Paris, le 10 octobre 2017 – CDNetworks, fournisseur international de CDN et de Cloud Security, présente son observation des attaques DDoS constatées sur ses serveurs et les résultats d’une étude réalisée auprès de 300 entreprises dans plusieurs pays européens.
Pour CDNetworks, selon ses propres données, la grande tendance est à l’augmentation de la taille des attaques. CDNetworks rappelle qu’en 2014, les attaques DDoS ont augmenté en nombre, avec une hausse de 29%, en partie due à un ciblage du marché des jeux en ligne. Qu’en 2015, ces attaques ont été 200% plus nombreuses, le secteur public et les services financiers rejoignant les jeux en ligne parmi les cibles privilégiées. En 2016, c’est la taille des attaques DDoS qui a explosé : l’attaque la plus importante du 1er semestre 2015 était de 21 Gigabits par seconde (Gbps) alors qu’au 1er semestre 2016, une attaque atteignait 58,8 Gbps, presque trois fois plus. De plus, sur ce 1er semestre 2016, 31% des attaques DDoS mesuraient 50 Gbps ou plus, des tailles jamais atteintes un an plus tôt. Fin 2016, CDNetworks a vu une attaque DDoS géante dépasser 1 Térabit par seconde !
Face à cette montée en puissance des attaques DDoS, CDNetworks a voulu savoir comment les entreprises de plusieurs pays européens se préparaient en amont, à ce risque d’attaque, et a interrogé 300 entreprises.
Le constat est que les organisations se préparent. Le budget annuel moyen alloué à l’atténuation des attaques DDoS dépasse 27 000 euros, près de la moitié (47%) des entreprises interrogées dépensant entre 17 000 et 45 000 euros et 20% d’entre elles allouant un budget supérieur. 29% allouent un budget variant entre 5600 et 17 000 euros, et seules 4% dépensent moins de 5600 euros par an.
9% des entreprises interrogées pensent investir pour la première fois dans les 12 prochains mois dans ce genre de protection, 64% pensent augmenter leurs dépenses dans de nouvelles technologies d’atténuation d’attaque DDoS, 25% y alloueront le même budget.
La grosse cyberattaque d’octobre 2016 contre Dyn impactant Twitter ou CNN a éveillé les consciences. 79% des personnes interrogées pensent pouvoir être la cible d’une attaque de manière probable ou presque certaine dans les 12 prochains mois. Les prévisions de budgets se répartissent entre l’atténuation managée d’attaques DDoS, la prévention DDoS couplée à un Web Application Firewall (WAF), les technologies libre-service d’atténuation, les audits de sécurité et la protection manuelle, cette dernière étant le premier choix pour les entreprises qui vont s’y mettre pour la première fois, ainsi que pour les sociétés ayant investi pour la première fois un an auparavant, associé à la réalisation d’un audit, ou encore pour les sociétés ayant investi il y a plus de 5 ans.
Face à ces investissements pour se protéger, 51% des sociétés estiment que leurs efforts sont suffisants, 44% pensent qu’elles ont sous-évalué le risque et voudraient pouvoir investir davantage dans la protection DDoS avec un WAF (48%), l’atténuation managée des attaques DDoS (43%), les technologies en libre-service (40%), la protection de plus de domaines (34%), la protection manuelle (30%)… La protection DDoS avec un WAF recueille les suffrages des dirigeants de l’entreprise et des administrateurs IT, les premiers voyant également d’un bon œil les technologies en libre-service, les seconds le passage du libre-service à un service managé. Quant aux Directeurs et Chefs de départements, la moitié d’entre eux aimerait investir davantage dans l’atténuation managée des attaques DDoS.
Parmi les 300 sociétés constituant le panel interrogé, seules 14% n’ont pas subi d’attaque DDoS durant les 12 derniers mois. En moyenne, les autres ont recensé 6 attaques sur l’année. 8% ont subi plus de 50 attaques en un an. Toutes ces attaques n’ont pas forcément abouti, 64% des entreprises interrogées auraient subi au moins une attaque DDoS en partie réussie ces 12 derniers mois, trois par an en moyenne par entreprise.
Pour CDNetworks, selon ses propres données, la grande tendance est à l’augmentation de la taille des attaques. CDNetworks rappelle qu’en 2014, les attaques DDoS ont augmenté en nombre, avec une hausse de 29%, en partie due à un ciblage du marché des jeux en ligne. Qu’en 2015, ces attaques ont été 200% plus nombreuses, le secteur public et les services financiers rejoignant les jeux en ligne parmi les cibles privilégiées. En 2016, c’est la taille des attaques DDoS qui a explosé : l’attaque la plus importante du 1er semestre 2015 était de 21 Gigabits par seconde (Gbps) alors qu’au 1er semestre 2016, une attaque atteignait 58,8 Gbps, presque trois fois plus. De plus, sur ce 1er semestre 2016, 31% des attaques DDoS mesuraient 50 Gbps ou plus, des tailles jamais atteintes un an plus tôt. Fin 2016, CDNetworks a vu une attaque DDoS géante dépasser 1 Térabit par seconde !
Face à cette montée en puissance des attaques DDoS, CDNetworks a voulu savoir comment les entreprises de plusieurs pays européens se préparaient en amont, à ce risque d’attaque, et a interrogé 300 entreprises.
Le constat est que les organisations se préparent. Le budget annuel moyen alloué à l’atténuation des attaques DDoS dépasse 27 000 euros, près de la moitié (47%) des entreprises interrogées dépensant entre 17 000 et 45 000 euros et 20% d’entre elles allouant un budget supérieur. 29% allouent un budget variant entre 5600 et 17 000 euros, et seules 4% dépensent moins de 5600 euros par an.
9% des entreprises interrogées pensent investir pour la première fois dans les 12 prochains mois dans ce genre de protection, 64% pensent augmenter leurs dépenses dans de nouvelles technologies d’atténuation d’attaque DDoS, 25% y alloueront le même budget.
La grosse cyberattaque d’octobre 2016 contre Dyn impactant Twitter ou CNN a éveillé les consciences. 79% des personnes interrogées pensent pouvoir être la cible d’une attaque de manière probable ou presque certaine dans les 12 prochains mois. Les prévisions de budgets se répartissent entre l’atténuation managée d’attaques DDoS, la prévention DDoS couplée à un Web Application Firewall (WAF), les technologies libre-service d’atténuation, les audits de sécurité et la protection manuelle, cette dernière étant le premier choix pour les entreprises qui vont s’y mettre pour la première fois, ainsi que pour les sociétés ayant investi pour la première fois un an auparavant, associé à la réalisation d’un audit, ou encore pour les sociétés ayant investi il y a plus de 5 ans.
Face à ces investissements pour se protéger, 51% des sociétés estiment que leurs efforts sont suffisants, 44% pensent qu’elles ont sous-évalué le risque et voudraient pouvoir investir davantage dans la protection DDoS avec un WAF (48%), l’atténuation managée des attaques DDoS (43%), les technologies en libre-service (40%), la protection de plus de domaines (34%), la protection manuelle (30%)… La protection DDoS avec un WAF recueille les suffrages des dirigeants de l’entreprise et des administrateurs IT, les premiers voyant également d’un bon œil les technologies en libre-service, les seconds le passage du libre-service à un service managé. Quant aux Directeurs et Chefs de départements, la moitié d’entre eux aimerait investir davantage dans l’atténuation managée des attaques DDoS.
Parmi les 300 sociétés constituant le panel interrogé, seules 14% n’ont pas subi d’attaque DDoS durant les 12 derniers mois. En moyenne, les autres ont recensé 6 attaques sur l’année. 8% ont subi plus de 50 attaques en un an. Toutes ces attaques n’ont pas forcément abouti, 64% des entreprises interrogées auraient subi au moins une attaque DDoS en partie réussie ces 12 derniers mois, trois par an en moyenne par entreprise.