Monsieur Nestor Nga Etoga, correspondant au Cameroun de l’Agence anadolu, du service Afrique du journal français Le Point, du quotidien Afrik.com et Alwihdainfo.com est persécuté par le Conseil National de la Communication du Cameroun.
Depuis quelques semaines, le journaliste publie des articles (http://www.alwihdainfo.com/author/Nestor-Nga-Etoga/) dans les colonnes d’Alwihdainfo, sur les manœuvres de rétention d’informations du Ministre Camerounais de la communication dans le cadre de la lutte contre Boko Haram ainsi que les dérives de la politique communicationnelle du ministre Issa Tchiroma Bakary dans le cadre du projet CAM-DT :(http://www.alwihdainfo.com/Cameroun-Un-conseiller-du-premier-ministre-livre-le-ministre-de-la communication_a15477.html).
Il y a quelques jours, suite à une requête du ministre camerounais de la Communication, les quotidiens camerounais : Mutations, Le Messager et Emergence ont été traduits devant le Conseil national de la communication pour leurs articles sur la santé du chef de l’Etat d’une part, sur le photomontage sur le site de la présidence de la République, d’autre part.
Au Cameroun, la tutelle du Conseil national de la Communication est assurée par le Mincom. Le journaliste du Messager Jean François Channon a indiqué dans les colonnes du journal Le Jour, que : « toute convocation assure déjà peut-être condamnation ».
Ce n’est pas la première fois qu’un correspondant de la presse étrangère est persécuté par le régime de Yaoundé. Sarah sakho, Journaliste, correspondante de media français basée en Ouganda depuis janvier 2014 après quelques années camerounaises ; en avait fait les frais d’un système qui multiplie des entraves aux droits et à la liberté d’expression. Le journaliste Nestor Nga Etoga est sur écoute et dénonce un complot d’Etat !
Depuis quelques semaines, le journaliste publie des articles (http://www.alwihdainfo.com/author/Nestor-Nga-Etoga/) dans les colonnes d’Alwihdainfo, sur les manœuvres de rétention d’informations du Ministre Camerounais de la communication dans le cadre de la lutte contre Boko Haram ainsi que les dérives de la politique communicationnelle du ministre Issa Tchiroma Bakary dans le cadre du projet CAM-DT :(http://www.alwihdainfo.com/Cameroun-Un-conseiller-du-premier-ministre-livre-le-ministre-de-la communication_a15477.html).
Il y a quelques jours, suite à une requête du ministre camerounais de la Communication, les quotidiens camerounais : Mutations, Le Messager et Emergence ont été traduits devant le Conseil national de la communication pour leurs articles sur la santé du chef de l’Etat d’une part, sur le photomontage sur le site de la présidence de la République, d’autre part.
Au Cameroun, la tutelle du Conseil national de la Communication est assurée par le Mincom. Le journaliste du Messager Jean François Channon a indiqué dans les colonnes du journal Le Jour, que : « toute convocation assure déjà peut-être condamnation ».
Ce n’est pas la première fois qu’un correspondant de la presse étrangère est persécuté par le régime de Yaoundé. Sarah sakho, Journaliste, correspondante de media français basée en Ouganda depuis janvier 2014 après quelques années camerounaises ; en avait fait les frais d’un système qui multiplie des entraves aux droits et à la liberté d’expression. Le journaliste Nestor Nga Etoga est sur écoute et dénonce un complot d’Etat !