Depuis un certain temps, Samuel Mvondo Ayolo fait face à un lynchage médiatique en règle. Après la publication sur les réseaux sociaux de la résolution du 28 novembre 2018 autorisant le directeur général de la Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) à lui céder une villa sise à Yaoundé, certaines personnes ont à présent décidé de s'en prendre à son épouse. En effet, cette dernière est accusée de trafic d'influence dans le cadre de l’attribution des marchés publics à l'Assemblée nationale.
«L'épouse du ministre directeur du Cabinet civil se distingue par une probité proportionnelle à sa légendaire discrétion. Son engagement dans le développement rural, ainsi que le soutien inconditionnel qu'elle apporte sans distinctions aux jeunes infortunés de la Vallée du Ntem (un département de la Région du Sud, ndlr) et d’ailleurs sont de notoriété publique », pense pour sa part Emmanuel, fonctionnaire et originaire de la région du Sud. Par ailleurs, il fustige l’attitude de ceux qui « préfèrent se mettre au service de commanditaires tapis dans l’ombre, mais connus, dont le dessein n’est rien d’autre que l’assassinat médiatique et symbolique d'un des trois plus proches collaborateurs du chef de l'Etat. »
Pourtant, selon plusieurs observateurs avertis, depuis sa nomination au prestigieux et stratégique poste de directeur du Cabinet civil à la présidence de la République du Cameroun, Samuel Mvondo Ayolo s'emploie à rationaliser, voire humaniser le service public au Palais de l’Unité. On en veut pour preuve, les récentes organisations des cérémonies officielles, comme ce fut le cas ce 9 janvier, avec la cérémonie de présentation des vœux par le corps diplomatique et les grands corps de l’Etat, au président de la République.
« Mon cher, croyez-moi, les propos que vous venez de tenir sur vos antennes sont d'une rare indécence, contre Monsieur Samuel Mvondo Ayolo, contre son épouse, Madame Sylvie Mvondo Ayolo et contre toute la famille à laquelle je suis fier d'appartenir qui se trouve ainsi outragée !
Je vous conseille vivement, cher compatriote, de vous ressaisir de vos ardeurs suggérées par des personnages bien connus, et, dans les 48 heures, de présenter des excuses publiques par les mêmes voies et aux mêmes heures d'écoute, à mon frère Aîné, à sa très chère, tendre et unique épouse, ainsi qu'à toute la famille », écrit Me Georges Bekono Nkoa dans une lettre adressée à Martinez Zogo, chef de chaine de la radio Amplitude Fm émettant à Yaoundé. Ce dernier est tout simplement à ses yeux « auteur de propos diffamatoires, injurieux, offensants et outrageants ».
Parce qu’il est l’un des plus proches collaborateurs du chef de l’Etat, celui qui a le privilège de parler à l’oreille du détenteur du pouvoir suprême, l’occupant du poste de directeur du Cabinet civil à la présidence de la République au Cameroun est généralement sur les feux des francs-tireurs. Mais en dépit des manœuvres des personnes tapies dans l’ombre, Samuel Mvondo Ayolo, diplomate à la finesse reconnue, entend demeurer un homme d’honneur au service du Cameroun.
«L'épouse du ministre directeur du Cabinet civil se distingue par une probité proportionnelle à sa légendaire discrétion. Son engagement dans le développement rural, ainsi que le soutien inconditionnel qu'elle apporte sans distinctions aux jeunes infortunés de la Vallée du Ntem (un département de la Région du Sud, ndlr) et d’ailleurs sont de notoriété publique », pense pour sa part Emmanuel, fonctionnaire et originaire de la région du Sud. Par ailleurs, il fustige l’attitude de ceux qui « préfèrent se mettre au service de commanditaires tapis dans l’ombre, mais connus, dont le dessein n’est rien d’autre que l’assassinat médiatique et symbolique d'un des trois plus proches collaborateurs du chef de l'Etat. »
Pourtant, selon plusieurs observateurs avertis, depuis sa nomination au prestigieux et stratégique poste de directeur du Cabinet civil à la présidence de la République du Cameroun, Samuel Mvondo Ayolo s'emploie à rationaliser, voire humaniser le service public au Palais de l’Unité. On en veut pour preuve, les récentes organisations des cérémonies officielles, comme ce fut le cas ce 9 janvier, avec la cérémonie de présentation des vœux par le corps diplomatique et les grands corps de l’Etat, au président de la République.
« Mon cher, croyez-moi, les propos que vous venez de tenir sur vos antennes sont d'une rare indécence, contre Monsieur Samuel Mvondo Ayolo, contre son épouse, Madame Sylvie Mvondo Ayolo et contre toute la famille à laquelle je suis fier d'appartenir qui se trouve ainsi outragée !
Je vous conseille vivement, cher compatriote, de vous ressaisir de vos ardeurs suggérées par des personnages bien connus, et, dans les 48 heures, de présenter des excuses publiques par les mêmes voies et aux mêmes heures d'écoute, à mon frère Aîné, à sa très chère, tendre et unique épouse, ainsi qu'à toute la famille », écrit Me Georges Bekono Nkoa dans une lettre adressée à Martinez Zogo, chef de chaine de la radio Amplitude Fm émettant à Yaoundé. Ce dernier est tout simplement à ses yeux « auteur de propos diffamatoires, injurieux, offensants et outrageants ».
Parce qu’il est l’un des plus proches collaborateurs du chef de l’Etat, celui qui a le privilège de parler à l’oreille du détenteur du pouvoir suprême, l’occupant du poste de directeur du Cabinet civil à la présidence de la République au Cameroun est généralement sur les feux des francs-tireurs. Mais en dépit des manœuvres des personnes tapies dans l’ombre, Samuel Mvondo Ayolo, diplomate à la finesse reconnue, entend demeurer un homme d’honneur au service du Cameroun.