C’est le week-end dernier qu’ils ont été arrêtés, lors d'une opération de répression menée par les agents de la délégation départementale des Forêts et de la Faune de la Menoua (région de l’Ouest), en collaboration avec la gendarmerie nationale. Les suspects, dont un chef traditionnel, ont été interpellés près du carrefour de Balessing, sur le tronçon de la route nationale Dschang-Bafoussam, en possession de trois peaux de panthère et d'une peau de crocodile. Un organisme de soutien à l'application de la loi sur la faune sauvage, connu sous le nom de « Last Great Ape Organisation » (LAGA), a apporté son appui technique aux agents pendant l'opération.
Selon des sources proches de cette affaire, qui se sont exprimées sous le couvert de l'anonymat, ces trafiquants sont expérimentés dans le trafic des peaux de panthère, dans cette région réputée pour le commerce illégal des peaux de félins. Ils s'approvisionnent en peaux de panthère dans d'autres régions du pays, cet animal étant en extinction dans la région de l’Ouest. Cette opération vise donc à mettre un terme à ce commerce illégal qui dure depuis fort longtemps.
Il convient de noter que la nature de la panthère africaine est si particulière, qu'il a été décrit comme "un chat à tout faire" dans le rapport d'une étude réalisée en février 2021 par la faculté des sciences de l'université de Copenhague. Cela est dû à la nature insaisissable, polyvalente et adaptable de l'espèce. Cependant, la panthère et le crocodile sont deux espèces vulnérables, face à un risque élevé d'extinction à l'état sauvage, et sont classés dans la liste rouge des espèces menacées de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Les panthères et les crocodiles sont victimes du braconnage pour leurs peaux, leurs os, leurs dents, et leurs griffes. Leurs peaux et leurs parties susmentionnées continuent d'entrer illégalement en Asie. Leurs os sont réputés avoir des vertus médicinales et leurs peaux sont utilisées pour fabriquer des sacs, des robes et des chaussures de luxe. La panthère et le crocodile sont des espèces totalement protégées au Cameroun, conformément à la loi sur la faune et la flore sauvages, et le trafic de ces espèces est interdit.
Selon des sources proches de cette affaire, qui se sont exprimées sous le couvert de l'anonymat, ces trafiquants sont expérimentés dans le trafic des peaux de panthère, dans cette région réputée pour le commerce illégal des peaux de félins. Ils s'approvisionnent en peaux de panthère dans d'autres régions du pays, cet animal étant en extinction dans la région de l’Ouest. Cette opération vise donc à mettre un terme à ce commerce illégal qui dure depuis fort longtemps.
Il convient de noter que la nature de la panthère africaine est si particulière, qu'il a été décrit comme "un chat à tout faire" dans le rapport d'une étude réalisée en février 2021 par la faculté des sciences de l'université de Copenhague. Cela est dû à la nature insaisissable, polyvalente et adaptable de l'espèce. Cependant, la panthère et le crocodile sont deux espèces vulnérables, face à un risque élevé d'extinction à l'état sauvage, et sont classés dans la liste rouge des espèces menacées de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).
Les panthères et les crocodiles sont victimes du braconnage pour leurs peaux, leurs os, leurs dents, et leurs griffes. Leurs peaux et leurs parties susmentionnées continuent d'entrer illégalement en Asie. Leurs os sont réputés avoir des vertus médicinales et leurs peaux sont utilisées pour fabriquer des sacs, des robes et des chaussures de luxe. La panthère et le crocodile sont des espèces totalement protégées au Cameroun, conformément à la loi sur la faune et la flore sauvages, et le trafic de ces espèces est interdit.