Le président de l’Ordre National des Architectes du Cameroun, Louis Désiré Côme Awono (à droite), reste déterminé.
La physionomie actuelle des villes camerounaises ne répond pas toujours aux standards de modernisation. Pourtant, comme l’a relevé le président de l’Ordre National des Architectes du Cameroun (ONAC), Louis Désiré Côme Awono, au cours d’une conférence de presse le 16 octobre dernier à Yaoundé, « le Cameroun est un vivier de compétences dans les domaines du design, de la gestion et la matérialisation des conceptions urbanistiques ». Bien plus, le pays a son patrimoine architectural, avec des édifices, des monuments porteurs de son passé et qui constituent un trésor inestimable devant être restauré pour donner une physionomie reluisante aux villes.
C’est ainsi que dans le plan d’action de l’ONAC en cours, il a été inscrit l’organisation d’un Symposium International sur le Patrimoine Architectural et la Modernisation des Villes Camerounaises (SYPAMOV). Cet événement qui sera organisé au Palais des Congrès de Yaoundé, du 25 au 30 novembre 2019, apparait comme vecteur du développement économique et placé sous le très haut patronage du président Paul Biya. L’opportunité de cet événement réside dans le contexte socio-économique mondial marqué par l’émergence des nations. Le Cameroun a mis le cap de cet objectif à l’horizon 2035, avec en prime, la mobilisation des consciences positives en faveur de l’atteinte de cette ambitieuse réalisation. Ceci implique de ce fait un travail de construction ou de modernisation de différents systèmes de production du pays, ceci pour des villes, non engluées dans la promiscuité, mais porteuses des germes de développement.
Par ailleurs, il faut mettre le cap sur l’avènement des « villes intelligentes », ceci à travers « toute initiative novatrice destinée à la transformation du paysage urbain de notre pays. Ce d’autant plus que le Cameroun qui fait très bien partie de ce concert des nations, ne devrait pas se retrouver à quelques longueurs d’ondes de la grande dynamique de développement urbain », relève le président de l’ONAC. Pour ce dernier, « tout développement étant la résultante d’un processus structuré en étapes, le Cameroun devrait tout au moins poser les jalons pour son arrimage à ce nouveau standard de création de villes ».
En se penchant sur la physionomie des cités, l’Ordre National des Architectes du Cameroun répond également à un appel des pouvoirs publics : avoir une nouvelle ville camerounaise aux clichés ambitieux, réalistes et réalisables. Il s’agit de sauver les marques du passé, pour une meilleure exploitation du présent, en faveur des générations futures. Pendant quatre jours, il sera organisé des ateliers, des téléconférences, un salon d’exposition et surtout une foire commerciale et industrielle qui permettra de célébrer la vitalité des secteurs d’activité. Les entreprises, indifféremment des branches d’activités, y feront étalage de leur savoir-faire en rapport avec le développement urbain.
C’est ainsi que dans le plan d’action de l’ONAC en cours, il a été inscrit l’organisation d’un Symposium International sur le Patrimoine Architectural et la Modernisation des Villes Camerounaises (SYPAMOV). Cet événement qui sera organisé au Palais des Congrès de Yaoundé, du 25 au 30 novembre 2019, apparait comme vecteur du développement économique et placé sous le très haut patronage du président Paul Biya. L’opportunité de cet événement réside dans le contexte socio-économique mondial marqué par l’émergence des nations. Le Cameroun a mis le cap de cet objectif à l’horizon 2035, avec en prime, la mobilisation des consciences positives en faveur de l’atteinte de cette ambitieuse réalisation. Ceci implique de ce fait un travail de construction ou de modernisation de différents systèmes de production du pays, ceci pour des villes, non engluées dans la promiscuité, mais porteuses des germes de développement.
Par ailleurs, il faut mettre le cap sur l’avènement des « villes intelligentes », ceci à travers « toute initiative novatrice destinée à la transformation du paysage urbain de notre pays. Ce d’autant plus que le Cameroun qui fait très bien partie de ce concert des nations, ne devrait pas se retrouver à quelques longueurs d’ondes de la grande dynamique de développement urbain », relève le président de l’ONAC. Pour ce dernier, « tout développement étant la résultante d’un processus structuré en étapes, le Cameroun devrait tout au moins poser les jalons pour son arrimage à ce nouveau standard de création de villes ».
En se penchant sur la physionomie des cités, l’Ordre National des Architectes du Cameroun répond également à un appel des pouvoirs publics : avoir une nouvelle ville camerounaise aux clichés ambitieux, réalistes et réalisables. Il s’agit de sauver les marques du passé, pour une meilleure exploitation du présent, en faveur des générations futures. Pendant quatre jours, il sera organisé des ateliers, des téléconférences, un salon d’exposition et surtout une foire commerciale et industrielle qui permettra de célébrer la vitalité des secteurs d’activité. Les entreprises, indifféremment des branches d’activités, y feront étalage de leur savoir-faire en rapport avec le développement urbain.