Le président du Sénat du Cameroun, Marcel Niat Njifenji.
En dépit des explications généralement formulées par le ministre de la Communication, l’Union européenne, comme d’ailleurs certaines ONG, est restée sur une position d’accusations portées sur les autorités camerounaises et les forces de défense. Les faits reprochés au Cameroun portent sur les violations des droits humains, concernant la lutte contre les séparatistes anglophones qui sèment pourtant des exactions dans les régions du Sud-Ouest et au Nord-Ouest et contre les opposants politiques.
En effet, l’Union européenne à travers son Parlement, a cru entre autres, devoir condamner le 18 avril dernier, l’emprisonnement des opposants politiques dont Maurice Kamto, leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), candidat malheureux à la dernière élection présidentielle. Dans une réponse du berger à la bergère, le président du Sénat du Cameroun Marcel Niat Njifenji est monté au créneau pour fortement fustiger les allégations du Parlement européen contenue dans sa dernière résolution, en rapport avec la situation socio-politique que traverse le pays. Cette résolution de l’Union européenne est appréciée, ni plus ni moins, comme une litanie de contre-vérités.
« Le Sénat de la République du Cameroun, tout en dénonçant la campagne de dénigrement dont notre pays est l’objet, en appelle à la compréhension de ses partenaires de l’Union européenne, plus particulièrement ceux qui, comme le Cameroun, ont été ou sont confrontés à la menace séparatiste et/ou aux violences terroristes qui affectent le quotidien des populations », écrit la deuxième personnalité de la République du Cameroun. Marcel Niat Njifenji invite par ailleurs une délégation de députés européens à effectuer un voyage à Yaoundé, « afin que ces derniers se fassent eux-mêmes leur propre opinion sur la situation socio-politique et sécuritaire du Cameroun ». S’agissant de la gouvernance à a tête de l’Etat, le président du Sénat du Cameroun soutient que depuis son accession à la magistrature suprême, le président Paul Biya « construit un Etat de droit, profondément démocratique et libéral, qui garantit la libre expression des libérées individuelles et collectives. »
En effet, l’Union européenne à travers son Parlement, a cru entre autres, devoir condamner le 18 avril dernier, l’emprisonnement des opposants politiques dont Maurice Kamto, leader du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC), candidat malheureux à la dernière élection présidentielle. Dans une réponse du berger à la bergère, le président du Sénat du Cameroun Marcel Niat Njifenji est monté au créneau pour fortement fustiger les allégations du Parlement européen contenue dans sa dernière résolution, en rapport avec la situation socio-politique que traverse le pays. Cette résolution de l’Union européenne est appréciée, ni plus ni moins, comme une litanie de contre-vérités.
« Le Sénat de la République du Cameroun, tout en dénonçant la campagne de dénigrement dont notre pays est l’objet, en appelle à la compréhension de ses partenaires de l’Union européenne, plus particulièrement ceux qui, comme le Cameroun, ont été ou sont confrontés à la menace séparatiste et/ou aux violences terroristes qui affectent le quotidien des populations », écrit la deuxième personnalité de la République du Cameroun. Marcel Niat Njifenji invite par ailleurs une délégation de députés européens à effectuer un voyage à Yaoundé, « afin que ces derniers se fassent eux-mêmes leur propre opinion sur la situation socio-politique et sécuritaire du Cameroun ». S’agissant de la gouvernance à a tête de l’Etat, le président du Sénat du Cameroun soutient que depuis son accession à la magistrature suprême, le président Paul Biya « construit un Etat de droit, profondément démocratique et libéral, qui garantit la libre expression des libérées individuelles et collectives. »