Cinq personnes travaillant pour une Organisation Non-Gouvernementale (ONG) ont été enlevé le 2 septembre 2023 par une bande armée dans le Parc national de Bouba Ndjidda dans le département du Mayo Rey, a-t-on appris auprès des autorités locales.
Dans le Mayo Rey, « des preneurs d'otages ont kidnappé, samedi, cinq personnes travaillant au compte du Centre pour l’accompagnement au développement et l’environnement (Cadpen) », une ONG qui ouvre pour l’amélioration des connaissances des communautés sur l’importance de sécuriser l’environnement, nous a rapporté un responsable de la compagnie de gendarmerie de Touboro dans le Mayo Rey.
« Ces personnes ont été kidnappé sur la route Tcholliré -Touboro au niveau du Mayo Djarendji, localité située dans le Parc national de Bouba Ndjidda. Parmi les cinq otages, il y a le coordonnateur du Cadpen, M. Aboubakari Bindoho. Une enquête a été ouvert et des recherches se poursuivent pour retrouver les otages. Les ravisseurs ont demandé une rançon de 110 millions FCFA en échange de leur libération », a souligné notre source.
Le phénomène de prise d'otages avec demande de rançon est une industrie lucrative dans l'arrondissement de Touboro, département du Mayo-Rey. Les spécialistes en sécurité n’hésitent plus à parler d'un « business des otages ». Pour libérer les otages, les rançons sont d’abord payées par les familles. Mais aussi, dans le cas de certains salariés, par leurs employeurs.
Dans le Mayo Rey, « des preneurs d'otages ont kidnappé, samedi, cinq personnes travaillant au compte du Centre pour l’accompagnement au développement et l’environnement (Cadpen) », une ONG qui ouvre pour l’amélioration des connaissances des communautés sur l’importance de sécuriser l’environnement, nous a rapporté un responsable de la compagnie de gendarmerie de Touboro dans le Mayo Rey.
« Ces personnes ont été kidnappé sur la route Tcholliré -Touboro au niveau du Mayo Djarendji, localité située dans le Parc national de Bouba Ndjidda. Parmi les cinq otages, il y a le coordonnateur du Cadpen, M. Aboubakari Bindoho. Une enquête a été ouvert et des recherches se poursuivent pour retrouver les otages. Les ravisseurs ont demandé une rançon de 110 millions FCFA en échange de leur libération », a souligné notre source.
Le phénomène de prise d'otages avec demande de rançon est une industrie lucrative dans l'arrondissement de Touboro, département du Mayo-Rey. Les spécialistes en sécurité n’hésitent plus à parler d'un « business des otages ». Pour libérer les otages, les rançons sont d’abord payées par les familles. Mais aussi, dans le cas de certains salariés, par leurs employeurs.