Cet homme d’Eglise a été arrêté le 18 décembre dernier pour trafic d'espèces sauvages. Il a été interpellé avec deux autres personnes en détention illégale de six défenses d'éléphants. Ils tentaient de vendre lesdites défenses à Yaoundé.
L'arrestation a eu lieu lors d'une opération coup de poing menée par les agents de la délégation régionale des Forêts et de la Faune du Centre, en collaboration avec la division régionale de la Police judiciaire.
Les présumés trafiquants ont été surpris en possession de six défenses d'éléphants dissimulées dans un sac de farine dans un taxi « Yango » au quartier Emana (Yaoundé). Ils avaient loué le taxi qui les a conduits au lieu de la transaction peu avant leur arrestation.
L'organisation The Last Great Ape, également connue sous le nom de LAGA, a apporté son assistance technique lors de cette opération. Les présumés trafiquants ont été rapidement emmenés dans les services des Forêts et de la Faune, pour y être entendus sur procès- verbal et faire l'objet d'une enquête plus approfondie.
D'après les informations recueillies lors de l'arrestation, le pasteur était le cerveau du réseau et a obtenu les défenses auprès d'un ancien magistrat dont la famille est fidèle à l'Eglise Pentecôtiste. L'un des suspects, un voisin proche de l'Eglise, a également joué le rôle d'intermédiaire et de vendeur. Au cours des deux dernières décennies, 3004 éléphants ont été illégalement abattus selon le Programme de surveillance de l'abattage illégal des éléphants.
Dans le même ordre d'idées, plus de 95 % des éléphants de forêt d'Afrique ont disparu et il en reste moins de 2 000, comme l'indique Global Conservation. Les éléphants sont les plus grands animaux terrestres du monde et jouent un rôle important en tant que jardiniers de la forêt, en aidant à maintenir l'écosystème de la forêt et de la savane pour les autres espèces.
Cependant, l'éléphant est confronté à de très nombreuses menaces, notamment le braconnage qui alimente le commerce de l'ivoire. Le gouvernement camerounais, par le biais de la loi de 2024 sur les espèces sauvages, intensifie ses efforts pour lutter contre le commerce illégal de l'ivoire, ainsi, les éléphants sont totalement protégés dans le pays.
Les trois individus sont passibles d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 20 ans, et d'une amende pouvant aller jusqu'à 50 millions de FCFA, s'ils sont reconnus coupables, conformément aux dispositions de la loi de 2024 sur la faune.
L'arrestation a eu lieu lors d'une opération coup de poing menée par les agents de la délégation régionale des Forêts et de la Faune du Centre, en collaboration avec la division régionale de la Police judiciaire.
Les présumés trafiquants ont été surpris en possession de six défenses d'éléphants dissimulées dans un sac de farine dans un taxi « Yango » au quartier Emana (Yaoundé). Ils avaient loué le taxi qui les a conduits au lieu de la transaction peu avant leur arrestation.
L'organisation The Last Great Ape, également connue sous le nom de LAGA, a apporté son assistance technique lors de cette opération. Les présumés trafiquants ont été rapidement emmenés dans les services des Forêts et de la Faune, pour y être entendus sur procès- verbal et faire l'objet d'une enquête plus approfondie.
D'après les informations recueillies lors de l'arrestation, le pasteur était le cerveau du réseau et a obtenu les défenses auprès d'un ancien magistrat dont la famille est fidèle à l'Eglise Pentecôtiste. L'un des suspects, un voisin proche de l'Eglise, a également joué le rôle d'intermédiaire et de vendeur. Au cours des deux dernières décennies, 3004 éléphants ont été illégalement abattus selon le Programme de surveillance de l'abattage illégal des éléphants.
Dans le même ordre d'idées, plus de 95 % des éléphants de forêt d'Afrique ont disparu et il en reste moins de 2 000, comme l'indique Global Conservation. Les éléphants sont les plus grands animaux terrestres du monde et jouent un rôle important en tant que jardiniers de la forêt, en aidant à maintenir l'écosystème de la forêt et de la savane pour les autres espèces.
Cependant, l'éléphant est confronté à de très nombreuses menaces, notamment le braconnage qui alimente le commerce de l'ivoire. Le gouvernement camerounais, par le biais de la loi de 2024 sur les espèces sauvages, intensifie ses efforts pour lutter contre le commerce illégal de l'ivoire, ainsi, les éléphants sont totalement protégés dans le pays.
Les trois individus sont passibles d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 20 ans, et d'une amende pouvant aller jusqu'à 50 millions de FCFA, s'ils sont reconnus coupables, conformément aux dispositions de la loi de 2024 sur la faune.