Un rapport d’exécution et de résultats a été publié le 22 septembre 2021 par la Banque africaine de développement, en rapport avec PAPVIRE-ABC. Mis en œuvre dans le nord-est du Bénin depuis 2015, le projet a reçu un financement de 17,8 millions de dollars américains du Programme mondial pour l’agriculture, l’alimentation et la sécurité (GAFSP, l’acronyme en anglais), via la Banque africaine de développement.
En six ans, il a amélioré la productivité sur plus de 35 666 hectares (119% de la cible), doublant les rendements par rapport à la situation de référence (88% de la cible finale) pour le maïs. « Pour le riz, le niveau de réalisation de l’objectif d’augmentation des rendements est de 66% de la cible finale et cela pourrait connaître un bond important, avec la mise en valeur prochaine des aménagements », relève le rapport de la Banque. Il précise que les travaux de réhabilitation des retenues d’eau, avec des aménagements à leur aval et ceux relatifs à l’approche de haute intensité de main-d’œuvre, sont achevés.
En outre, il souligne que la mise en place des semences de variétés performantes, la formation couplée des producteurs leaders et agents d'encadrement et le suivi-appui-conseil rapproché, ont permis d'améliorer les rendements. Ainsi, la productivité moyenne actuelle du maïs a atteint un rendement de 2 872 tonnes à l’hectare, contre 1,263 t/ha en 2016. En décembre 2022, date de clôture du projet, la cible fixée est de 3,100 t/ha. La productivité du riz a atteint 4 650 tonnes par hectare, contre 3,387 t/ha il y a cinq ans (objectif : 5 300 t/ha à la fin de 2022). Pour les producteurs, ces performances ont un effet immédiat, par exemple sur le volume annuel de production vivrière commercialisée (84 000 tonnes, contre 4 900 tonnes environ). Les revenus de l’exploitation vivrière ont également progressé sur la période 2016-2021 (de 130 998 FCFA à 198 000 FCFA). Enfin, les revenus de l’exploitation maraîchère ont atteint 465 000 FCFA (contre 393 141 FCFA).
Par ailleurs, le projet a permis la réhabilitation de sept barrages agro-pastoraux d’un volume d’eau constitué de 600 000 m3. Les travaux de réhabilitation des retenues d’eau et d'aménagement de leur aval sont achevés et les réceptions provisoires ont été faites. Quant aux nouvelles superficies aménagées en irrigation, bas-fonds et plaines, elles sont de 883 hectares. Les nouvelles superficies aménagées et sécurisées, attribuées aux femmes, s’élèvent à 350 hectares (455 ha prévus). Enfin, le nombre de paysans formés aux technologies résilientes a dépassé la barre fixée de 25 500 pour atteindre 28 264.
En six ans, il a amélioré la productivité sur plus de 35 666 hectares (119% de la cible), doublant les rendements par rapport à la situation de référence (88% de la cible finale) pour le maïs. « Pour le riz, le niveau de réalisation de l’objectif d’augmentation des rendements est de 66% de la cible finale et cela pourrait connaître un bond important, avec la mise en valeur prochaine des aménagements », relève le rapport de la Banque. Il précise que les travaux de réhabilitation des retenues d’eau, avec des aménagements à leur aval et ceux relatifs à l’approche de haute intensité de main-d’œuvre, sont achevés.
En outre, il souligne que la mise en place des semences de variétés performantes, la formation couplée des producteurs leaders et agents d'encadrement et le suivi-appui-conseil rapproché, ont permis d'améliorer les rendements. Ainsi, la productivité moyenne actuelle du maïs a atteint un rendement de 2 872 tonnes à l’hectare, contre 1,263 t/ha en 2016. En décembre 2022, date de clôture du projet, la cible fixée est de 3,100 t/ha. La productivité du riz a atteint 4 650 tonnes par hectare, contre 3,387 t/ha il y a cinq ans (objectif : 5 300 t/ha à la fin de 2022). Pour les producteurs, ces performances ont un effet immédiat, par exemple sur le volume annuel de production vivrière commercialisée (84 000 tonnes, contre 4 900 tonnes environ). Les revenus de l’exploitation vivrière ont également progressé sur la période 2016-2021 (de 130 998 FCFA à 198 000 FCFA). Enfin, les revenus de l’exploitation maraîchère ont atteint 465 000 FCFA (contre 393 141 FCFA).
Par ailleurs, le projet a permis la réhabilitation de sept barrages agro-pastoraux d’un volume d’eau constitué de 600 000 m3. Les travaux de réhabilitation des retenues d’eau et d'aménagement de leur aval sont achevés et les réceptions provisoires ont été faites. Quant aux nouvelles superficies aménagées en irrigation, bas-fonds et plaines, elles sont de 883 hectares. Les nouvelles superficies aménagées et sécurisées, attribuées aux femmes, s’élèvent à 350 hectares (455 ha prévus). Enfin, le nombre de paysans formés aux technologies résilientes a dépassé la barre fixée de 25 500 pour atteindre 28 264.