Avec comme promotrice Maimounatou Bourzaka, journaliste au quotidien Cameroon Tribune, la Journée du Jeune cinéaste a pour objectif principal, d’offrir une plateforme de rencontre entre le public camerounais et l’industrie du cinéma camerounais. Par ailleurs, il est question de promouvoir le cinéma camerounais auprès du grand public, faciliter les échanges entre les acteurs de l’industrie du cinéma et opérateurs économiques, et surtout, susciter des vocations auprès des jeunes en leur offrant des rudiments du cinéma. Il faut rappeler que cet événement culturel est généralement organisé dans la mouvance des activités qui précèdent la célébration de la fête de la jeunesse le 11 février.
L’édition de cette année a bénéficié du soutien du célèbre cinéaste Basseck Ba Kobhio, promoteur de « Ecrans Noirs », accompagné de son équipe. Il en est de même de ces nombreux cinéastes en provenance de Douala et de Buea. Les organisateurs ont ainsi amélioré les activités par rapport à la première édition. C’est ainsi qu’au CLAC de Yaoundé (quartier Mimboman), il y a eu un atelier d’apprentissage au cinéma d’animation pour les plus jeunes. Cette activité a permis aux enfants âgés de 5 à 12 ans de comprendre le processus de réalisation des dessins animés, à côté d’une projection de films produits et réalisés au Cameroun par de jeunes camerounais. Une conférence-débat, sur le thème « Le marketing digital au service du cinéma camerounais », a été animée par des professionnels du digital, de la communication et du cinéma. Le panel de cette activité était constitué de Idrissou Arabo, fondateur de Culturebene, Monique Ngo Mayag, journaliste culturelle et Françoise à Kane, actrice camerounaise. Ce panel a comblé le public de près de 200 personnes à travers de riches exposés.
Il faut rappeler que depuis quelques années, le cinéma camerounais, comme d’ailleurs celui de beaucoup de pays d’Afrique, fait face à de nombreuses difficultés. A la fermeture des salles qui ont fait la fierté des cinéphiles au cours des années 70-80, il s’est ajouté un manque de moyens matériels et financiers. L’engouement du public est resté mitigé, ce en dépit des quelques espèces de projection proposés aujourd’hui. Qu’à cela ne tienne, l’amour du cinéma par le grand public existe toujours, le véritable problème étant la mise à disposition des œuvres cinématographiques.
C’est donc dans cette optique que la Journée du Jeune cinéaste a été mise sur pied depuis l’année dernière au Cameroun, pour servir de plateforme de rencontre entre le public et l’industrie du cinéma national. Elle se propose de présenter des œuvres cinématographiques locales au public.
L’édition de cette année a bénéficié du soutien du célèbre cinéaste Basseck Ba Kobhio, promoteur de « Ecrans Noirs », accompagné de son équipe. Il en est de même de ces nombreux cinéastes en provenance de Douala et de Buea. Les organisateurs ont ainsi amélioré les activités par rapport à la première édition. C’est ainsi qu’au CLAC de Yaoundé (quartier Mimboman), il y a eu un atelier d’apprentissage au cinéma d’animation pour les plus jeunes. Cette activité a permis aux enfants âgés de 5 à 12 ans de comprendre le processus de réalisation des dessins animés, à côté d’une projection de films produits et réalisés au Cameroun par de jeunes camerounais. Une conférence-débat, sur le thème « Le marketing digital au service du cinéma camerounais », a été animée par des professionnels du digital, de la communication et du cinéma. Le panel de cette activité était constitué de Idrissou Arabo, fondateur de Culturebene, Monique Ngo Mayag, journaliste culturelle et Françoise à Kane, actrice camerounaise. Ce panel a comblé le public de près de 200 personnes à travers de riches exposés.
Il faut rappeler que depuis quelques années, le cinéma camerounais, comme d’ailleurs celui de beaucoup de pays d’Afrique, fait face à de nombreuses difficultés. A la fermeture des salles qui ont fait la fierté des cinéphiles au cours des années 70-80, il s’est ajouté un manque de moyens matériels et financiers. L’engouement du public est resté mitigé, ce en dépit des quelques espèces de projection proposés aujourd’hui. Qu’à cela ne tienne, l’amour du cinéma par le grand public existe toujours, le véritable problème étant la mise à disposition des œuvres cinématographiques.
C’est donc dans cette optique que la Journée du Jeune cinéaste a été mise sur pied depuis l’année dernière au Cameroun, pour servir de plateforme de rencontre entre le public et l’industrie du cinéma national. Elle se propose de présenter des œuvres cinématographiques locales au public.