« Le Kenya est un champion du développement de l'économie bleue, comme en témoigne l'organisation de cette deuxième édition de BlueInvest Africa, » a commenté le Dr William S. Ruto, président de la République du Kenya et commandant en chef des Forces armées, sous le haut patronage duquel l’événement sera placé et qui le rehaussera de sa présence. Mme Charlina Vitcheva, directrice générale de la direction générale de la Pêche et des Affaires maritimes de la Commission européenne, et de Mme Henriette Geiger, ambassadrice de l’Union européenne auprès du Kenya, représenteront l’Union européenne.
Un potentiel économique considérable
L'Afrique connaît une croissance économique régulière, avec une reprise post-covid prévue par la Banque africaine de développement à 3,8 % en 2024 et 4,2 % en 2025. L'économie bleue, qui comprend des activités économiques traditionnelles, comme la pêche, l’aquaculture, le tourisme et le transport, ou innovantes, comme les biotechnologies et les énergies renouvelables, génère actuellement 300 milliards de dollars de revenus et emploie 50 millions de personnes. En 2030, ce secteur devrait représenter 405 milliards de dollars, ce qui souligne son importance stratégique pour la croissance économique et la création d'emplois.
Des opportunités d'investissement uniques
BlueInvest Africa 2024 offre aux investisseurs une occasion unique de découvrir des projets innovants à fort potentiel de croissance. L'événement comprendra six sessions de pitching thématiques, au cours desquelles 29 entrepreneurs africains présenteront leurs projets dans des secteurs variés de l'économie bleue.
Ces entrepreneurs, sélectionnés pour leur professionnalisme, leur dynamisme et leur capacité d'innovation, cherchent à lever des fonds pour propulser leurs initiatives au niveau supérieur. Ils présenteront des produits et des services qui ont dépassé la phase de conception et pour lesquels ils veulent constituer un premier ou un deuxième tour de table en vue de lancer leur développement ou de dynamiser leur commercialisation sur les marchés africains.
De toutes les régions d’Afrique
Les 29 porteurs de projets sélectionnés sont présentés sur le site web de l’événement. Ils viennent de 17 pays africains : l’Afrique du Sud, le Botswana, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kenya, Madagascar, le Malawi, le Maroc, la Namibie, le Nigeria, le Rwanda, le Sénégal, la Sierra Leone, la Tanzanie, le Togo et la Tunisie.
Ils sont actifs dans une dizaine de secteurs économiques. L’aquaculture est le plus représenté, ce qui est logique vu la position de fer de lance qu’elle occupe dans les stratégies de sécurité alimentaire de nombreux États africains. Mais d’autres secteurs ouvriront également leurs portes aux investisseurs, comme le recyclage des déchets, le transport, la transformation alimentaire… et même la mode.
Un potentiel économique considérable
L'Afrique connaît une croissance économique régulière, avec une reprise post-covid prévue par la Banque africaine de développement à 3,8 % en 2024 et 4,2 % en 2025. L'économie bleue, qui comprend des activités économiques traditionnelles, comme la pêche, l’aquaculture, le tourisme et le transport, ou innovantes, comme les biotechnologies et les énergies renouvelables, génère actuellement 300 milliards de dollars de revenus et emploie 50 millions de personnes. En 2030, ce secteur devrait représenter 405 milliards de dollars, ce qui souligne son importance stratégique pour la croissance économique et la création d'emplois.
Des opportunités d'investissement uniques
BlueInvest Africa 2024 offre aux investisseurs une occasion unique de découvrir des projets innovants à fort potentiel de croissance. L'événement comprendra six sessions de pitching thématiques, au cours desquelles 29 entrepreneurs africains présenteront leurs projets dans des secteurs variés de l'économie bleue.
Ces entrepreneurs, sélectionnés pour leur professionnalisme, leur dynamisme et leur capacité d'innovation, cherchent à lever des fonds pour propulser leurs initiatives au niveau supérieur. Ils présenteront des produits et des services qui ont dépassé la phase de conception et pour lesquels ils veulent constituer un premier ou un deuxième tour de table en vue de lancer leur développement ou de dynamiser leur commercialisation sur les marchés africains.
De toutes les régions d’Afrique
Les 29 porteurs de projets sélectionnés sont présentés sur le site web de l’événement. Ils viennent de 17 pays africains : l’Afrique du Sud, le Botswana, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Kenya, Madagascar, le Malawi, le Maroc, la Namibie, le Nigeria, le Rwanda, le Sénégal, la Sierra Leone, la Tanzanie, le Togo et la Tunisie.
Ils sont actifs dans une dizaine de secteurs économiques. L’aquaculture est le plus représenté, ce qui est logique vu la position de fer de lance qu’elle occupe dans les stratégies de sécurité alimentaire de nombreux États africains. Mais d’autres secteurs ouvriront également leurs portes aux investisseurs, comme le recyclage des déchets, le transport, la transformation alimentaire… et même la mode.