Sur le terrain de l’offre sur les marchés de certains produits, le ministère du Commerce, comme à son habitude, veuille au grain. Et en dépit d’une certaine conjoncture internationale, due au renchérissement du coût du fret maritime et les différentes fluctuations de certaines devises étrangères, les pouvoirs publics s’emploient à assurer les stocks de sécurité, à maitriser les prix, dans le but de protéger davantage le consommateur, ceci dans un contexte sanitaire qui a eu de graves conséquences sur le panier de la ménagère.
C’est dans cette optique que des résolutions ont été prises, au terme des concertations avec les acteurs des filières, présidées ce 21 juillet 2021 par Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du Commerce. C’était en présence de l’administrateur de la Mission de Régulation des Approvisionnements (MIRAP), Cyprien Bamzok Ntol, des représentants des ministères des Finances, des Transports, de l’Agriculture et du Développement rural, des Mines et du Développement technologique, ainsi que des responsables des associations de protection des consommateurs.
Deux questions essentielles, à savoir la question de la disponibilité de l’offre et celle des prix, ont meublé les débats entre l’administration et les acteurs des filières riz, oléagineux, industries brassicoles et matériaux de construction, notamment le ciment, le fer à béton et les tôles de couverture. Étaient représentés à ces différentes rencontres, les producteurs, les importateurs, les responsables des interprofessions, les transporteurs et distributeurs de ces produits.
La question de la disponibilité dépend des importations, tandis que celle des prix est fonction de plusieurs facteurs en l’occurrence, la disponibilité les matières premières, le transport maritime, le droit de douanes et autres taxes. Le renchérissement des prix, observé dans les marchés au cours des dernières semaines, découle des difficultés rencontrées par les importateurs, à savoir l’augmentation des coûts des matières premières, la rareté des containers et l’indisponibilité des navires entraînant ainsi l’implosion des coûts du transport maritime.
Cela étant, il ressort des différentes discussions qu’il n’y aura aucune augmentation des prix des produits sur les marchés, ni dans le secteur des produits de construction, encore moins dans celui des produits de grande consommation. Par ailleurs, des discussions de fond seront engagées entre l’administration et les acteurs des filières, afin de trouver des solutions adaptées, à travers certains ajustements et aussi des accompagnements des pouvoirs publics.
Les acteurs des différentes filières quant à eux ont marqué leur engagement au strict respect des prix pratiqués jusqu'à l’aboutissement des discussions engagées avec l’administration. Enfin, il convient de rappeler que tout manquement à cet engagement est passible des sanctions prévues par la réglementation en vigueur.
C’est dans cette optique que des résolutions ont été prises, au terme des concertations avec les acteurs des filières, présidées ce 21 juillet 2021 par Luc Magloire Mbarga Atangana, ministre du Commerce. C’était en présence de l’administrateur de la Mission de Régulation des Approvisionnements (MIRAP), Cyprien Bamzok Ntol, des représentants des ministères des Finances, des Transports, de l’Agriculture et du Développement rural, des Mines et du Développement technologique, ainsi que des responsables des associations de protection des consommateurs.
Deux questions essentielles, à savoir la question de la disponibilité de l’offre et celle des prix, ont meublé les débats entre l’administration et les acteurs des filières riz, oléagineux, industries brassicoles et matériaux de construction, notamment le ciment, le fer à béton et les tôles de couverture. Étaient représentés à ces différentes rencontres, les producteurs, les importateurs, les responsables des interprofessions, les transporteurs et distributeurs de ces produits.
La question de la disponibilité dépend des importations, tandis que celle des prix est fonction de plusieurs facteurs en l’occurrence, la disponibilité les matières premières, le transport maritime, le droit de douanes et autres taxes. Le renchérissement des prix, observé dans les marchés au cours des dernières semaines, découle des difficultés rencontrées par les importateurs, à savoir l’augmentation des coûts des matières premières, la rareté des containers et l’indisponibilité des navires entraînant ainsi l’implosion des coûts du transport maritime.
Cela étant, il ressort des différentes discussions qu’il n’y aura aucune augmentation des prix des produits sur les marchés, ni dans le secteur des produits de construction, encore moins dans celui des produits de grande consommation. Par ailleurs, des discussions de fond seront engagées entre l’administration et les acteurs des filières, afin de trouver des solutions adaptées, à travers certains ajustements et aussi des accompagnements des pouvoirs publics.
Les acteurs des différentes filières quant à eux ont marqué leur engagement au strict respect des prix pratiqués jusqu'à l’aboutissement des discussions engagées avec l’administration. Enfin, il convient de rappeler que tout manquement à cet engagement est passible des sanctions prévues par la réglementation en vigueur.