Cette décision fait suite à la diffusion d’un article accusant l’armée burkinabè d’exactions sur des populations civiles. L’ONG Human Rights Watch a publié un rapport sur son site internet, mettant en lumière les événements.
Selon les médias, l’armée burkinabè aurait massacré plus de 220 civils, dont des enfants, dans deux villages le 25 février 2024. Les villageois auraient été accusés de collaborer avec des militants islamistes, et les soldats auraient ouvert le feu sur eux. Même ceux qui tentaient de s’enfuir n’ont pas été épargnés.
Le Burkina Faso est actuellement confronté à une insurrection islamiste, et la junte militaire au pouvoir depuis 2022 a été accusée de violations des droits humains dans sa lutte contre les insurgés.
Selon les médias, l’armée burkinabè aurait massacré plus de 220 civils, dont des enfants, dans deux villages le 25 février 2024. Les villageois auraient été accusés de collaborer avec des militants islamistes, et les soldats auraient ouvert le feu sur eux. Même ceux qui tentaient de s’enfuir n’ont pas été épargnés.
Le Burkina Faso est actuellement confronté à une insurrection islamiste, et la junte militaire au pouvoir depuis 2022 a été accusée de violations des droits humains dans sa lutte contre les insurgés.