Les acteurs des différentes organisations faitières du Burkina Faso ont massivement assisté à la rencontre, avec le chef du gouvernement maître Apollinaire Joachimson KYELEM, tenue dans la salle de Conférence de Ouaga 2000, qui du reste a refusé du monde. A l’ordre du jour : les raisons du retrait du Burkina Faso le 28 janvier 2024 des instances de la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest(CEDEAO). Au cours de cette rencontre, monsieur Mahamadi SAVADOGO, président de la Chambre de commerce et d'industrie du Burkina Faso a demandé dès l’entame de son discours, un "standing ovation" pour le Premier ministre et son gouvernement pour la prise de cette décision. Il a réaffirmé l'engagement et la confiance des acteurs du secteur privé burkinabè au gouvernement. "La tenue de cette rencontre est pour nous un témoignage éclatant de la reconnaissance du secteur privé dans la construction et la consolidation de notre souveraineté" a-t-il laissé entendre. " Vous nous avez détaillé les motivations profondes de cette décision prise, nous avons également entendu les mesures gouvernementales pour juguler d'éventuelles conséquences sur l'activité économique.", a dit M. SAVADOGO.
Monsieur Idrissa NASSA, président du Conseil national du patronat burkinabè n'a pas manqué de saluer la tenue de cette rencontre gouvernement - secteur privé pour une meilleure appréhension et appropriation de cette nouvelle donne. Il a également réaffirmé l'engagement des acteurs du secteur privé à accompagner le gouvernement dans sa quête permanente de soutien et de bien-être des populations tout en prenant acte de la décision du gouvernement sur le retrait de notre pays de la CEDEAO.
Il a par ailleurs ajouté que cette rencontre leur permet de mieux cerner la vision du gouvernement et de mieux s'adapter à ce nouveau contexte. Il a en outre souhaité que des dispositions soient prises pour assurer la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux avec les pays de la CEDEAO non membres de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), et qu’un mécanisme soit adopté afin d’accompagner les opérateurs économiques burkinabè.
Quant au ministre du Développement Industriel, du Commerce, de l'Artisanat et des petites et moyennes entreprises, monsieur Serge Gnaniodem PODA, il a indiqué que le secteur privé est moteur du développement de l'économie du pays d'où l'importance de la tenue de cette rencontre par le chef du gouvernement et l'ensemble du gouvernement afin d'évoquer les raisons fondamentales qui ont concouru à cette prise de décision. Il a par la suite évoqué les perspectives et rassuré le monde des affaires sur le fait que cette décision doit être prise comme une opportunité et non comme une fatalité. Le ministre en charge du commerce se dit convaincu que le message du chef du gouvernement est passé et en termes de perspectives il a énuméré entre autres le renforcement de la nouvelle zone économique créée par le Burkina Faso, le Mali et le Niger, puis la liberté dans les prises de décision pour ce qui concerne la politique commerciale de notre pays avec le reste du monde.
Le chef du gouvernement a rassuré les participants que le gouvernement mettra tout en œuvre pour préserver l'intérêt du Burkina Faso.
Monsieur Idrissa NASSA, président du Conseil national du patronat burkinabè n'a pas manqué de saluer la tenue de cette rencontre gouvernement - secteur privé pour une meilleure appréhension et appropriation de cette nouvelle donne. Il a également réaffirmé l'engagement des acteurs du secteur privé à accompagner le gouvernement dans sa quête permanente de soutien et de bien-être des populations tout en prenant acte de la décision du gouvernement sur le retrait de notre pays de la CEDEAO.
Il a par ailleurs ajouté que cette rencontre leur permet de mieux cerner la vision du gouvernement et de mieux s'adapter à ce nouveau contexte. Il a en outre souhaité que des dispositions soient prises pour assurer la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux avec les pays de la CEDEAO non membres de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), et qu’un mécanisme soit adopté afin d’accompagner les opérateurs économiques burkinabè.
Quant au ministre du Développement Industriel, du Commerce, de l'Artisanat et des petites et moyennes entreprises, monsieur Serge Gnaniodem PODA, il a indiqué que le secteur privé est moteur du développement de l'économie du pays d'où l'importance de la tenue de cette rencontre par le chef du gouvernement et l'ensemble du gouvernement afin d'évoquer les raisons fondamentales qui ont concouru à cette prise de décision. Il a par la suite évoqué les perspectives et rassuré le monde des affaires sur le fait que cette décision doit être prise comme une opportunité et non comme une fatalité. Le ministre en charge du commerce se dit convaincu que le message du chef du gouvernement est passé et en termes de perspectives il a énuméré entre autres le renforcement de la nouvelle zone économique créée par le Burkina Faso, le Mali et le Niger, puis la liberté dans les prises de décision pour ce qui concerne la politique commerciale de notre pays avec le reste du monde.
Le chef du gouvernement a rassuré les participants que le gouvernement mettra tout en œuvre pour préserver l'intérêt du Burkina Faso.