Selon le tri-quotidien camerounais en ligne www.echosducameroun.com qui a assisté à la transaction : « La cérémonie de remise de ce vestige de l’art Tikar a eu lieu à GALAM par BAGAM, à la résidence du Docteur Clément Petsoko, premier adjoint au chef de la communauté Bagam de Yaoundé et par ailleurs Président d’Honneur du festival MENGA’AKA ; devant les chefs traditionnels de 3ème degré de ce groupement, les chefs des communautés,les autorités politiques et religieuses venus accompagner leur Chef Supérieur à l’occasion.
Ce trône est le deuxième du genre fabriqué par NJI NDAM , Prince TIKAR ,âgé aujourd’hui de 82ans. Le premier serait dans un musée d’objets d’art contemporain en Allemagne et serait l’une des principales attractions de ce musée.
Rencontré au quartier artisanal à FOUMBAN, deux jours plus tard, NJI NDAM, l’artisan a tenu à préciser que : « l’arbre sculpté pour ce trône a cette particularité de saigner comme un être humain et aurait plus de 600ans d’âge. Car, il faut plusieurs centaines d’années pour atteindre un diamètre admissible pour tailler un trône Royal ».
D’après le sculpteur : « la deuxième particularité de ce trône est qu’il serait un bouclier contre toute flèche mystique ou maléfique lancée vers le récipiendaire, en même tempsqu’ il retournerait cette dernière à l’expéditeur ». Selon plusieurs témoignages des initiés à la culture TIKAR, « ce trône protègerait et remplirait de bénédictions tous ceux qui s’y approcheraient ».
Le comité d’organisation du FESTIVAL MENGA’AKA piloté par MARQUISESOUOWOUOKUIE a expliqué par ce don à l’endroit de leur Roi et leur groupement, vouloir « restaurer le lien ombilical qui devrait lier tout MENGA’AKA à ses racines, sa culture, son histoire et appeler à la mobilisation de tous les fils et filles MENGA’AKA pour la valorisation et la promotion de leur culture ».
Annoncé du 13 au 20 août 2016 à BAGAM-GALIM un festival culturel qui va permettre à ce peuple de faire montre de son savoir faire culturel devant des milliers d’invités qui viendront du Cameroun, mais surtout de la France, des Etats-Unis et d’Allemagne.
Le festival entant se muer en une niche d’opportunités pour ce peuple longtemps resté replié sur lui-même, qui pourtant, a tout à gagner à s’ouvrir à l’extérieur.
Dr Clément Petsoko, Président d’honneur dudit festival, fervent ambassadeur de sa culture et initiateur de cette cérémonie soutient pour sa part que : « Culturellement parlant le peuple MENGA’AKA a tout pour séduire, plaire et faire peur à ceux qui ont voulu obnubiler l’histoire».
Ce trône est le deuxième du genre fabriqué par NJI NDAM , Prince TIKAR ,âgé aujourd’hui de 82ans. Le premier serait dans un musée d’objets d’art contemporain en Allemagne et serait l’une des principales attractions de ce musée.
Rencontré au quartier artisanal à FOUMBAN, deux jours plus tard, NJI NDAM, l’artisan a tenu à préciser que : « l’arbre sculpté pour ce trône a cette particularité de saigner comme un être humain et aurait plus de 600ans d’âge. Car, il faut plusieurs centaines d’années pour atteindre un diamètre admissible pour tailler un trône Royal ».
D’après le sculpteur : « la deuxième particularité de ce trône est qu’il serait un bouclier contre toute flèche mystique ou maléfique lancée vers le récipiendaire, en même tempsqu’ il retournerait cette dernière à l’expéditeur ». Selon plusieurs témoignages des initiés à la culture TIKAR, « ce trône protègerait et remplirait de bénédictions tous ceux qui s’y approcheraient ».
Le comité d’organisation du FESTIVAL MENGA’AKA piloté par MARQUISESOUOWOUOKUIE a expliqué par ce don à l’endroit de leur Roi et leur groupement, vouloir « restaurer le lien ombilical qui devrait lier tout MENGA’AKA à ses racines, sa culture, son histoire et appeler à la mobilisation de tous les fils et filles MENGA’AKA pour la valorisation et la promotion de leur culture ».
Annoncé du 13 au 20 août 2016 à BAGAM-GALIM un festival culturel qui va permettre à ce peuple de faire montre de son savoir faire culturel devant des milliers d’invités qui viendront du Cameroun, mais surtout de la France, des Etats-Unis et d’Allemagne.
Le festival entant se muer en une niche d’opportunités pour ce peuple longtemps resté replié sur lui-même, qui pourtant, a tout à gagner à s’ouvrir à l’extérieur.
Dr Clément Petsoko, Président d’honneur dudit festival, fervent ambassadeur de sa culture et initiateur de cette cérémonie soutient pour sa part que : « Culturellement parlant le peuple MENGA’AKA a tout pour séduire, plaire et faire peur à ceux qui ont voulu obnubiler l’histoire».