La ministre de l'Hydraulique urbaine et rurale, Tahani Mahamat Hassan, a pris part le 14 avril à une visioconférence sur l'amélioration de la gestion du bassin du Lac-Tchad, en présence du représentant du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et de celui de la Commission du bassin du Lac Tchad (CBLT).
La réunion s'inscrit dans le cadre de la 3ème réunion du comité du pilotage d'appui à la CBLT pour l'amélioration de la gestion du bassin du Lac-Tchad.
La ministre de l'Hydraulique urbaine et rurale, dans son allocution, a invité à la mise en partage du Bassin et à une gestion écosystémique pour mener à bien toutes les activités y afférent.
Selon elle, le constat observé depuis une décennie par rapport au bassin du lac-Tchad est qu'il fait face à plusieurs problèmes frontaliers interdépendants tenant à des contraintes naturelles. Il s'agit principalement d'une faible pluviométrie qui entrave le développement économique et l'exportation rationnelle des ressources naturelles.
La ministre a également évoqué la faible harmonisation du cadre juridique, politique et économique au niveau national pour la mise en œuvre des accords régionaux et la forte pression démographique sur les ressources naturelles. Ces paramètres engendrent une dégradation agressive des ressources halieutiques dans le Lac-Tchad et de son écosystème.
La réunion s'inscrit dans le cadre de la 3ème réunion du comité du pilotage d'appui à la CBLT pour l'amélioration de la gestion du bassin du Lac-Tchad.
La ministre de l'Hydraulique urbaine et rurale, dans son allocution, a invité à la mise en partage du Bassin et à une gestion écosystémique pour mener à bien toutes les activités y afférent.
Selon elle, le constat observé depuis une décennie par rapport au bassin du lac-Tchad est qu'il fait face à plusieurs problèmes frontaliers interdépendants tenant à des contraintes naturelles. Il s'agit principalement d'une faible pluviométrie qui entrave le développement économique et l'exportation rationnelle des ressources naturelles.
La ministre a également évoqué la faible harmonisation du cadre juridique, politique et économique au niveau national pour la mise en œuvre des accords régionaux et la forte pression démographique sur les ressources naturelles. Ces paramètres engendrent une dégradation agressive des ressources halieutiques dans le Lac-Tchad et de son écosystème.