Guesso à François Hollande se termine par l’expression de sa compassion avec les familles éprouvées. Selon les médias français, cet attentat est le pire qu’est connu la France depuis la fin de la seconde guerre mondiale.