Dans le cadre de la dynamique de concertation directe instaurée depuis son arrivée à la tête du ministère de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation, la ministre Mariatou Koné a tenu le 23 avril 2025, une importante rencontre, de près de 4 heures d'échanges, avec les représentants des faitières de fondateurs d'établissements privés, à Abidjan-Plateau.
Cette séance s'inscrit dans la logique de dialogue permanent souhaitée par la ministre, conformément à la vision du président de la République, Alassane Ouattara, pour une école ivoirienne de qualité, inclusive et apaisée.
La rencontre lui a permis de réaffirmer sa volonté de construire, avec les promoteurs d'écoles privées, un partenariat fondé sur l'écoute, la transparence et la responsabilité. « Je vous invite à la retenue, au sens des responsabilités et à préserver l'image de votre noble fonction. Un fondateur est un chef d'entreprise. Il connaît le poids et la portée des mots », a-t-elle déclaré, déplorant certains appels au boycott des examens à grand tirage.
Mariatou Koné a également insisté sur l'importance d'un climat de confiance et de collaboration entre les fondateurs et les structures étatiques, en particulier la Direction de l'Encadrement de l'Enseignement Privé (DEEP). « Nous avons créé un cadre. La DEEP est là pour vous accompagner. Ses portes vous sont ouvertes », a-t-elle rappelé, encourageant un recours systématique au dialogue au lieu des interpellations publiques.
La principale préoccupation des fondateurs, à savoir le retard dans le paiement des frais de scolarité pour les élèves orientés par l'État dans les établissements privés, a été longuement abordée. À ce sujet, la ministre de l'Éducation nationale a rassuré ses interlocuteurs : « Pour l'année 2023-2024, tous les engagements ont été tenus à 100 %. Pour 2024-2025, les paiements sont en cours. L'État a également pris bonne note du gap de 92 milliards à combler ».
Elle a, par ailleurs, annoncé la mise en place prochaine d'un cadre de concertation périodique réunissant les fondateurs et les syndicats du privé, en collaboration avec le ministère de l'Emploi et de la Protection sociale. Ce mécanisme visera à anticiper les éventuelles crises et à renforcer la qualité de l'encadrement dans les écoles privées.
Au terme de la rencontre, le président de la Fédération nationale des Établissements privés laïcs de Côte d'Ivoire (FENEPLACI), Ibrahim Karamoko, s'est réjoui de la posture d'écoute et d'engagement de la ministre : « Nous sommes rassurés. Elle s'implique personnellement dans le règlement des paiements ».
Cette séance s'inscrit dans la logique de dialogue permanent souhaitée par la ministre, conformément à la vision du président de la République, Alassane Ouattara, pour une école ivoirienne de qualité, inclusive et apaisée.
La rencontre lui a permis de réaffirmer sa volonté de construire, avec les promoteurs d'écoles privées, un partenariat fondé sur l'écoute, la transparence et la responsabilité. « Je vous invite à la retenue, au sens des responsabilités et à préserver l'image de votre noble fonction. Un fondateur est un chef d'entreprise. Il connaît le poids et la portée des mots », a-t-elle déclaré, déplorant certains appels au boycott des examens à grand tirage.
Mariatou Koné a également insisté sur l'importance d'un climat de confiance et de collaboration entre les fondateurs et les structures étatiques, en particulier la Direction de l'Encadrement de l'Enseignement Privé (DEEP). « Nous avons créé un cadre. La DEEP est là pour vous accompagner. Ses portes vous sont ouvertes », a-t-elle rappelé, encourageant un recours systématique au dialogue au lieu des interpellations publiques.
La principale préoccupation des fondateurs, à savoir le retard dans le paiement des frais de scolarité pour les élèves orientés par l'État dans les établissements privés, a été longuement abordée. À ce sujet, la ministre de l'Éducation nationale a rassuré ses interlocuteurs : « Pour l'année 2023-2024, tous les engagements ont été tenus à 100 %. Pour 2024-2025, les paiements sont en cours. L'État a également pris bonne note du gap de 92 milliards à combler ».
Elle a, par ailleurs, annoncé la mise en place prochaine d'un cadre de concertation périodique réunissant les fondateurs et les syndicats du privé, en collaboration avec le ministère de l'Emploi et de la Protection sociale. Ce mécanisme visera à anticiper les éventuelles crises et à renforcer la qualité de l'encadrement dans les écoles privées.
Au terme de la rencontre, le président de la Fédération nationale des Établissements privés laïcs de Côte d'Ivoire (FENEPLACI), Ibrahim Karamoko, s'est réjoui de la posture d'écoute et d'engagement de la ministre : « Nous sommes rassurés. Elle s'implique personnellement dans le règlement des paiements ».