La semaine dernière, plusieurs chefs d’États et de gouvernements ont défilé à la COP 26 à Glasgow dans le but de trouver des accords sur la lutte contre le réchauffement climatique. Au cours de leurs interventions successives, les leaders mondiaux ont affiché clairement et unanimement leur volonté de passer du stade d’une simple ambition à celui de l’action immédiate.
À cet effet, les décideurs internationaux ont pris des résolutions concrètes pour la sauvegarde des forêts, la diminution des émissions de méthane et enfin, pour promouvoir le développement des technologies vertes. À travers les différents cris d’alarme lancés à Glasgow la semaine dernière, les dirigeants mondiaux, les jeunes et les militants écologistes ont mis l’accent sur la nécessité de prendre urgemment des mesures efficaces susceptibles de limiter l’augmentation de la température mondiale à moins de 2 degrés Celsius et d’améliorer la résilience au changement climatique, conformément à l’objectif 13 des ODD.
La déclaration sur l’exploitation des forêts et des terres
Dans leurs déclarations, les dirigeants promettent de renforcer leurs efforts communs pour conserver les forêts et les autres écosystèmes terrestres et accélérer leur restauration, ainsi que de faciliter les politiques de commerce et de développement durables, au niveau international et national.
Le document souligne également l'autonomisation des communautés locales, y compris les peuples autochtones qui sont souvent affectés par l'exploitation et la dégradation des forêts. La déclaration vise également la mise en œuvre et le restructuration des politiques et des programmes agricoles afin de réduire la famine et de protéger l'environnement. La finance occupe aussi une place prépondérante dans la déclaration, les dirigeants promettant de faciliter l'alignement des flux financiers sur les objectifs internationaux visant à inverser les pertes et les dégradations, tout en garantissant des politiques permettant d'accélérer la transition vers une économie plus verte.
Des pays comme le Canada, la Russie et le Brésil ont accepté d’augmenter leur NDC. Il en est ainsi de la Chine, la Colombie, l’Indonésie et la République Démocratique du Congo qui ont tous entériné la déclaration de Glasgow concernant l’exploitation des forêts et des terres. Le nombre total des pays signataires de ladite déclaration représentent 85 pour cent des forêts mondiales, une superficie de plus de 13 millions de mètres carrés, qui absorbent environ un tiers du CO2 mondial émis chaque année par l’effet des combustibles fossiles.
Le soutien de la déclaration par plus de 30 organisations financières
Cette déclaration a été renforcée par les PDG de plus de 30 organisations financières avec plus de 8 700 milliards de dollars d’actifs dans le monde, dont Aviva, Schroders et Axa, qui s’engagent à suspendre d’investir dans des opérations en lien avec la déforestation. Le but est de faire des technologies, le choix le moins cher, accessible et attirant pour tout le monde, dans les industries les plus polluantes d’ici 2030, en soulignant l'assistance au monde en développement à accéder à la création et aux outils primordiaux pour un passage juste vers le net- zéro.
Adresse du président Nigérian
Un représentant fort de l'Afrique à la conférence a été le Nigeria. Pendant son discours face aux dirigeants mondiaux, le président nigérian Muhammadu Buhari a affirmé que le Nigeria a fait un plan de transition énergétique explicite et une feuille de route sur l’importante base de données de la recherche, et qu’avec ce plan, le gaz participera à la transition de l’économie du Nigéria dans tous les secteurs.
Ces données prouvent aussi que le Nigeria peut continuer d’utiliser le gaz jusqu’en 2040 sans entraver les buts de l’accord de Paris sur le Climat. « La désertification au Nord, la sécheresse au centre, la pollution sur la côte sont des raisons suffisantes pour que tout le monde le voie, le Nigeria a pris l’engagement d’atteindre un objectif zéro d’ici 2060 », a-t-il affirmé.
À cet effet, les décideurs internationaux ont pris des résolutions concrètes pour la sauvegarde des forêts, la diminution des émissions de méthane et enfin, pour promouvoir le développement des technologies vertes. À travers les différents cris d’alarme lancés à Glasgow la semaine dernière, les dirigeants mondiaux, les jeunes et les militants écologistes ont mis l’accent sur la nécessité de prendre urgemment des mesures efficaces susceptibles de limiter l’augmentation de la température mondiale à moins de 2 degrés Celsius et d’améliorer la résilience au changement climatique, conformément à l’objectif 13 des ODD.
La déclaration sur l’exploitation des forêts et des terres
Dans leurs déclarations, les dirigeants promettent de renforcer leurs efforts communs pour conserver les forêts et les autres écosystèmes terrestres et accélérer leur restauration, ainsi que de faciliter les politiques de commerce et de développement durables, au niveau international et national.
Le document souligne également l'autonomisation des communautés locales, y compris les peuples autochtones qui sont souvent affectés par l'exploitation et la dégradation des forêts. La déclaration vise également la mise en œuvre et le restructuration des politiques et des programmes agricoles afin de réduire la famine et de protéger l'environnement. La finance occupe aussi une place prépondérante dans la déclaration, les dirigeants promettant de faciliter l'alignement des flux financiers sur les objectifs internationaux visant à inverser les pertes et les dégradations, tout en garantissant des politiques permettant d'accélérer la transition vers une économie plus verte.
Des pays comme le Canada, la Russie et le Brésil ont accepté d’augmenter leur NDC. Il en est ainsi de la Chine, la Colombie, l’Indonésie et la République Démocratique du Congo qui ont tous entériné la déclaration de Glasgow concernant l’exploitation des forêts et des terres. Le nombre total des pays signataires de ladite déclaration représentent 85 pour cent des forêts mondiales, une superficie de plus de 13 millions de mètres carrés, qui absorbent environ un tiers du CO2 mondial émis chaque année par l’effet des combustibles fossiles.
Le soutien de la déclaration par plus de 30 organisations financières
Cette déclaration a été renforcée par les PDG de plus de 30 organisations financières avec plus de 8 700 milliards de dollars d’actifs dans le monde, dont Aviva, Schroders et Axa, qui s’engagent à suspendre d’investir dans des opérations en lien avec la déforestation. Le but est de faire des technologies, le choix le moins cher, accessible et attirant pour tout le monde, dans les industries les plus polluantes d’ici 2030, en soulignant l'assistance au monde en développement à accéder à la création et aux outils primordiaux pour un passage juste vers le net- zéro.
Adresse du président Nigérian
Un représentant fort de l'Afrique à la conférence a été le Nigeria. Pendant son discours face aux dirigeants mondiaux, le président nigérian Muhammadu Buhari a affirmé que le Nigeria a fait un plan de transition énergétique explicite et une feuille de route sur l’importante base de données de la recherche, et qu’avec ce plan, le gaz participera à la transition de l’économie du Nigéria dans tous les secteurs.
Ces données prouvent aussi que le Nigeria peut continuer d’utiliser le gaz jusqu’en 2040 sans entraver les buts de l’accord de Paris sur le Climat. « La désertification au Nord, la sécheresse au centre, la pollution sur la côte sont des raisons suffisantes pour que tout le monde le voie, le Nigeria a pris l’engagement d’atteindre un objectif zéro d’ici 2060 », a-t-il affirmé.