Le terme « Le Duc » fait référence à deux significations : d’abord le duc est un noble comme le mot beti, du groupe ethnique de l’artiste, ensuite au groupe Danses Unies du Cameroun, car ce dernier a pu réunir autour de ses différentes chorégraphies, les danses des dix régions du Cameroun. Un groupe encadré par l’artiste chorégraphe, danseur auteur, compositeur interprète et écrivain Ayissi le Duc, une icône qui influence le monde culturel au plan national et international, notamment au niveau des danses traditionnelles. De son vrai nom Fouda Ayissi Luc Séraphin, le quinquagénaire a vu le jour un 29 avril 1962 à Yaoundé, capitale du Cameroun. Il est alors l’aîné d’une fratrie de 9 enfants au sein de laquelle, la création et l’expression artistique sont la chose la mieux partagée.
Son talent pour la danse est découvert à l’âge de 9 ans lorsque motivé par les encouragements de son grand-père, Ayissi Le Duc fait sa première prestation dans ce domaine autour du feu de bois en plein air, au clair de lune. A l’occasion du 35e anniversaire de sa carrière artistique couplé à celui des 55 ans de l’artiste, plusieurs activités ont organisées, à l’esplanade du Musée National de Yaoundé à partir du 28 avril 2017, avec le passage à la télévision nationale, la Crtv. Au programme, une exposition d’œuvres d’art plastique et peinture, suivie d’animations culturelles de différents groupes de danses traditionnelles des dix régions que compte le Cameroun, ainsi qu’un forum de discussion et débat sous le thème « Jeunesse et Culture pour tous ». Les activités ont pris fin le samedi 29 avril, jour d’anniversaire de l’artiste par un grand spectacle qu’il a donné jusqu’à minuit.
Après avoir fait ses études primaires de la décennie 1968-1978 à la mission catholique Saint Joseph de Mvolyé à Yaoundé, Ayissi Le Duc poursuit des études secondaires au collège Sainte Thérèse de Mvolyé entre 1979 et 1983, puis au collège missionnaire Obama Ongola d’Ahala II toujours à Yaoundé. Suite aux encouragements de son grand père Lukas Fouda Tabi Ongono, Ayissi Le Duc exploite son talent et embrasse très jeune la carrière d’artiste.
Dès lors, il est sollicité par une multitude d’artistes et de vedettes de la musique camerounaise à l’instar de Manu Dibango, Ali Baba, Anne Marie Nzié, Dina Bell, Nkoti François, Prince Nico Mbarga, Nkodo Sitony, Toto Guillaume, Marthe Zambo, Richard Bona, Ntoumba Minka et bien d’autres. Faisant partie de différents orchestres et cabarets puis de ballet national du Cameroun, Ayissi Le Duc marque le public de son pays. C’est ainsi qu’en 1982, l’artiste forme un groupe de danses qui se nomme « Le groupe Ayissi Le Duc » (Danses Unies du Cameroun). En outre, son groupe pratique de nombreuses danses traditionnelles camerounaises et est invité lors des évènements officiels du pays. Son groupe prend part à de nombreuses rencontres culturelles au plan national et international.
Des distinctions et des parutions
À ce jour, Luc Séraphin Ayissi Fouda compte à son actif plusieurs distinctions parmi lesquelles, la palme d’or qui lui a été décernée par le collectif des journalistes de la presse comme promoteur et défenseur de la culture camerounaise à l’étranger (2016). Il a également reçu en 2015, une médaille d’argent, ainsi qu’une palme d’argent de la ville de Paris des mains de Philippe Goujon, député-maire de Paris 15e. Par ailleurs, il sera fait en 2013 chevalier de l’ordre du mérite camerounais, distinction décernée par le Jeune Mbella Mbella, alors ambassadeur du Cameroun en France au nom du président Paul Biya. Lors de la célébration de ses 30 ans de carrière couplé à son 50e anniversaire en 2012, Ayissi le Duc a presté au 30e anniversaire de l’accession à la magistrature suprême du président Paul Biya au palais des Congrès de Yaoundé. Il bénéficiera d’un diplôme de participation de meilleur chorégraphe, de la meilleure tenue de scène ainsi que du meilleur look artistique à la 14e édition du Festi-Bikutsi la même année.
Déjà en 2010, il est invité par le président Paul Biya et par le ministre des Arts et de la culture à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance du Cameroun. Ayissi Le Duc a été nominé en 2008 parmi les personnalités ayant marqué le Cameroun depuis l’indépendance, comme étant « l’homme de toutes les cultures ». D’où la dédicace du deuxième livre de l’artiste intitulé « Art de la Danse et Spiritualité » paru aux Éditions L’Harmattan à Paris. En 1987, Ayissi Le Duc a été médaillé d’honneur de la République française. C’était à l’occasion de la foire internationale et gastronomique de Dijon, après avoir presté en 1986 au gala du sommet des chefs d’États de la Ceeac et dans le cadre des travaux de la commission mixte Cameroun–France au centre culturel français de Yaoundé.
Son talent pour la danse est découvert à l’âge de 9 ans lorsque motivé par les encouragements de son grand-père, Ayissi Le Duc fait sa première prestation dans ce domaine autour du feu de bois en plein air, au clair de lune. A l’occasion du 35e anniversaire de sa carrière artistique couplé à celui des 55 ans de l’artiste, plusieurs activités ont organisées, à l’esplanade du Musée National de Yaoundé à partir du 28 avril 2017, avec le passage à la télévision nationale, la Crtv. Au programme, une exposition d’œuvres d’art plastique et peinture, suivie d’animations culturelles de différents groupes de danses traditionnelles des dix régions que compte le Cameroun, ainsi qu’un forum de discussion et débat sous le thème « Jeunesse et Culture pour tous ». Les activités ont pris fin le samedi 29 avril, jour d’anniversaire de l’artiste par un grand spectacle qu’il a donné jusqu’à minuit.
Après avoir fait ses études primaires de la décennie 1968-1978 à la mission catholique Saint Joseph de Mvolyé à Yaoundé, Ayissi Le Duc poursuit des études secondaires au collège Sainte Thérèse de Mvolyé entre 1979 et 1983, puis au collège missionnaire Obama Ongola d’Ahala II toujours à Yaoundé. Suite aux encouragements de son grand père Lukas Fouda Tabi Ongono, Ayissi Le Duc exploite son talent et embrasse très jeune la carrière d’artiste.
Dès lors, il est sollicité par une multitude d’artistes et de vedettes de la musique camerounaise à l’instar de Manu Dibango, Ali Baba, Anne Marie Nzié, Dina Bell, Nkoti François, Prince Nico Mbarga, Nkodo Sitony, Toto Guillaume, Marthe Zambo, Richard Bona, Ntoumba Minka et bien d’autres. Faisant partie de différents orchestres et cabarets puis de ballet national du Cameroun, Ayissi Le Duc marque le public de son pays. C’est ainsi qu’en 1982, l’artiste forme un groupe de danses qui se nomme « Le groupe Ayissi Le Duc » (Danses Unies du Cameroun). En outre, son groupe pratique de nombreuses danses traditionnelles camerounaises et est invité lors des évènements officiels du pays. Son groupe prend part à de nombreuses rencontres culturelles au plan national et international.
Des distinctions et des parutions
À ce jour, Luc Séraphin Ayissi Fouda compte à son actif plusieurs distinctions parmi lesquelles, la palme d’or qui lui a été décernée par le collectif des journalistes de la presse comme promoteur et défenseur de la culture camerounaise à l’étranger (2016). Il a également reçu en 2015, une médaille d’argent, ainsi qu’une palme d’argent de la ville de Paris des mains de Philippe Goujon, député-maire de Paris 15e. Par ailleurs, il sera fait en 2013 chevalier de l’ordre du mérite camerounais, distinction décernée par le Jeune Mbella Mbella, alors ambassadeur du Cameroun en France au nom du président Paul Biya. Lors de la célébration de ses 30 ans de carrière couplé à son 50e anniversaire en 2012, Ayissi le Duc a presté au 30e anniversaire de l’accession à la magistrature suprême du président Paul Biya au palais des Congrès de Yaoundé. Il bénéficiera d’un diplôme de participation de meilleur chorégraphe, de la meilleure tenue de scène ainsi que du meilleur look artistique à la 14e édition du Festi-Bikutsi la même année.
Déjà en 2010, il est invité par le président Paul Biya et par le ministre des Arts et de la culture à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance du Cameroun. Ayissi Le Duc a été nominé en 2008 parmi les personnalités ayant marqué le Cameroun depuis l’indépendance, comme étant « l’homme de toutes les cultures ». D’où la dédicace du deuxième livre de l’artiste intitulé « Art de la Danse et Spiritualité » paru aux Éditions L’Harmattan à Paris. En 1987, Ayissi Le Duc a été médaillé d’honneur de la République française. C’était à l’occasion de la foire internationale et gastronomique de Dijon, après avoir presté en 1986 au gala du sommet des chefs d’États de la Ceeac et dans le cadre des travaux de la commission mixte Cameroun–France au centre culturel français de Yaoundé.