Le représentant spécial du secrétaire général et chef du bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (UNOWAS), Mahamat Saleh Annadif a pris part, aujourd’hui, à la session extraordinaire de la Conférence des chefs d'Etat et de gouvernements de la CEDEAO, sur la situation politique au Burkina Faso, au Mali, et en Guinée.
Lors de son intervention, le représentant spécial a réaffirmé le soutien des Nations Unies aux efforts de la CEDEAO pour aider le Burkina Faso, la Guinée, et le Mali qui font face aujourd’hui à une situation sécuritaire et humanitaire particulièrement difficile. « Au-delà de ces trois situations, il se pose la question du respect de la légalité constitutionnelle, de nos institutions démocratiquement installées, et la réalisation des aspirations légitimes de nos peuples à la paix, la stabilité, le développement », a-t-il déclaré.
Faisant écho de son appréciation de la situation au Burkina Faso, Mahamat Saleh Annadif a souligné l’importance de coordonner davantage les efforts de la CEDEAO, l’Union Africaine, et les Nations Unies, pour assurer une transition rapide. Sur la Guinée, le représentant spécial a salué la mise en œuvre du Conseil National de Transition, et a encouragé les autorités de la transition à œuvrer pour assurer une transition pacifique et inclusive.
« Nous sommes encouragés par l'engagement du président en exercice de la CEDEAO qui a récemment réitéré la nécessité de réviser le protocole additionnel de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance, et a évoqué le besoin d'une réflexion globale sur l'état de la gouvernance démocratique dans la sous-région », a conclu le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies.
Lors de son intervention, le représentant spécial a réaffirmé le soutien des Nations Unies aux efforts de la CEDEAO pour aider le Burkina Faso, la Guinée, et le Mali qui font face aujourd’hui à une situation sécuritaire et humanitaire particulièrement difficile. « Au-delà de ces trois situations, il se pose la question du respect de la légalité constitutionnelle, de nos institutions démocratiquement installées, et la réalisation des aspirations légitimes de nos peuples à la paix, la stabilité, le développement », a-t-il déclaré.
Faisant écho de son appréciation de la situation au Burkina Faso, Mahamat Saleh Annadif a souligné l’importance de coordonner davantage les efforts de la CEDEAO, l’Union Africaine, et les Nations Unies, pour assurer une transition rapide. Sur la Guinée, le représentant spécial a salué la mise en œuvre du Conseil National de Transition, et a encouragé les autorités de la transition à œuvrer pour assurer une transition pacifique et inclusive.
« Nous sommes encouragés par l'engagement du président en exercice de la CEDEAO qui a récemment réitéré la nécessité de réviser le protocole additionnel de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne gouvernance, et a évoqué le besoin d'une réflexion globale sur l'état de la gouvernance démocratique dans la sous-région », a conclu le représentant spécial du secrétaire général des Nations Unies.