Il a fallu des efforts conjugués des agents de la réserve faunique de Santchou (région de l’Ouest), des chefs de poste de contrôle forestier et de chasse de Penka Michel et de Nkong-Ni et enfin des éléments de la brigade de recherche de gendarmerie de Dschang, dans la même région, pour réussir cette opération qui a abouti à l’arrestation de ces quatre trafiquants qui étaient sur le point de réaliser leur coup. Les quatre suspects ont été gardés à vue pour la détention et la commercialisation illégales des trophées d'espèces fauniques intégralement protégées et l’abattage illégale de ces espèces de classe A. Les suspects étaient tous arrivés sur les lieux de la transaction sur des motos. Parmi eux, une dame qui a apporté une pointe d’ivoire. Les produits qu'ils s'apprêtaient à vendre ont été trouvés dans des sacs placés devant chacun d’eux.
L'opération a été réalisée avec l'assistance technique d'une organisation non gouvernementale de mise en application de la loi sur la faune, dénommée LAGA. Selon des sources dignes de foi, ils avaient chacun un produit spécifique de la faune. Ils ont eu des contacts jusqu'à Douala où des enquêtes sur leur activité illégale ont commencé. Le groupe était très professionnel dans ses transactions, d’après les mêmes sources. L'un d'eux était toujours sur ses gardes. Et quand les gendarmes et les responsables de la faune se sont présentés devant eux, il a commencé à courir, essayant de s'échapper mais a été immédiatement maitrisé. Ce dernier faisait l'objet d'enquêtes menées par le conservateur de la réserve de la faune de Santchou et savait qu'il pouvait être arrêté à tout moment. Les investigations antérieures avaient révélé que les produits étaient dissimulés dans leurs maisons respectives. La perquisition d’une maison qui a suivi immédiatement après l’arrestation a attiré une foule. Et c’est ainsi que les quatre suspects ont été rapidement conduits à Dschang où la procédure a continué avec leur audition sur procès-verbal. L'opération s'est déroulée à proximité de la réserve de la faune de Santchou d’où proviendrait une partie de ces produits fauniques.
Cette réserve est dépouillée de la quasi-totalité de sa faune. Elle qui était autrefois florissante avec les éléphants, les buffles et beaucoup d'autres espèces de la faune est aujourd’hui une ombre de ce qu'elle, la plupart de ces animaux ayant été abattus par les braconniers pour approvisionner le marché illégal de viande de brousse. Cela a vidé la réserve et le problème s’est aggravé avec les activités de la population de ses environs qui empiètent dans la réserve. Les terres agricoles et les maisons ont été érigées dans les zones protégées, compromettant les chances de sa renaissance, bien que des années, le gouvernement a dit qu'il pourrait être renouvelé. La première audience a eu lieu le 11 mai 2018 au Tribunal de première instance de Dschang.
L'opération a été réalisée avec l'assistance technique d'une organisation non gouvernementale de mise en application de la loi sur la faune, dénommée LAGA. Selon des sources dignes de foi, ils avaient chacun un produit spécifique de la faune. Ils ont eu des contacts jusqu'à Douala où des enquêtes sur leur activité illégale ont commencé. Le groupe était très professionnel dans ses transactions, d’après les mêmes sources. L'un d'eux était toujours sur ses gardes. Et quand les gendarmes et les responsables de la faune se sont présentés devant eux, il a commencé à courir, essayant de s'échapper mais a été immédiatement maitrisé. Ce dernier faisait l'objet d'enquêtes menées par le conservateur de la réserve de la faune de Santchou et savait qu'il pouvait être arrêté à tout moment. Les investigations antérieures avaient révélé que les produits étaient dissimulés dans leurs maisons respectives. La perquisition d’une maison qui a suivi immédiatement après l’arrestation a attiré une foule. Et c’est ainsi que les quatre suspects ont été rapidement conduits à Dschang où la procédure a continué avec leur audition sur procès-verbal. L'opération s'est déroulée à proximité de la réserve de la faune de Santchou d’où proviendrait une partie de ces produits fauniques.
Cette réserve est dépouillée de la quasi-totalité de sa faune. Elle qui était autrefois florissante avec les éléphants, les buffles et beaucoup d'autres espèces de la faune est aujourd’hui une ombre de ce qu'elle, la plupart de ces animaux ayant été abattus par les braconniers pour approvisionner le marché illégal de viande de brousse. Cela a vidé la réserve et le problème s’est aggravé avec les activités de la population de ses environs qui empiètent dans la réserve. Les terres agricoles et les maisons ont été érigées dans les zones protégées, compromettant les chances de sa renaissance, bien que des années, le gouvernement a dit qu'il pourrait être renouvelé. La première audience a eu lieu le 11 mai 2018 au Tribunal de première instance de Dschang.