Une semaine après le tragique massacre de neuf personnes à Bamenyam, le sous-préfet du département de Bamboutos révèle les auteurs du crime. Selon lui, l'acte est l'œuvre « des forces obscurantistes qui s'en prennent habituellement aux citoyens ». Il dénonce cet acte comme « lâche et barbare », perpétré par des hommes sans scrupules.
Le 21 novembre, un groupe de 200 indépendantistes armés a attaqué le marché de Bamenyam, faisant des victimes humaines et causant des dégâts matériels considérables. Cette intrusion des hommes armés dans le village fait suite à plusieurs tentatives précédemment déjouées par les forces de l'ordre et de sécurité. Bamenyam, souvent le théâtre d'affrontements entre sécessionnistes et militaires, est devenu un lieu hautement surveillé. La population locale, comprenant des écoliers, des paysans et des travailleurs, mène ses activités dans le respect des consignes des autorités administratives, policières et militaires, qui coordonnent leurs efforts pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens.
La recrudescence de la violence dans les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest affecte également la région voisine de l'Ouest. Depuis le début du conflit en 2016 entre les sécessionnistes et le gouvernement, des milliers de morts et de déplacés internes et externes ont été dénombrés. Malgré les tentatives de négociations avec les leaders séparatistes emprisonnés, les violences continuent de s'aggraver. L'opposition et la société civile appellent les autorités à entamer un dialogue national inclusif pour réunir toutes les parties en conflit.
Le 21 novembre, un groupe de 200 indépendantistes armés a attaqué le marché de Bamenyam, faisant des victimes humaines et causant des dégâts matériels considérables. Cette intrusion des hommes armés dans le village fait suite à plusieurs tentatives précédemment déjouées par les forces de l'ordre et de sécurité. Bamenyam, souvent le théâtre d'affrontements entre sécessionnistes et militaires, est devenu un lieu hautement surveillé. La population locale, comprenant des écoliers, des paysans et des travailleurs, mène ses activités dans le respect des consignes des autorités administratives, policières et militaires, qui coordonnent leurs efforts pour assurer la sécurité des personnes et de leurs biens.
La recrudescence de la violence dans les régions du Sud-Ouest et du Nord-Ouest affecte également la région voisine de l'Ouest. Depuis le début du conflit en 2016 entre les sécessionnistes et le gouvernement, des milliers de morts et de déplacés internes et externes ont été dénombrés. Malgré les tentatives de négociations avec les leaders séparatistes emprisonnés, les violences continuent de s'aggraver. L'opposition et la société civile appellent les autorités à entamer un dialogue national inclusif pour réunir toutes les parties en conflit.