« le président du Conseil d’Administration de la Société Canon Sportif de Yaoundé Saos, Crée en 2012 et enregistrée au Registre de commerce du Greffe du Tribunal de première Instance de Yaoundé Centre Administratif, sous le numéro RC/YAO/OAPI/DGA/DPI/SSD publié dans le Bopi 4/2011 et ayant toujours fidèlement défendu les couleurs du Canon que je suis, tient à informer le grand public, les membres supporters depuis quelques temps le club est victime de prévarication de la part de certaines personnes qui sèment de la confusion en divisant la grande famille qu’à ce jour, il ne défend pas un intérêt personnel comme voudrait le faire croire ses détracteur, mais la légalité et la légitimé du Canon car ce club est un patrimoine national ;
Vous avez supporter ce club depuis sa création et s’il n’est pas défendu valablement, c’est l’image et l’honorabilité du club qui seront ternies comme certaines personnes l’ont et continuent de le faire, en essayant de créer des pseudos club en la totale illégalité et en trompant la vigilance du grand public. Que plus encore, les détracteurs contestent même l’enregistrement de la marque Canon auprès de l’OAPI, et ont entrepris un autre enregistrement qui commande à se poser la question de savoir s’ils ne veulent pas faire du Canon leur bien privé.
Actes injustes
Ce pseudo club que les médias encensent sans en connaître la nature, n’est pas fondé, car les détracteurs ont trouvé un moyen de détourner les droits du Canon. Ce que les détracteurs ont prétendu vouloir apporter s’ils étaient sincères aurait pu l’être par la voie légale, qui est ouverte depuis 2014, notamment l’assemblée générale extraordinaire portant apport en nature et augmentationdu capital, ouverture du capital à de nouveaux actionnaires. Acte déposé près du Notaire Pierre Firmin ADDA et notifié à la FECAFOOT et à la ligne de Football professionnelle du Cameroun.
Ces créations comme cela le démontrent, n’ont eu pour résultats que les objectifs personnels et égoïstes de leur créateur. Il n’y a qu’avoir leur radiation bien avant même le début de la saison 2016-2017, portée à la connaissance des instances sportives, sans parler des défaites dufait de leur actes injustes. Mais ils ont déjà perçu tout ce qu’ils convoitent, et on ne peut que le regretter en espérant qu’ils rendront gorge devant la justice.
Notre club a été empêché de jouer. J’ai alerté, sollicité le dialogue, la conciliation, mais les détracteurs ont crié à la correction d’un prétendu abus, mais ont oublié de voir les dangers de leur prétendue correction. Ils ont trompé le public en me critiquant, et les actes parlent d’eux même aujourd’hui. Mais il ne nous reste qu’à demander sinon à exiger la restauration de votre club à son rang par la Ligue qui nous empêché de participer au championnat.
LFPC et Fécafoot, manipulateur
Ne nous trompons pas, je veux dire plus, il n’est pas besoin de créer le club fictif, à caractère douteux et à but personnel, mais par contre, il serait plus utile et sage de présenter, démontrer au grand public de nouveaux motifs visant à parfaire le club existant, car il n’appartient de proposer un changement qu’à ceux qui sont assez heureusement nés, pour pénétrer d’un coup de génie et par une sorte d’illumination toute une institution. La Ligue, la Fecafoot, et leurs acteurs de ces manipulations sont comptables et doivent rendre compte au Canon et au grand public de l’idée qu’ils se sont formés en créant et en déclarant faussement que le Canon aurait joué alors même qu’elle sait l’avoir empêché en date du 25 février 2017. Que ce sont de tels comportements qui ternissent l’images de notre football tant continentale qu’international, en obligeant celles-ci à devoir intervenir pour faire respecter les règles élémentaires de droit en matière de sport.
Nouveaux actionnaires
Que le Canon sportif de Yaoundé Saos, est bel et bien existant. Réunissons-y nos visions et organisons son agrandissement en augmentant son capital par de nouveaux actionnaires, qui pourront administrer s’ils le désirent. Car un club légal est un grand bien, et un exemple que le club puisse avoir et qui reste le seul garant de sa sérénité et sa réussite. Car rien ne sert de prétendre parler d’un Canon fictif, se présenter comme le Canon sans droit ni titre comme le font de nombreuses personnes pur racketter quelques responsables, le public, sauf à ne pas vouloir le bien de notre club et surtout le football camerounais. C’est donc clair que les guerres de leader-ship, le nom respect des textes et des statuts, l’imposture et le favoritisme doublés des crises internes dans laquelle le faux Canon à baigné pendant toute cette saison, sous l’onction de la LFPC, n’a de résultât que cette descente aux enfers que le Cameroun entier a vécu »
Vous avez supporter ce club depuis sa création et s’il n’est pas défendu valablement, c’est l’image et l’honorabilité du club qui seront ternies comme certaines personnes l’ont et continuent de le faire, en essayant de créer des pseudos club en la totale illégalité et en trompant la vigilance du grand public. Que plus encore, les détracteurs contestent même l’enregistrement de la marque Canon auprès de l’OAPI, et ont entrepris un autre enregistrement qui commande à se poser la question de savoir s’ils ne veulent pas faire du Canon leur bien privé.
Actes injustes
Ce pseudo club que les médias encensent sans en connaître la nature, n’est pas fondé, car les détracteurs ont trouvé un moyen de détourner les droits du Canon. Ce que les détracteurs ont prétendu vouloir apporter s’ils étaient sincères aurait pu l’être par la voie légale, qui est ouverte depuis 2014, notamment l’assemblée générale extraordinaire portant apport en nature et augmentationdu capital, ouverture du capital à de nouveaux actionnaires. Acte déposé près du Notaire Pierre Firmin ADDA et notifié à la FECAFOOT et à la ligne de Football professionnelle du Cameroun.
Ces créations comme cela le démontrent, n’ont eu pour résultats que les objectifs personnels et égoïstes de leur créateur. Il n’y a qu’avoir leur radiation bien avant même le début de la saison 2016-2017, portée à la connaissance des instances sportives, sans parler des défaites dufait de leur actes injustes. Mais ils ont déjà perçu tout ce qu’ils convoitent, et on ne peut que le regretter en espérant qu’ils rendront gorge devant la justice.
Notre club a été empêché de jouer. J’ai alerté, sollicité le dialogue, la conciliation, mais les détracteurs ont crié à la correction d’un prétendu abus, mais ont oublié de voir les dangers de leur prétendue correction. Ils ont trompé le public en me critiquant, et les actes parlent d’eux même aujourd’hui. Mais il ne nous reste qu’à demander sinon à exiger la restauration de votre club à son rang par la Ligue qui nous empêché de participer au championnat.
LFPC et Fécafoot, manipulateur
Ne nous trompons pas, je veux dire plus, il n’est pas besoin de créer le club fictif, à caractère douteux et à but personnel, mais par contre, il serait plus utile et sage de présenter, démontrer au grand public de nouveaux motifs visant à parfaire le club existant, car il n’appartient de proposer un changement qu’à ceux qui sont assez heureusement nés, pour pénétrer d’un coup de génie et par une sorte d’illumination toute une institution. La Ligue, la Fecafoot, et leurs acteurs de ces manipulations sont comptables et doivent rendre compte au Canon et au grand public de l’idée qu’ils se sont formés en créant et en déclarant faussement que le Canon aurait joué alors même qu’elle sait l’avoir empêché en date du 25 février 2017. Que ce sont de tels comportements qui ternissent l’images de notre football tant continentale qu’international, en obligeant celles-ci à devoir intervenir pour faire respecter les règles élémentaires de droit en matière de sport.
Nouveaux actionnaires
Que le Canon sportif de Yaoundé Saos, est bel et bien existant. Réunissons-y nos visions et organisons son agrandissement en augmentant son capital par de nouveaux actionnaires, qui pourront administrer s’ils le désirent. Car un club légal est un grand bien, et un exemple que le club puisse avoir et qui reste le seul garant de sa sérénité et sa réussite. Car rien ne sert de prétendre parler d’un Canon fictif, se présenter comme le Canon sans droit ni titre comme le font de nombreuses personnes pur racketter quelques responsables, le public, sauf à ne pas vouloir le bien de notre club et surtout le football camerounais. C’est donc clair que les guerres de leader-ship, le nom respect des textes et des statuts, l’imposture et le favoritisme doublés des crises internes dans laquelle le faux Canon à baigné pendant toute cette saison, sous l’onction de la LFPC, n’a de résultât que cette descente aux enfers que le Cameroun entier a vécu »