S’exprimait le 16 janvier 2025, Jean Christian Anicet Atangana, sous-directeur des relations commerciales régionales et internationales au ministère camerounais du Commerce, a vivement interpelé les administrations concernées, à travailler étroitement avec les ambassades pour relayer les informations relatives à la 16ème édition de la Foire Transfrontalière Annuelle d’Afrique Centrale (FOTRAC), prévue du 17 au 30 juillet 2025, entre Kye-Ossi (Cameroun), Bitam (Gabon) et Ebebveyin (Guinée équatoriale).
« Nous demandons aux administrations de venir prendre des stands », a-t-il martelé au cours de la première réunion préparatoire qu’il présidait à l’Immeuble Rose, au nom du ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana. Y prenaient également part, les institutions nationales, régionales, sous-régionales, le secteur privé, et les administrations publiques et parapubliques.
Organisés sur le thème : « Transformer les corridors d’Afrique centrale en de véritables passerelles sécurisées pour l’atteinte des objectifs du développement durable et la ZLECAF », les débats à l’occasion de la FOTRAC vont s’articuler autour de l’intégration régionale, du commerce inter-régional, de la coopération transfrontalière, des questions de paix et sécurité. Il sera également question de promouvoir, assainir les corridors, ouvrir les portes au « Made in Cameroon », le « Made in Africa », découvrir de nouveaux horizons, et montrer son savoir-faire.
« C’est notre défi majeur d’inviter autour de la table, toutes les parties prenantes, et surtout les convaincre afin qu’ils viennent à Kyé-Ossi, voir tout ce que nous faisons en termes de diversité de production, de diversité d’acteurs, afin que vive la sous-région, afin que vive le continent africain », a expliqué Danielle Nlate, présidente du Réseau des femmes actives de l’Afrique centrale (REFAC) et promotrice de la FOTRAC.
Aussi va-t-elle poursuivre : « ce que nous faisons à la FOTRAC, c’est l’idéal. Nous essayons de former, d’informer et d’encadrer les acteurs qui sont majoritairement les jeunes Camerounais et les femmes d’Afrique centrale produisant le Made in Africa, afin qu’ils puissent être à la mesure de la compétition.
Car, quand on parle de mondialisation, du marché continental à travers la ZLECAF, il faut bien que nous ayons des capacités. C’est ce que nous faisons, en donnant assez d’outils aux acteurs nationaux, continentaux, pour qu’ils puissent s’exprimer valablement sur le marché. »
La première rencontre préparatoire s’est achevée sur un sentiment de satisfecit total, avec la participation d’au moins six institutions onusiennes, les ministères, les institutions sous-régionales, le secteur privé, ainsi que des acteurs venus du Tchad. Les participants ont discuté de la transformation des corridors en de passerelles véritablement sécurisées.
En ce qui concerne la participation des femmes dans le commerce transfrontalier, la nécessité d’assainissement du milieu s’impose. C’est ce qui explique la présence des représentants des forces de maintien de l’ordre (police, gendarmerie), le gouverneur de la région du Sud.
L’idée étant de travailler en synergie afin d’élaguer toutes les entraves au commerce transfrontalier et au commerce international. Selon la présidente du REFAC, « les répercussions sont claires. Car, lorsqu’on est réduit à ne pas avancer chez soi, ou chez le voisin frère, ce serait difficile d’aller à l’international.
Dans tous les cas, nous tenons le leadership économique dans la sous-région Cemac et il est question de tenir toujours la flamme haute, bien allumée et que vive l’intégration, pour que chacun s’épanouisse dans son domaine, et que justement la paix règne ». Il faut dire que l’évènement se tiendra simultanément à Kye-Ossi, Bitam et Ebebveyin, avec pour innovation, une incursion du côté de Djibloho où aura lieu l’élection Miss intégration régionale, ambassadrice de Paix.
« Nous demandons aux administrations de venir prendre des stands », a-t-il martelé au cours de la première réunion préparatoire qu’il présidait à l’Immeuble Rose, au nom du ministre du Commerce, Luc Magloire Mbarga Atangana. Y prenaient également part, les institutions nationales, régionales, sous-régionales, le secteur privé, et les administrations publiques et parapubliques.
Organisés sur le thème : « Transformer les corridors d’Afrique centrale en de véritables passerelles sécurisées pour l’atteinte des objectifs du développement durable et la ZLECAF », les débats à l’occasion de la FOTRAC vont s’articuler autour de l’intégration régionale, du commerce inter-régional, de la coopération transfrontalière, des questions de paix et sécurité. Il sera également question de promouvoir, assainir les corridors, ouvrir les portes au « Made in Cameroon », le « Made in Africa », découvrir de nouveaux horizons, et montrer son savoir-faire.
« C’est notre défi majeur d’inviter autour de la table, toutes les parties prenantes, et surtout les convaincre afin qu’ils viennent à Kyé-Ossi, voir tout ce que nous faisons en termes de diversité de production, de diversité d’acteurs, afin que vive la sous-région, afin que vive le continent africain », a expliqué Danielle Nlate, présidente du Réseau des femmes actives de l’Afrique centrale (REFAC) et promotrice de la FOTRAC.
Aussi va-t-elle poursuivre : « ce que nous faisons à la FOTRAC, c’est l’idéal. Nous essayons de former, d’informer et d’encadrer les acteurs qui sont majoritairement les jeunes Camerounais et les femmes d’Afrique centrale produisant le Made in Africa, afin qu’ils puissent être à la mesure de la compétition.
Car, quand on parle de mondialisation, du marché continental à travers la ZLECAF, il faut bien que nous ayons des capacités. C’est ce que nous faisons, en donnant assez d’outils aux acteurs nationaux, continentaux, pour qu’ils puissent s’exprimer valablement sur le marché. »
La première rencontre préparatoire s’est achevée sur un sentiment de satisfecit total, avec la participation d’au moins six institutions onusiennes, les ministères, les institutions sous-régionales, le secteur privé, ainsi que des acteurs venus du Tchad. Les participants ont discuté de la transformation des corridors en de passerelles véritablement sécurisées.
En ce qui concerne la participation des femmes dans le commerce transfrontalier, la nécessité d’assainissement du milieu s’impose. C’est ce qui explique la présence des représentants des forces de maintien de l’ordre (police, gendarmerie), le gouverneur de la région du Sud.
L’idée étant de travailler en synergie afin d’élaguer toutes les entraves au commerce transfrontalier et au commerce international. Selon la présidente du REFAC, « les répercussions sont claires. Car, lorsqu’on est réduit à ne pas avancer chez soi, ou chez le voisin frère, ce serait difficile d’aller à l’international.
Dans tous les cas, nous tenons le leadership économique dans la sous-région Cemac et il est question de tenir toujours la flamme haute, bien allumée et que vive l’intégration, pour que chacun s’épanouisse dans son domaine, et que justement la paix règne ». Il faut dire que l’évènement se tiendra simultanément à Kye-Ossi, Bitam et Ebebveyin, avec pour innovation, une incursion du côté de Djibloho où aura lieu l’élection Miss intégration régionale, ambassadrice de Paix.
![Cameroun : FOTRAC 2025, l’assainissement des corridors au centre de la 16ème édition Cameroun : FOTRAC 2025, l’assainissement des corridors au centre de la 16ème édition](https://www.alwihdainfo.com/photo/art/default/86426666-61481690.jpg?v=1739373521)