Une femme est attendue devant le Tribunal de Première Instance de Djoum le 31 août pour répondre de l’infraction de commercialisation illégale de mandrill. Elle avait été arrêtée le 29 juin 2021, par les éco-gardes en service dans la Réserve de biosphère du Dja, antenne Sud, en collaboration avec la brigade de gendarmerie de Djoum (région du Sud), lorsqu'elle s’apprêtait à vendre un bébé mandrill.
L’affaire sera appelée pour la quatrième fois le 31 août 2021, pour la présence de toutes les parties, la production des scellés et les débats. L'arrestation a été menée avec l'assistance technique de LAGA, une Organisation chargée de l'application de la loi faunique qui assistera également l’administration dans le suivi de la procédure judiciaire.
Le mandrill est intégralement protégée et toute détention ou commercialisation illégale de cette espèce est punie par la loi de 1994 régissant la faune sauvage. Depuis le début de cette année, il y a eu un nombre important d’arrestations de trafiquants de mandrills par rapport à la même période, l’année dernière. De nombreux écologistes établissent un lien entre le commerce de plus en plus fréquent du mandrill récemment, et la situation du Covid-19. Ils affirment que la pandémie a entravé de nombreuses activités, y compris celles des trafiquants d’espèces sauvages.
Pour redresser la situation, selon ces écologistes, les organismes d’application de la loi doivent accroitre leurs activités, tandis que les tribunaux devraient infliger des peines appropriées aux trafiquants.
L’affaire sera appelée pour la quatrième fois le 31 août 2021, pour la présence de toutes les parties, la production des scellés et les débats. L'arrestation a été menée avec l'assistance technique de LAGA, une Organisation chargée de l'application de la loi faunique qui assistera également l’administration dans le suivi de la procédure judiciaire.
Le mandrill est intégralement protégée et toute détention ou commercialisation illégale de cette espèce est punie par la loi de 1994 régissant la faune sauvage. Depuis le début de cette année, il y a eu un nombre important d’arrestations de trafiquants de mandrills par rapport à la même période, l’année dernière. De nombreux écologistes établissent un lien entre le commerce de plus en plus fréquent du mandrill récemment, et la situation du Covid-19. Ils affirment que la pandémie a entravé de nombreuses activités, y compris celles des trafiquants d’espèces sauvages.
Pour redresser la situation, selon ces écologistes, les organismes d’application de la loi doivent accroitre leurs activités, tandis que les tribunaux devraient infliger des peines appropriées aux trafiquants.