Deux personnes ont été arrêtées pour trafic d'espèces sauvages dans la région du Littoral. Elles ont été trouvées en possession de deux défenses d'éléphant qu'elles tentaient de vendre à Bonaberi (Douala).
Elles ont été arrêtées lors d'une opération coup de poing menée par les agents de la délégation régionale des Forêts et de la Faune du Littoral, en collaboration avec la division régionale de la police judiciaire. Une ONG, The Last Great Ape Organisation (LAGA), a également apporté son assistance technique à l'opération. Les suspects ont été trouvés en possession de deux défenses d'éléphant dissimulées dans un sac.
Ces défenses ont été collectées au domicile d'un ancien fonctionnaire du ministère des Forêts et de la Faune. Il utilisait les défenses comme décoration dans sa maison, mais elles ont fini entre les mains de l'un des suspects. Les deux trafiquants présumés ont été immédiatement emmenés dans les services de la faune pour y être auditionnés et faire l'objet d'une enquête plus approfondie.
Les faits de la cause révèlent que, l'un des suspects a voyagé de Ngaoundéré à Douala, pour la vente des défenses. L'intermédiaire est également au centre de certains réseaux de trafic d'espèces sauvages dans la sous-région, notamment dans les pays tels que le Congo, le Tchad et la République centrafricaine.
Les suspects appartiennent à des groupes communs sur les réseaux sociaux tels que Facebook. Ils utilisent Facebook pour faire de la publicité et vendre des produits dérivés d'espèces sauvages, notamment des défenses d'éléphants. Les efforts continus du gouvernement et de ses partenaires en matière de conservation des éléphants ont commencé à montrer les premiers signes de succès, bien que plusieurs défis empêchent encore un changement significatif.
Récemment, une nouvelle étude menée par le World Wild Fund (WWF), en collaboration avec le gouvernement, a révélé que la population d'éléphants de forêt est restée relativement stable dans certains endroits du Sud-Est du pays.
Cependant, des efforts supplémentaires sont encore nécessaires pour lutter contre le commerce illégal des défenses d'éléphants, en raison de l'avidité humaine qui cible ces défenses. L'éléphant est une espèce emblématique. Il joue un rôle important en tant que jardinier de la forêt en aidant à maintenir l'écosystème de la forêt et de la savane pour d'autres espèces, y compris les êtres humains.
Les éléphants sont protégés par la loi de 2024 régissant la faune et la flore et les deux personnes arrêtées encourent une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 20 ans, et à une amende pouvant atteindre 50 millions de FCFA si elles sont reconnues coupables conformément aux dispositions de la loi susmentionnée.
Elles ont été arrêtées lors d'une opération coup de poing menée par les agents de la délégation régionale des Forêts et de la Faune du Littoral, en collaboration avec la division régionale de la police judiciaire. Une ONG, The Last Great Ape Organisation (LAGA), a également apporté son assistance technique à l'opération. Les suspects ont été trouvés en possession de deux défenses d'éléphant dissimulées dans un sac.
Ces défenses ont été collectées au domicile d'un ancien fonctionnaire du ministère des Forêts et de la Faune. Il utilisait les défenses comme décoration dans sa maison, mais elles ont fini entre les mains de l'un des suspects. Les deux trafiquants présumés ont été immédiatement emmenés dans les services de la faune pour y être auditionnés et faire l'objet d'une enquête plus approfondie.
Les faits de la cause révèlent que, l'un des suspects a voyagé de Ngaoundéré à Douala, pour la vente des défenses. L'intermédiaire est également au centre de certains réseaux de trafic d'espèces sauvages dans la sous-région, notamment dans les pays tels que le Congo, le Tchad et la République centrafricaine.
Les suspects appartiennent à des groupes communs sur les réseaux sociaux tels que Facebook. Ils utilisent Facebook pour faire de la publicité et vendre des produits dérivés d'espèces sauvages, notamment des défenses d'éléphants. Les efforts continus du gouvernement et de ses partenaires en matière de conservation des éléphants ont commencé à montrer les premiers signes de succès, bien que plusieurs défis empêchent encore un changement significatif.
Récemment, une nouvelle étude menée par le World Wild Fund (WWF), en collaboration avec le gouvernement, a révélé que la population d'éléphants de forêt est restée relativement stable dans certains endroits du Sud-Est du pays.
Cependant, des efforts supplémentaires sont encore nécessaires pour lutter contre le commerce illégal des défenses d'éléphants, en raison de l'avidité humaine qui cible ces défenses. L'éléphant est une espèce emblématique. Il joue un rôle important en tant que jardinier de la forêt en aidant à maintenir l'écosystème de la forêt et de la savane pour d'autres espèces, y compris les êtres humains.
Les éléphants sont protégés par la loi de 2024 régissant la faune et la flore et les deux personnes arrêtées encourent une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 20 ans, et à une amende pouvant atteindre 50 millions de FCFA si elles sont reconnues coupables conformément aux dispositions de la loi susmentionnée.