Le secrétaire général de l’Asroc, Jacquis Kemleu Tchabgou.
L’assurance a été donnée le 10 juillet 2021 à Yaoundé, au terme de la conférence de presse organisée, au siège de l’Association des Raffineurs des Oléagineux du Cameroun (Asroc). En effet, dans sa communication devant la presse, le secrétaire général de l’Asroc, Jacquis Kemleu Tchabgou, s’est penché sur les actions menées par l’Asroc, dans le cadre du maintien du prix de cession des huiles végétales raffinées, des savons de ménage et de toilette, de l’indisponibilité de l’huile de palme brute sur le plan local et du ralentissement des approvisionnements réalisés par les industries de la 2ème transformation, de l’assainissement de la filière des oléagineux, des mesures de fluidification de l’exportation des produits finis « made in Cameroon » de la filière des oléagineux, des questions relatives aux conséquences qui y sont attachées, et la mise en route du nouveau Laboratoire du Centre Technique Agroalimentaire du Cameroun (CTA-CAM).
En dépit du déficit structurel évalué à 160 000 tonnes, l’on peut se réjouir des mesures avant-gardistes prises par les pouvoirs publics. Ainsi, dans le but d’approvisionner les marchés, 100 000 tonnes ont été importées au cours de l’année 2020. La même quantité sera importée cette année, avec possibilité de demande additionnelle de 20 000 tonnes pour atteindre 120 000 tonnes. « Les consommateurs et le gouvernement de la République peuvent être rassurés par le patriotisme économique dont font montre les industriels de la 2ème transformation, qui ont décidé de ne ménager aucun effort pour rendre disponibles, les huiles végétales raffinées et les savons de ménage en quantité, en qualité et surtout à bon prix », a déclaré Jacquis Kemleu Tchabgou, par ailleurs premier président d’un Réseau d’entreprises qui luttent contre les maladies et la malnutrition.
Aux préoccupations de l’Asroc, s’est ajoutée l’intervention du président du Comité de régulation de la filière des oléagineux, Emmanuel Nkoulou Ada, sur les actions menées par cette structure, et portant sur l’approvisionnement des industries de la 2ème transformation en huile de palme brute, au niveau de l’offre, et de l’assainissement de la filière concernée. En dépit du Covid-19, de la crise sécuritaire dans la zone anglophone, « le constat qui se dégage est que les unités de transformation de la filière des oléagineux se sont arrimées dans l’ensemble à la démarche qualité, notamment le respect du règlement technique NC77 et la norme NC04 », a relevé Emmanuel Nkoulou Ada.
Pendant ce temps, la vente en vrac de l’huile tend à être éliminée, au regard des actions musclées menées sur le terrain par la Brigade de contrôle et de répression des fraudes du ministère du Commerce. Parallèlement, l’assainissement de la filière se poursuit, à travers l’opération HALCOMI et le Groupement spécial d’intervention douanière (GSID), de la direction générale des Douanes du ministère des Finances.
En dépit du déficit structurel évalué à 160 000 tonnes, l’on peut se réjouir des mesures avant-gardistes prises par les pouvoirs publics. Ainsi, dans le but d’approvisionner les marchés, 100 000 tonnes ont été importées au cours de l’année 2020. La même quantité sera importée cette année, avec possibilité de demande additionnelle de 20 000 tonnes pour atteindre 120 000 tonnes. « Les consommateurs et le gouvernement de la République peuvent être rassurés par le patriotisme économique dont font montre les industriels de la 2ème transformation, qui ont décidé de ne ménager aucun effort pour rendre disponibles, les huiles végétales raffinées et les savons de ménage en quantité, en qualité et surtout à bon prix », a déclaré Jacquis Kemleu Tchabgou, par ailleurs premier président d’un Réseau d’entreprises qui luttent contre les maladies et la malnutrition.
Aux préoccupations de l’Asroc, s’est ajoutée l’intervention du président du Comité de régulation de la filière des oléagineux, Emmanuel Nkoulou Ada, sur les actions menées par cette structure, et portant sur l’approvisionnement des industries de la 2ème transformation en huile de palme brute, au niveau de l’offre, et de l’assainissement de la filière concernée. En dépit du Covid-19, de la crise sécuritaire dans la zone anglophone, « le constat qui se dégage est que les unités de transformation de la filière des oléagineux se sont arrimées dans l’ensemble à la démarche qualité, notamment le respect du règlement technique NC77 et la norme NC04 », a relevé Emmanuel Nkoulou Ada.
Pendant ce temps, la vente en vrac de l’huile tend à être éliminée, au regard des actions musclées menées sur le terrain par la Brigade de contrôle et de répression des fraudes du ministère du Commerce. Parallèlement, l’assainissement de la filière se poursuit, à travers l’opération HALCOMI et le Groupement spécial d’intervention douanière (GSID), de la direction générale des Douanes du ministère des Finances.