Les quatre trafiquants ont été arrêtés le 28 septembre 2021 à Douala, pour vol et trafic d'un bébé chimpanzé dans un sanctuaire C’était au cours d'une opération coup de poing menée par les agents de la délégation régionale des Forêts et de la Faune du Littoral, en collaboration avec la police nationale.
L'opération a bénéficié de l’assistance technique de The Last Great Ape Organisation (LAGA), une Organisation d’appui à l'application de la loi faunique. Deux des trafiquants présumés ont été appréhendés en flagrant délit, avec le chimpanzé dans un entrepôt non loin d'un magasin chinois de vente de carreaux à Nkoulouloun, un quartier populaire de Douala. Tandis que, deux autres, y compris le cerveau de ce trafic qui est également le propriétaire du magasin ont été interpellé quelques jours plus tard dans le même magasin, par les agents de la faune sauvage travaillant en collaboration avec la police. Des informations sur la disparition d'un bébé chimpanzé dans un sanctuaire à primates, ont abouti à des investigations pour déterminer où se trouvait l'animal. Cela a conduit à la découverte d'un bébé chimpanzé dans ce magasin de Nkoulouloun. L’animal avait des blessures sur tout son corps et, semblait sous-alimenté.
Les enquêtes ont montré également que le chimpanzé était maltraité et recevait des coups de pied des gens qui étaient censés prendre soin de lui. En vertu de la Convention sur le Commerce International des Espèces de faune et de flore Sauvages menacées d'extinction (CITES), dont le Cameroun est signataire, le chimpanzé est classé en annexe 1. Cela signifie que le commerce des chimpanzés et des parties de chimpanzés est totalement interdit et que la loi interne de 1994 sur la faune et la flore sauvages dispose que toute personne trouvée en possession d’une espèce protégée, est considérée comme ayant capturé l'animal et est passible d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 3 ans et/ou d'une amende pouvant aller jusqu'à 10 millions de francs CFA.
Les chimpanzés partagent 98 % de l'ADN humain, ce qui les rend très vulnérables aux maladies transmises par l'homme comme Ebola. C’est un problème qui fait surface en raison de la croissance de la population humaine dans leur espace. Les empiétements de l'Homme et des activités humaines telles que l'exploitation forestière et minière, ainsi que le commerce illégal constituent une menace énorme pour la population de chimpanzés. Cependant, parce qu'ils vivent en groupe, et sont très protecteurs des leurs, les adultes sont souvent abattus comme le seul moyen d'obtenir les bébés.
L'opération a bénéficié de l’assistance technique de The Last Great Ape Organisation (LAGA), une Organisation d’appui à l'application de la loi faunique. Deux des trafiquants présumés ont été appréhendés en flagrant délit, avec le chimpanzé dans un entrepôt non loin d'un magasin chinois de vente de carreaux à Nkoulouloun, un quartier populaire de Douala. Tandis que, deux autres, y compris le cerveau de ce trafic qui est également le propriétaire du magasin ont été interpellé quelques jours plus tard dans le même magasin, par les agents de la faune sauvage travaillant en collaboration avec la police. Des informations sur la disparition d'un bébé chimpanzé dans un sanctuaire à primates, ont abouti à des investigations pour déterminer où se trouvait l'animal. Cela a conduit à la découverte d'un bébé chimpanzé dans ce magasin de Nkoulouloun. L’animal avait des blessures sur tout son corps et, semblait sous-alimenté.
Les enquêtes ont montré également que le chimpanzé était maltraité et recevait des coups de pied des gens qui étaient censés prendre soin de lui. En vertu de la Convention sur le Commerce International des Espèces de faune et de flore Sauvages menacées d'extinction (CITES), dont le Cameroun est signataire, le chimpanzé est classé en annexe 1. Cela signifie que le commerce des chimpanzés et des parties de chimpanzés est totalement interdit et que la loi interne de 1994 sur la faune et la flore sauvages dispose que toute personne trouvée en possession d’une espèce protégée, est considérée comme ayant capturé l'animal et est passible d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 3 ans et/ou d'une amende pouvant aller jusqu'à 10 millions de francs CFA.
Les chimpanzés partagent 98 % de l'ADN humain, ce qui les rend très vulnérables aux maladies transmises par l'homme comme Ebola. C’est un problème qui fait surface en raison de la croissance de la population humaine dans leur espace. Les empiétements de l'Homme et des activités humaines telles que l'exploitation forestière et minière, ainsi que le commerce illégal constituent une menace énorme pour la population de chimpanzés. Cependant, parce qu'ils vivent en groupe, et sont très protecteurs des leurs, les adultes sont souvent abattus comme le seul moyen d'obtenir les bébés.