Comme par le passé, le ministre du Commerce, qu’accompagnait ses collaborateurs de la direction du Commerce intérieur et de la Brigade nationale de contrôle et de répression des fraudes, le président du syndicat des commerçants et les représentants des associations des consommateurs, était sur terrain pour s’assurer de la réalité du marché à Yaoundé.
Cette descente s’imposait, face à une certaine tension inflationniste observée sur certains produits, et surtout, au regard d’un environnement international marqué ces derniers jours par une crise politique en Ukraine, qui pourrait occasionner le renchérissement de certains produits importés, à l’exemple du blé qui rentre dans la production du pain.
Malgré cela, le constat qui se dégage sur les marchés est globalement satisfaisant : les principaux produits de grande consommation (riz, poisson, viande de bœuf et huile) sont disponibles, en qualité, en quantité, et dans le respect des prix homologués. Si le maquereau, le poisson le plus consommé au Cameroun est bien disponible (1500 F/le Kg), les équipes de contrôle du ministère du Commerce ont tout de même relevé quelques défaillances sur les balances utilisées, qui pourtant devraient obtenir un certificat de vérification périodique, délivré par la brigade régionale de contrôle.
Au marché central de Yaoundé, une mise en demeure a été servie à la société SOCOGEN pour majoration unilatérale du prix de la margarine. Quant au point de vente en gros Cash Impact (marché Mokolo), outre la mise en demeure infligée, l’on procèdera à la saisie de la marque d’un beurre. Ici, le motif porte sur une augmentation de prix sans consultation de l’administration du commerce.
En bon pédagogue, le ministre du Commerce Luc Magloire Mbarga Atangana a rappelé aux opérateurs économiques, les dispositions de la loi du 25 décembre 2015 qui régit l’activité commerciale au Cameroun. Si l’on note une certaine liberté des prix, ils sont pour la plupart assortis de l’homologation préalable, en ce qui concerne les produits de première nécessité (riz, poisson, huile, etc.), et le dépôt préalable des barèmes pour les autres produits, auprès des services compétents de l’administration du Commerce (beurre, boissons et eau minérale par exemple).
En tout cas, sur les marchés, les prix sont globalement maitrisés. « Les équipes de contrôle n’ont pas de place au bureau. Elles doivent être sur le terrain de manière permanente, au risque d’être sanctionnées comme les commerçants, quand ils sont en infraction », a relevé le ministre camerounais du Commerce.
Et quant au consommateur, « il ne doit pas être passif, car il est son premier protecteur ». Dans cette optique, le gouvernement a mis à sa disposition un numéro vert, le 1502, pour tout type de dénonciation liée à l’activité commerciale.
Cette descente s’imposait, face à une certaine tension inflationniste observée sur certains produits, et surtout, au regard d’un environnement international marqué ces derniers jours par une crise politique en Ukraine, qui pourrait occasionner le renchérissement de certains produits importés, à l’exemple du blé qui rentre dans la production du pain.
Malgré cela, le constat qui se dégage sur les marchés est globalement satisfaisant : les principaux produits de grande consommation (riz, poisson, viande de bœuf et huile) sont disponibles, en qualité, en quantité, et dans le respect des prix homologués. Si le maquereau, le poisson le plus consommé au Cameroun est bien disponible (1500 F/le Kg), les équipes de contrôle du ministère du Commerce ont tout de même relevé quelques défaillances sur les balances utilisées, qui pourtant devraient obtenir un certificat de vérification périodique, délivré par la brigade régionale de contrôle.
Au marché central de Yaoundé, une mise en demeure a été servie à la société SOCOGEN pour majoration unilatérale du prix de la margarine. Quant au point de vente en gros Cash Impact (marché Mokolo), outre la mise en demeure infligée, l’on procèdera à la saisie de la marque d’un beurre. Ici, le motif porte sur une augmentation de prix sans consultation de l’administration du commerce.
En bon pédagogue, le ministre du Commerce Luc Magloire Mbarga Atangana a rappelé aux opérateurs économiques, les dispositions de la loi du 25 décembre 2015 qui régit l’activité commerciale au Cameroun. Si l’on note une certaine liberté des prix, ils sont pour la plupart assortis de l’homologation préalable, en ce qui concerne les produits de première nécessité (riz, poisson, huile, etc.), et le dépôt préalable des barèmes pour les autres produits, auprès des services compétents de l’administration du Commerce (beurre, boissons et eau minérale par exemple).
En tout cas, sur les marchés, les prix sont globalement maitrisés. « Les équipes de contrôle n’ont pas de place au bureau. Elles doivent être sur le terrain de manière permanente, au risque d’être sanctionnées comme les commerçants, quand ils sont en infraction », a relevé le ministre camerounais du Commerce.
Et quant au consommateur, « il ne doit pas être passif, car il est son premier protecteur ». Dans cette optique, le gouvernement a mis à sa disposition un numéro vert, le 1502, pour tout type de dénonciation liée à l’activité commerciale.