Mgr Philippe Alain Mbarga entouré de son presbyterium : mobilisation et engagement.
C’est dans une atmosphère particulière que le diocèse d’Ebolowa accueille le 12 novembre 2019, la Conférence épiscopale des évêques de la province ecclésiastique de Yaoundé. A la veille de cette importante réunion, les relations entre Mgr Philippe Alain Mbarga et des chefs traditionnels ont pris un coup du fait d’une correspondance, en date du 1er juin 2018, que les chefs Joseph Nkotto et Roland Paul Mbili Ebo’o ont adressé au nonce apostolique au Cameroun et en Guinée équatoriale, Mgr Juliot Murat. Dans ce véritable brulot où Mgr Mbarga est dépeint comme un vrai monstre, les deux chefs traditionnels affirment qu’il persécute fidèles et prêtres.
Face à ces accusations le clergé du diocèse est sorti de sa réserve. S’adressant aux chefs concernés, les prêtres qui ont nommément signés leur mise au point, dénoncent la correspondance à caractère diffamatoire adressée au nonce apostolique. D’ailleurs ils s’étonnent que ce texte qui date de plus d’un an, ne soit rendu public que maintenant. Encore qu’une telle correspondance devrait être marquée du sceau de la confidentialité. Le document qui s’est retrouvé dans les réseaux sociaux et quelques rédactions intrigue par son ton. Raison pour laquelle les prêtres doutent que les chefs signataires soient mandatés pour être les porte-voix de certains de leurs confrères et fidèles. Car, écrivent-ils, un diocèse ne se gère pas comme une chefferie traditionnelle, mais selon un esprit et des principes propres à l’Eglise catholique romaine.
Efficacité au service du peuple de Dieu
De ce fait, le presbyterium d’Ebolowa veut comprendre comment des autorités qui incarnent certaines valeurs se retrouvent à s’exprimer dans ce registre en faisant usage d’un champ lexical tout aussi interrogateur. Pour le presbyterium, le Conseil presbytéral et épiscopal, un collège de 14 prêtres qui signe le document l’attention des chefs, l’église diocésaine d’Ebolowa est bien tenue et est en état de marche. Elle avance de ce fait courageusement à la Suite du Christ par l’engagement et la détermination d’un presbyterium uni autour de son évêque. «Notre Eglise avance dans un climat paisible, harmonieux et épanouissant», écrivent les prêtres qui se présentent comme bouclier à leur évêque.
Saluant l’action de Mgr Philippe Alain Mbarga, le Conseil presbytéral et épiscopal met en exergue les choix faits par l’ordinaire des lieux pour faire parvenir le message de l’Evangile. Une démarche à la fois méthodologique et empreinte de ferveur, qui a permis la création d’une quinzaine de paroisses. Ils saluent en outre les réformes entreprises au plan administratif notamment des services centraux concernant la curie diocésaine, l’économat, le secrétariat à l’éducation, le service de santé, etc. Ils sont également bienveillants quant aux mesures d’assainissement misses en œuvre dans le segment de la gestion financière dont le redressement concret vise plus d’efficacité au service du peuple de Dieu. Des avancées qui sont accompagnées par des infrastructures réalisées et une autonomisation de la gestion des paroisses. Par ailleurs, la pastorale tournée vers le développement témoigne du dynamisme des orientations et choix éclairés de Mgr Philippe Alain Mbarga.
C’est donc dans cette donne que se tient à Ebolowa, la session de la Conférence épiscopale de la province ecclésiastique de Yaoundé le mardi 12 novembre 2019. Les sept évêques de la province épiscopale de Yaoundé (Obala, Mbalmayo, Sangmélima, Bafia, Kribi et Ebolowa), auront l’occasion d’apprécier le travail qui s’effectue quotidiennement sous la houlette de leur confrère à différents points et sur toute l’étendue du diocèse d’Ebolowa.
Face à ces accusations le clergé du diocèse est sorti de sa réserve. S’adressant aux chefs concernés, les prêtres qui ont nommément signés leur mise au point, dénoncent la correspondance à caractère diffamatoire adressée au nonce apostolique. D’ailleurs ils s’étonnent que ce texte qui date de plus d’un an, ne soit rendu public que maintenant. Encore qu’une telle correspondance devrait être marquée du sceau de la confidentialité. Le document qui s’est retrouvé dans les réseaux sociaux et quelques rédactions intrigue par son ton. Raison pour laquelle les prêtres doutent que les chefs signataires soient mandatés pour être les porte-voix de certains de leurs confrères et fidèles. Car, écrivent-ils, un diocèse ne se gère pas comme une chefferie traditionnelle, mais selon un esprit et des principes propres à l’Eglise catholique romaine.
Efficacité au service du peuple de Dieu
De ce fait, le presbyterium d’Ebolowa veut comprendre comment des autorités qui incarnent certaines valeurs se retrouvent à s’exprimer dans ce registre en faisant usage d’un champ lexical tout aussi interrogateur. Pour le presbyterium, le Conseil presbytéral et épiscopal, un collège de 14 prêtres qui signe le document l’attention des chefs, l’église diocésaine d’Ebolowa est bien tenue et est en état de marche. Elle avance de ce fait courageusement à la Suite du Christ par l’engagement et la détermination d’un presbyterium uni autour de son évêque. «Notre Eglise avance dans un climat paisible, harmonieux et épanouissant», écrivent les prêtres qui se présentent comme bouclier à leur évêque.
Saluant l’action de Mgr Philippe Alain Mbarga, le Conseil presbytéral et épiscopal met en exergue les choix faits par l’ordinaire des lieux pour faire parvenir le message de l’Evangile. Une démarche à la fois méthodologique et empreinte de ferveur, qui a permis la création d’une quinzaine de paroisses. Ils saluent en outre les réformes entreprises au plan administratif notamment des services centraux concernant la curie diocésaine, l’économat, le secrétariat à l’éducation, le service de santé, etc. Ils sont également bienveillants quant aux mesures d’assainissement misses en œuvre dans le segment de la gestion financière dont le redressement concret vise plus d’efficacité au service du peuple de Dieu. Des avancées qui sont accompagnées par des infrastructures réalisées et une autonomisation de la gestion des paroisses. Par ailleurs, la pastorale tournée vers le développement témoigne du dynamisme des orientations et choix éclairés de Mgr Philippe Alain Mbarga.
C’est donc dans cette donne que se tient à Ebolowa, la session de la Conférence épiscopale de la province ecclésiastique de Yaoundé le mardi 12 novembre 2019. Les sept évêques de la province épiscopale de Yaoundé (Obala, Mbalmayo, Sangmélima, Bafia, Kribi et Ebolowa), auront l’occasion d’apprécier le travail qui s’effectue quotidiennement sous la houlette de leur confrère à différents points et sur toute l’étendue du diocèse d’Ebolowa.